Chronique numéro 128 aujourd'hui. Je ne saurai jamais à combien j'en serais si je ne m'étais pas cassé la jambe au mois de mai dernier. Ce qui est très probable, c'est que j'aurais évoqué un peu plus de films vus au cinéma. Ce qui est possible aussi, en sens inverse, c'est qu'il y aurait moins de critiques de DVDs, faute d'avoir eu autant de temps pour en regarder. Bref. Le rapport de cette intro avec le message du jour, c'est que je vais parler d'un film que j'avais envie de voir avant mon accident, et que j'avais finalement manqué. Je crois me souvenir que j'avais prévu de m'offrir une séance avec une amie (tu confirmes, Ségo ?) et que, finalement, je n'avais même pas pu, convalescence oblige, participer à ce qu'on pourrait appeler une projection de rattrapage chez mes parents. Ce film que j'ai donc manqué deux fois, je suis sûr que vous aurez déjà reconnu le profil de son héros. Oui ? Non ? C'est le dernier épisode d'une vieille trilogie devenue série de quatre. Son nom, vous avez trouvé ? Indiana Jones et le Royaume du crâne de cristal, bien sûr.
Autant être clair: avant d'enfin pouvoir découvrir le film, les critiques que j'avais lues à son égard n'étaient pas encourageantes. Résumons le sentiment moyen: l'idée était que ce quatrième opus était vraisemblablement le plus faible de toute la série. Mouais. Admettons. Pour être tout à fait honnête, si je devais donner un avis sur ce postulat, il me semble qu'il faudrait d'abord que je revois chacun des trois autres épisodes: Les aventuriers de l'arche perdue, Le temple maudit et pour finir La dernière croisade. Bon. Ma critique du dernier nommé est disponible sur ce blog: je l'avais redécouvert à Sallanches, lors de mon séjour hospitalier. Et d'un ! Pour le reste, ma dernière vision remonte aux calendes grecques. Impossible, donc, d'établir une comparaison objective entre les Indy de 1981, 1984, 1989 et 2008. Ce serait certainement un peu facile. Un peu déloyal, aussi. Je refuse résolument de brûler l'un des héros de mon adolescence sur la seule base de quelques vieux souvenirs.
Après, puisque je choisis de vous donner mon avis sur Indiana Jones et le Royaume du crâne de cristal pris isolément, je crois honnête de dire tout d'abord que le film n'est sûrement pas un chef d'oeuvre. Mérite-t-il pour autant d'être descendu en flammes ? Je ne pense pas non plus. Que manque-t-il donc à cet Indy "nouvelle génération" ? Sans doute un peu de tonus et des personnages un peu plus typés. Aux côtés d'Harrison Ford, Steven Spielberg a eu la bonne idée d'offrir à Karen Allen de reprendre son rôle de Marion Ravenwood, l'ex-petite amie de l'aventurier, apparue dans l'épisode 1. Exit toutefois les autres personnages mythiques: Henry Jones Senior, Marcus Brody ou encore Sallah. Bref. Les nostalgiques n'en auront pas forcément eu pour leur argent, c'est vrai. Autre déception relative pour l'inconditionnel de la dame que je suis: la bonne idée de choisir Cate Blanchett pour un rôle de méchante donne un résultat final assez fade. Qu'à cela ne tienne ! Moi, j'étais malgré tout content de voir ce film. Et même s'il aurait peut-être pu être beaucoup mieux, j'ai trouvé sympa cet Indiana Jones vieilli et pourtant toujours actif. Les vrais héros ont forcément une petite part d'immortalité...
Autant être clair: avant d'enfin pouvoir découvrir le film, les critiques que j'avais lues à son égard n'étaient pas encourageantes. Résumons le sentiment moyen: l'idée était que ce quatrième opus était vraisemblablement le plus faible de toute la série. Mouais. Admettons. Pour être tout à fait honnête, si je devais donner un avis sur ce postulat, il me semble qu'il faudrait d'abord que je revois chacun des trois autres épisodes: Les aventuriers de l'arche perdue, Le temple maudit et pour finir La dernière croisade. Bon. Ma critique du dernier nommé est disponible sur ce blog: je l'avais redécouvert à Sallanches, lors de mon séjour hospitalier. Et d'un ! Pour le reste, ma dernière vision remonte aux calendes grecques. Impossible, donc, d'établir une comparaison objective entre les Indy de 1981, 1984, 1989 et 2008. Ce serait certainement un peu facile. Un peu déloyal, aussi. Je refuse résolument de brûler l'un des héros de mon adolescence sur la seule base de quelques vieux souvenirs.
Après, puisque je choisis de vous donner mon avis sur Indiana Jones et le Royaume du crâne de cristal pris isolément, je crois honnête de dire tout d'abord que le film n'est sûrement pas un chef d'oeuvre. Mérite-t-il pour autant d'être descendu en flammes ? Je ne pense pas non plus. Que manque-t-il donc à cet Indy "nouvelle génération" ? Sans doute un peu de tonus et des personnages un peu plus typés. Aux côtés d'Harrison Ford, Steven Spielberg a eu la bonne idée d'offrir à Karen Allen de reprendre son rôle de Marion Ravenwood, l'ex-petite amie de l'aventurier, apparue dans l'épisode 1. Exit toutefois les autres personnages mythiques: Henry Jones Senior, Marcus Brody ou encore Sallah. Bref. Les nostalgiques n'en auront pas forcément eu pour leur argent, c'est vrai. Autre déception relative pour l'inconditionnel de la dame que je suis: la bonne idée de choisir Cate Blanchett pour un rôle de méchante donne un résultat final assez fade. Qu'à cela ne tienne ! Moi, j'étais malgré tout content de voir ce film. Et même s'il aurait peut-être pu être beaucoup mieux, j'ai trouvé sympa cet Indiana Jones vieilli et pourtant toujours actif. Les vrais héros ont forcément une petite part d'immortalité...
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