Je souhaite à présent vous parler d'un film que j'aime beaucoup. J'ai le sentiment qu'il est pourtant méconnu: il s'agit de Bandits, revu récemment à l'occasion d'une soirée DVD. Un duo de braqueurs de banques s'évade de prison et, à l'heure de planifier quelques derniers gros coups, tombe sur Kate, une femme déprimée, mais attachante. Joe Blake et Terry Collins avaient décidé de travailler à deux, les voilà contraints d'accepter l'irruption d'une troisième personne dans l'élaboration de leurs plans. Ce qui devait n'être qu'une parenthèse devient la situation normale en à peine plus de 24 heures.
Ce film a quelque chose de Butch Cassidy et le Kid, une autre oeuvre mythique dont il faudra bien que je me décide à vous parler. Deux hommes et une femme au milieu, c'est obligatoirement quelques choix à faire, surtout quand on fait commerce de vol organisé. Dit ainsi, cela pourrait laisser croire que Barry Levinson signe avec Bandits un film noir sans compromis. Mais non ! C'est même presque tout le contraire. Bien qu'elle semble d'abord représenter une menace pour eux, Kate adopte vite Joe et Terry, l'un, puis l'autre, puis les deux à la fois. Nouvelles embrouilles forcément, mais ça n'en est que plus drôle. Et plus tendre, aussi.
L'un des atouts les plus forts de Bandits, c'est son casting, surfant sur des dialogues remarquablement écrits. Le trio Joe-Terry-Kate s'en donne à coeur joie et on y croit vraiment de bout en bout, malgré l'aspect résolument rocambolesque de certaines situations. Habitué aux rôles de gros dur, Bruce Willis est ici parfait en homme fort à la sensibilité à peine cachée. Billy Bob Thornton, lui, met beaucoup de conviction à camper ce voleur hypocondriaque, un peu plus futé toutefois que son associé. Entre eux, la merveilleuse Cate Blanchett est... merveilleuse, je l'ai déjà dit. J'ajouterai que le reste de la distribution s'en sort très bien également. Je crois avoir vu Bandits quatre fois au moins. Je le dis avec force: j'ai toujours savouré. Si vous ne le connaissez pas encore, n'hésitez plus !
Ce film a quelque chose de Butch Cassidy et le Kid, une autre oeuvre mythique dont il faudra bien que je me décide à vous parler. Deux hommes et une femme au milieu, c'est obligatoirement quelques choix à faire, surtout quand on fait commerce de vol organisé. Dit ainsi, cela pourrait laisser croire que Barry Levinson signe avec Bandits un film noir sans compromis. Mais non ! C'est même presque tout le contraire. Bien qu'elle semble d'abord représenter une menace pour eux, Kate adopte vite Joe et Terry, l'un, puis l'autre, puis les deux à la fois. Nouvelles embrouilles forcément, mais ça n'en est que plus drôle. Et plus tendre, aussi.
L'un des atouts les plus forts de Bandits, c'est son casting, surfant sur des dialogues remarquablement écrits. Le trio Joe-Terry-Kate s'en donne à coeur joie et on y croit vraiment de bout en bout, malgré l'aspect résolument rocambolesque de certaines situations. Habitué aux rôles de gros dur, Bruce Willis est ici parfait en homme fort à la sensibilité à peine cachée. Billy Bob Thornton, lui, met beaucoup de conviction à camper ce voleur hypocondriaque, un peu plus futé toutefois que son associé. Entre eux, la merveilleuse Cate Blanchett est... merveilleuse, je l'ai déjà dit. J'ajouterai que le reste de la distribution s'en sort très bien également. Je crois avoir vu Bandits quatre fois au moins. Je le dis avec force: j'ai toujours savouré. Si vous ne le connaissez pas encore, n'hésitez plus !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire