Je ne sais plus quand j'ai mangé ma toute dernière glace au cinéma. Curieusement, je me souviens en revanche de ma dernière séance avec popcorn: c'était pour S.O.S. fantômes - L'héritage, fin 2021. Depuis, je me suis contenté de quelques bonbons - ou d'une sucette. Et quelle que soit la gourmandise, cela reste tout à fait exceptionnel !
Il y a quelques jours, avant de voir (à la télé) le film dont je parlerai demain, mes parents et moi avons fait un petit apéro au popcorn salé. Il m'en reste encore une boîte pour une séance-canapé en solo. Je suis bien incapable de vous dire quand je céderai à la tentation. Pire: je ne suis même pas sûr de craquer bientôt pour ce plaisir coupable. A priori, ce ne sera pas de nouveau dans une salle obscure. Je devine toutefois aisément que certains exploitants font leur beurre avec ce type de produits, plus qu'avec le septième art lui-même. Évidemment, il y aura toujours des réfractaires: je les comprends aussi, parfois, quand je me coltine un voisin de fauteuil trop bruyant. Bon... je supporte mieux le crunch crunch des mangeurs de popcorn que les bruits des gigoteurs ou la lumière de leurs chers smartphones. Et pour tout dire, je ne subis que peu de désagréments de ce type. C'est peut-être aussi parce que je choisis bien mes heures de sortie...
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On compare nos séances perturbées ?
La plus folle des miennes: une dame qui, au cours de la projection d'Amour, a commenté (et expliqué) l'ensemble des scènes à son mari.
On compare nos séances perturbées ?
La plus folle des miennes: une dame qui, au cours de la projection d'Amour, a commenté (et expliqué) l'ensemble des scènes à son mari.