J'avais pour ainsi dire "zappé" l'existence de Dreamworks Pictures. Depuis bientôt trente ans, le grand studio américain du fameux trio formé par Steven Spielberg, Jeffrey Katzenberg et David Geffen s'illustre avec des films d'animation, ainsi qu'avec d'autres en images réelles. Je viens juste d'en découvrir un: Le smoking, sorti en 2002...
Jackie Chan, alors âgé de 48 ans, y incarne Jimmy Tong, un chauffeur de taxi à New York, très efficace pour se sortir des bouchons XXL lorsque l'un de ses clients l'exige. Un beau jour, des conditions salariales astronomiques le convainquent de devenir le conducteur attitré d'un dénommé Clark Devlin, industriel millionnaire de son état. Surprise: ce charismatique personnage est par ailleurs agent secret. Jimmy l'apprendra soudain quand son patron sera grièvement blessé lors d'une attaque en pleine rue. Ni une ni deux, il endossera l'habit ultra-chic de ceux qui ont pour mission de sauver le monde libre. Encore heureux, vu qu'il y a aussi un méchant dans cette histoire ! J'arrête là avant de tout dire de cette comédie, proche de l'esprit potache (et souvent ras-des-pâquerettes) de l'humour des années 80. Un simple exemple: Le smoking, c'est également un rôle cousu-main pour Jennifer Love Hewitt, jolie demoiselle de 23 ans, incompatible aujourd'hui avec toutes les préconisations du mouvement #MeToo. Résultat: un film correct, malgré tout, mais que je vais vite oublier...
Le smoking
Film américain de Kevin Donovan (2002)
Une note généreuse pour ce machin assez dérisoire, finalement. J'imagine qu'on peut encore préférer en rigoler en considérant ce film comme la parodie d'un James Bond. Johnny English arrive derrière ! Vous avez bien sûr le droit de préférer le Casino Royale de 1967. Quelle autre pantalonnade récente pour rivaliser ? Je sèche un peu. Autant en revenir aux vraies bonnes comédies d'action des eighties...
Jackie Chan, alors âgé de 48 ans, y incarne Jimmy Tong, un chauffeur de taxi à New York, très efficace pour se sortir des bouchons XXL lorsque l'un de ses clients l'exige. Un beau jour, des conditions salariales astronomiques le convainquent de devenir le conducteur attitré d'un dénommé Clark Devlin, industriel millionnaire de son état. Surprise: ce charismatique personnage est par ailleurs agent secret. Jimmy l'apprendra soudain quand son patron sera grièvement blessé lors d'une attaque en pleine rue. Ni une ni deux, il endossera l'habit ultra-chic de ceux qui ont pour mission de sauver le monde libre. Encore heureux, vu qu'il y a aussi un méchant dans cette histoire ! J'arrête là avant de tout dire de cette comédie, proche de l'esprit potache (et souvent ras-des-pâquerettes) de l'humour des années 80. Un simple exemple: Le smoking, c'est également un rôle cousu-main pour Jennifer Love Hewitt, jolie demoiselle de 23 ans, incompatible aujourd'hui avec toutes les préconisations du mouvement #MeToo. Résultat: un film correct, malgré tout, mais que je vais vite oublier...
Le smoking
Film américain de Kevin Donovan (2002)
Une note généreuse pour ce machin assez dérisoire, finalement. J'imagine qu'on peut encore préférer en rigoler en considérant ce film comme la parodie d'un James Bond. Johnny English arrive derrière ! Vous avez bien sûr le droit de préférer le Casino Royale de 1967. Quelle autre pantalonnade récente pour rivaliser ? Je sèche un peu. Autant en revenir aux vraies bonnes comédies d'action des eighties...
2 commentaires:
Je me souviens de ce film. Pas sûre de l'avoir vu. A l'époque il ne sortait pas 20 films par semaine. Par contre, je suis certaine de ne pas le revoir.
Qui jouait le rôle du patron ? Un faire valoir j'imagine.
Le patron ? Il est joué par Jason Isaacs.
J'ai vaguement reconnu cet acteur britannique, mais incapable de savoir où je l'ai vu...
Le seul vrai rôle secondaire est celui de Jennifer Love Hewitt, en Jimmy-Tong-girl sexy.
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