Le saviez-vous ? L'heure est grave ! Des alligators batifolent gaiement dans les égouts de New York. C'est du moins ce que dit une rumeur que j'ai entendue pour la première fois il y a... euh... très longtemps.
Est-ce cette légende urbaine qui a servi d'idée de départ à l'auteur américain Bernard Waber (1921-2013), créateur d'une série de livres pour enfants intitulée Lyle, Lyle, Crocodile ? J'avoue que je l'ignore. Toujours est-il que je suis allé voir l'adaptation cinématographique récente, sortie en France sous le titre Enzo le croco ! Un plaisir enfantin savouré auprès de ma très chère mère, disposée à s'amuser sans se soucier de l'âge du véritable public-cible (6-10 ans, je dirais) ! Bref... il s'agissait de partir à Manhattan pour rencontrer un reptile géant et plantigrade, élevé par un artiste de cabaret passé de mode. Lyle ou Enzo, donc, qui ne parle pas et chante à la perfection. Si, si...
Résultat: seuls dans la salle, Maman et moi nous sommes amusés. J'imagine que ce petit film a un bon potentiel... auprès des enfants plus jeunes que nous ! Oui, il est naïf, bien entendu, mais pas crétin. C'est ce que je pourrais appeler un "gentil divertissement familial". Logique: il se passe principalement dans une famille, le crocodile chanteur étant d'abord recueilli par un petit garçon (un peu timide). Surprise du chef: son propriétaire légitime est incarné par un acteur espagnol décidément étonnant et polyvalent, le grand Javier Bardem. Que puis-je ajouter ? Que le film semble rencontrer un succès d'estime assez mérité. Et je suis content d'y contribuer à ma mesure !
Enzo le croco
Film américain de Josh Gordon et Will Speck (2022)
Quatre étoiles qui s'assument et cherchent d'abord à attirer le regard d'un public soucieux d'un soupçon de nouveauté au rayon des films pour enfants. Voilà... j'oublierai ce long-métrage, mais l'ai apprécié pour sa modestie (et malgré donc deux réalisateurs sur le dossier !). Maintenant, c'est vrai: dans le domaine des créatures aussi étranges qu'attachantes, ce bon vieil E.T. reste évidemment très loin devant...
Est-ce cette légende urbaine qui a servi d'idée de départ à l'auteur américain Bernard Waber (1921-2013), créateur d'une série de livres pour enfants intitulée Lyle, Lyle, Crocodile ? J'avoue que je l'ignore. Toujours est-il que je suis allé voir l'adaptation cinématographique récente, sortie en France sous le titre Enzo le croco ! Un plaisir enfantin savouré auprès de ma très chère mère, disposée à s'amuser sans se soucier de l'âge du véritable public-cible (6-10 ans, je dirais) ! Bref... il s'agissait de partir à Manhattan pour rencontrer un reptile géant et plantigrade, élevé par un artiste de cabaret passé de mode. Lyle ou Enzo, donc, qui ne parle pas et chante à la perfection. Si, si...
Résultat: seuls dans la salle, Maman et moi nous sommes amusés. J'imagine que ce petit film a un bon potentiel... auprès des enfants plus jeunes que nous ! Oui, il est naïf, bien entendu, mais pas crétin. C'est ce que je pourrais appeler un "gentil divertissement familial". Logique: il se passe principalement dans une famille, le crocodile chanteur étant d'abord recueilli par un petit garçon (un peu timide). Surprise du chef: son propriétaire légitime est incarné par un acteur espagnol décidément étonnant et polyvalent, le grand Javier Bardem. Que puis-je ajouter ? Que le film semble rencontrer un succès d'estime assez mérité. Et je suis content d'y contribuer à ma mesure !
Enzo le croco
Film américain de Josh Gordon et Will Speck (2022)
Quatre étoiles qui s'assument et cherchent d'abord à attirer le regard d'un public soucieux d'un soupçon de nouveauté au rayon des films pour enfants. Voilà... j'oublierai ce long-métrage, mais l'ai apprécié pour sa modestie (et malgré donc deux réalisateurs sur le dossier !). Maintenant, c'est vrai: dans le domaine des créatures aussi étranges qu'attachantes, ce bon vieil E.T. reste évidemment très loin devant...
6 commentaires:
J'avoue que je suis surprise de ton choix de film en salle parfois mais tu sembles très dévouée à ta maman. Ce soir je vais voir Geremy Credeville avec lui.
J'ai vu le Crocro mimi avec mon Doudou de 9 ans. Nous avons bien aimé même si on aurait préféré qu'il reste petit plus longtemps. Nous avons aimé les escapades sur les toits mais pas du tout celles dans les poubelles :-)
Javier Bardem est étonnant et Madame s'essaie également avec beaucoup de réussite à la comédie musicale dans L'immensita.
Je veux dire avec mon fils :-))))
@Pascale 1:
Oui, mes choix m'étonnent moi-même, parfois, mais j'aime bien voir du cinéma "jeune public", de temps en temps. C'est à la fois pour enrichir ma culture du septième art et pour me détendre entre deux films "adultes". Il est clair que ce film vise plutôt les spectateurs de l'âge de ton Doudou...
Javier Bardem fait lui aussi des choix surprenants, en effet. Et je le respecte pour cela !
Dévoué à ma maman ? Peut-être. On aime bien aller au cinéma ensemble. Le tien aussi, non ?
@Pascale 2:
Et merci pour cette précision "éclaircissante" !
Je ne vais jamais au cinéma avec mon fils. Il est marié avec deux enfants et travaille 6 jours par semaine... donc toujours overbooké, il court beaucoup.
Hier c'était EXCEPTIONNEL cette soirée à deux. Mais c'était vraiment top.
Ah si, il y a quelques semaines, nous étions allés écouter/voir/entendre Ibrahim Maalouf : génial. Quel évènement !
C'est vrai que tu as l'habitude d'aller au cinéma seule. J'avais oublié...
Ibrahim Maalouf, je veux te croire: ça doit être vraiment chouette à découvrir en concert !
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