Je ne vais sans doute rien apprendre aux cinéphiles les plus attentifs parmi vous: ce soir, la 50ème cérémonie des César a lieu à l'Olympia. Puis, il sera une heure du matin à Paris lundi quand la 97ème soirée des Oscars débutera au Dolby Theatre de Los Angeles. Deux dates cruciales pour le septième art et que j'anticipe toujours. Oui, de loin !
Concrètement, cette année, cela veut dire qu'il ne faudra pas compter sur moi pour vous proposer un suivi ou, a posteriori, un compte-rendu détaillé de l'un ou l'autre de ces deux grands événements. Mes index thématiques (les voyez-vous toujours, à droite ?) s'enrichiront chacun d'une nouvelle entrée, mais je m'en tiendrai à cela dans l'immédiat. Demain midi, c'est d'un seul film que je vous parlerai. Et lundi ? Aussi.
Je reste naïf, sans doute, mais j'aime l'idée que les remises de prix permettent de replacer certaines oeuvres ou personnalités du cinéma sur le devant de la scène, qui n'auraient pas eu les faveurs du public jusqu'alors. Je suis beaucoup moins sensible à l'idée de célébration nationale, mes idéaux pour la création artistique au sens le plus large ne me paraissant pas - ou guère - compatibles avec le chauvinisme. Les films ont certes une nationalité. Discutable ? C'est un autre débat. Qu'importe les gagnants, au fond: les autres ont toute mon estime. Même si j'ai bel et bien quelques chouchous dans le lot des nommés. Lesquels ? J'estime qu'il sera toujours temps d'en discuter plus tard. Je vous laisse donc à vos éventuels pronostics: cela peut être rigolo de les comparer à d'autres. Un plaisir simple, que je ne renierai pas...
Concrètement, cette année, cela veut dire qu'il ne faudra pas compter sur moi pour vous proposer un suivi ou, a posteriori, un compte-rendu détaillé de l'un ou l'autre de ces deux grands événements. Mes index thématiques (les voyez-vous toujours, à droite ?) s'enrichiront chacun d'une nouvelle entrée, mais je m'en tiendrai à cela dans l'immédiat. Demain midi, c'est d'un seul film que je vous parlerai. Et lundi ? Aussi.
Je reste naïf, sans doute, mais j'aime l'idée que les remises de prix permettent de replacer certaines oeuvres ou personnalités du cinéma sur le devant de la scène, qui n'auraient pas eu les faveurs du public jusqu'alors. Je suis beaucoup moins sensible à l'idée de célébration nationale, mes idéaux pour la création artistique au sens le plus large ne me paraissant pas - ou guère - compatibles avec le chauvinisme. Les films ont certes une nationalité. Discutable ? C'est un autre débat. Qu'importe les gagnants, au fond: les autres ont toute mon estime. Même si j'ai bel et bien quelques chouchous dans le lot des nommés. Lesquels ? J'estime qu'il sera toujours temps d'en discuter plus tard. Je vous laisse donc à vos éventuels pronostics: cela peut être rigolo de les comparer à d'autres. Un plaisir simple, que je ne renierai pas...