Une chronique de Martin
C'est Valérie, collègue de travail, qui m'a briefé: Rowan Atkinson a fait ses débuts cinéma dans un James Bond. Incroyable mais vrai ! Mister Bean ne s'est pas fait en un jour ! Il a même gardé un intérêt pour les histoires d'espionnage, puisqu'il a aussi accepté de prêter ses traits à Johnny English, le héros éponyme d'un duo de films 100% barrés. Remarquez, je dis ça, je n'ai pas vu la suite, sortie récemment. Je me suis contenté d'apprécier le premier opus dernièrement, après l'un des repas raisonnables de ma fin d'année. Nourriture spirituelle, vous dites ? Faut pas déconner non plus...



Film britannique de John Howitt (2003)
Je ne crois pas qu'il y ait d'autre peuple en Europe capable de moquer pareillement ses plus hauts dirigeants. Rendez-vous compte: la reine Elisabeth elle-même apparaît (de dos) dans la bouffonnerie du jour. Moi qui regarde parfois la perfide Albion de travers reste admiratif devant ce sens de l'humour particulièrement développé et jubilatoire. Faute de vous avoir déjà parlé de ma comédie-culte, Un poisson nommé Wanda, je vous oriente aujourd'hui vers un autre extrait décalé de ce cinéma "so british": Joyeuses funérailles, récit échevelé... d'un enterrement raté. Ouais, ils sont fous, ces Anglais !
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Ils en ont parlé aussi...
Oui, comme vous le verrez, les deux rédacteurs de "L'oeil sur l'écran" ont aussi donné leur avis sur le film. Avec moins d'enthousiasme.
1 commentaire:
J'avais un souvenir médiocre de Johnny English, je me suis laissé entraîner pour voir la suite, qui au final par contre était très agréable !
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