J'emprunte à un film le titre de cette chronique (cf. index général) pour vous proposer d'en découvrir non pas un, mais deux autres aujourd'hui - deux popcorn movies avec un animal dangereux dedans ! Une bonne façon d'explorer le cinéma de genre, même si ces opus n'apportent rien de très original à ma connaissance du septième art...
The pool
Film thaïlandais de Bing Lumpraloeng (2018)
Jusqu'à présent, mon rapport avec le cinéma de ce lointain pays d'Asie reste très limité. Deux autres longs-métrages de cette nationalité figurent simplement sur ma liste: des films d'auteur, assez "pointus". Cette fois, je me suis retrouvé devant un vrai film d'exploitation. Problème: il aurait tout aussi bien pu être produit aux États-Unis. L'histoire ? Day, un jeune type qui bosse dans la pub, a pour mission de veiller au nettoyage d'une piscine utilisée au cours d'un tournage. Resté seul au bord de l'eau et fatigué, il s'octroie d'abord une sieste sur un matelas gonflable. Oui, mais... quand il se réveille, le niveau du bassin est plus faible et, bientôt au fond, il ne peut plus en sortir. Tout se compliquera encore avec l'apparition soudaine d'un crocodile ! Résultat: un récit tout à fait rocambolesque, avec quelques apartés fleur bleue portés par un personnage féminin exagérément sensible. Autant voir Enzo le croco et son histoire certes naïve, mais sympa...
The pool
Film thaïlandais de Bing Lumpraloeng (2018)
Jusqu'à présent, mon rapport avec le cinéma de ce lointain pays d'Asie reste très limité. Deux autres longs-métrages de cette nationalité figurent simplement sur ma liste: des films d'auteur, assez "pointus". Cette fois, je me suis retrouvé devant un vrai film d'exploitation. Problème: il aurait tout aussi bien pu être produit aux États-Unis. L'histoire ? Day, un jeune type qui bosse dans la pub, a pour mission de veiller au nettoyage d'une piscine utilisée au cours d'un tournage. Resté seul au bord de l'eau et fatigué, il s'octroie d'abord une sieste sur un matelas gonflable. Oui, mais... quand il se réveille, le niveau du bassin est plus faible et, bientôt au fond, il ne peut plus en sortir. Tout se compliquera encore avec l'apparition soudaine d'un crocodile ! Résultat: un récit tout à fait rocambolesque, avec quelques apartés fleur bleue portés par un personnage féminin exagérément sensible. Autant voir Enzo le croco et son histoire certes naïve, mais sympa...
Les dents de la mer, 2e partie
Film américain de Jeannot Swarc (1978)
Avec ce film, me voilà dans des eaux que je connais bien mieux. Franchement, je ne l'avais pas prévu ! J'imagine qu'un algorithme malicieux aura bien analysé mes intérêts geek pour ensuite venir poser sous mon nez une chronique relativement modérée sur ce bout de cinéma. Jusqu'alors, j'avais souvent vu cette suite du classique spielbergien - présent sur ce blog - présentée sous un mauvais jour. Je me suis donc dit: allez, pourquoi ne pas m'y frotter quand même ? J'ai donc retrouvé le regretté Roy Scheider dans la peau du shérif d'Amity, petite station balnéaire à nouveau confrontée à une attaque de requin. Je vous passe les détails: ils sont peu surprenants. Inutile également que je parle de la production (compliquée) de cet opus malaimé: je n'ai nullement l'intention de lui chercher des excuses. Honnêtement, le premier se suffit à lui-même, mais cet épisode 2 reste un divertissement honorable. Et mis en scène par un Frenchie. Avec en prime la musique de John Williams, on s'y retrouve, en fait. Et les volets 3 et 4 de la saga ? Eux, je n'ai pas prévu de les regarder !
----------
Une mini-conclusion, maintenant...
J'ai failli enchaîner avec le Piranhas d'Alexandre Aja, sorti en 2010. Finalement, je ne trouve pas indispensable de le voir rapidement. J'imagine un tout autre film pour commencer le mois de septembre. Mais on peut bien reparler de sales bêtes en section commentaires...
Film américain de Jeannot Swarc (1978)
Avec ce film, me voilà dans des eaux que je connais bien mieux. Franchement, je ne l'avais pas prévu ! J'imagine qu'un algorithme malicieux aura bien analysé mes intérêts geek pour ensuite venir poser sous mon nez une chronique relativement modérée sur ce bout de cinéma. Jusqu'alors, j'avais souvent vu cette suite du classique spielbergien - présent sur ce blog - présentée sous un mauvais jour. Je me suis donc dit: allez, pourquoi ne pas m'y frotter quand même ? J'ai donc retrouvé le regretté Roy Scheider dans la peau du shérif d'Amity, petite station balnéaire à nouveau confrontée à une attaque de requin. Je vous passe les détails: ils sont peu surprenants. Inutile également que je parle de la production (compliquée) de cet opus malaimé: je n'ai nullement l'intention de lui chercher des excuses. Honnêtement, le premier se suffit à lui-même, mais cet épisode 2 reste un divertissement honorable. Et mis en scène par un Frenchie. Avec en prime la musique de John Williams, on s'y retrouve, en fait. Et les volets 3 et 4 de la saga ? Eux, je n'ai pas prévu de les regarder !
----------
Une mini-conclusion, maintenant...
J'ai failli enchaîner avec le Piranhas d'Alexandre Aja, sorti en 2010. Finalement, je ne trouve pas indispensable de le voir rapidement. J'imagine un tout autre film pour commencer le mois de septembre. Mais on peut bien reparler de sales bêtes en section commentaires...