dimanche 17 juillet 2022

Un temps d'arrêt

Une mini-chronique ce dimanche ! Je m'octroie une (petite) pause estivale. C'est une façon de parler, à vrai dire: j'ai un nouveau boulot depuis avril et, de fait, il me prend pas mal de temps et d'énergie. Encore loin de mes prochaines vacances, je me déconnecte un peu pour "me ménager mes neurones". Je pense que le fil des chroniques pourra reprendre autour du 5 août, mais je n'en suis pas sûr à 100%. Peut-être également que je couperai une seconde fois à l'automne. Bref... échanger sur le cinéma me passionne toujours, mais je dois recharger les batteries avant de publier d'autres textes personnels. Prenez soin de vous et allez au cinéma si possible: on en reparle vite !

vendredi 15 juillet 2022

Leur propre chemin

Un homme et une femme + une voiture = chabadabada ? Euh... non. Désolé, mais je crains qu'il soit injustifié de présenter En roue libre comme un film romantique. Ce long-métrage sorti à la toute fin juin conserve cependant assez de qualités pour être vu avec bienveillance. Nota: ce road movie à la française nous conduit jusqu'au Cap-Ferret...

Louise, infirmière, est si stressée qu'un matin, quitter l'habitacle douillet de sa vieille bagnole lui est devenu tout à fait impossible. Contrainte de passer une nuit sur un parking, elle fait la connaissance de Paul lorsque celui-ci s'introduit à bord du véhicule... pour le voler. On apprendra assez vite que le jeune homme entend rallier la côte atlantique, où il doit régler une histoire personnelle avec un avocat. Évidemment, ce ne sera pas aussi facile que prévu, la propriétaire légitime du "carrosse" restant plus ou moins prostrée sur la banquette arrière. Que dire ? Dans ce rôle, Marina Foïs est très convaincante. L'associer à Benjamin Voisin était une belle idée: le duo "fonctionne" !

J'ai bien aimé la fin du film, aussi, mais je n'ai aucune espèce d'intention de vous la raconter aujourd'hui. Rares sont les photos disponibles pour illustrer ma chronique sans trop en dire, justement. J'ai préféré ne pas utiliser celles du quotidien bourguignon, Le Bien Public - pour info, le film commence à Beaune. Et au niveau formel ? Il plutôt la route, si j'ose dire. Sans en faire des tonnes, il nous offre tout de même quelques plans soignés. C'est peu, mais c'est déjà bien dans la mesure où le cinéma français n'a pas toujours de tels égards pour le spectateur lambda. Vous pensez que j'ai décidé d'être sympa avec En roue libre ? Vous avez raison. J'ai du mal à expliquer pourquoi, mais je l'admets sans fausse honte: sa simplicité m'a plu. C'est toujours bien mieux qu'un scénario qui part dans tous les sens...

En roue libre
Film français de Didier Barcelo (2022)

Rien de transcendant, donc, mais j'ai passé un bon moment: je finis avec cette note correcte, à défaut donc d'arguments supplémentaires pour la justifier pleinement. Il n'est pas utile de tout intellectualiser. Au petit jeu de la comparaison, je trouve amusant de placer ce film face à un autre road movie de Marina Foïs: Orage, bien différent. Auriez-vous d'autres "films de route" à conseiller ? Je reste à l'écoute !

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Et si jamais vous manquez d'inspiration...

Peut-être la trouverez-vous après avoir lu également l'avis de Pascale. Sans ses conseils avisés, je serais sans doute passé à côté du film...

mercredi 13 juillet 2022

Innocente ?

Park Chan-wook fut, je crois, le premier cinéaste coréen récompensé au Festival de Cannes. Je me souviens avoir présenté l'un de ses films à une petite centaine de spectateurs, dans la salle d'un cinéma niçois. De retour sur la Croisette en mai avec son nouvel opus, il a décroché un autre trophée: le Prix de la mise en scène. Ah, il ne l'a pas usurpé !

Bien qu'assez complexe, Decision to leave est vraiment accrocheur. Pourquoi ce titre ? Il me semble que la nature de ce "choix de partir" est révélée à la fin du métrage, sur une plage, au coucher du soleil. Avant cela, nous sommes embarqués dans une histoire alambiquée ouverte par la mort d'un homme, tombé du sommet qu'il escaladait. Accident ? Suicide ? Meurtre ? Le flic en charge de l'enquête hésite. Problème: il est troublé par la veuve de la victime, une suspecte d'origine chinoise si jolie qu'il a très envie... de la croire innocente. Surprise: au moment de la cuisiner en interrogatoire, il lui offre même un plateau de sushis commandé chez un grand chef de la ville. Autant dire que nous aussi, spectateurs, devons rester concentrés pour comprendre ce qui se passe exactement ! Et c'en est fascinant...

Les plans s'enchaînent et nous offrent très régulièrement des images d'une grande qualité. Que Park Chan-wook cite Hitchcock comme celui qui lui a donné envie de faire du cinéma ne m'étonne pas, aux vues de la remarquable adéquation entre ce qu'il montre et ce qu'il raconte. Je ne suis par ailleurs pas vraiment sûr d'avoir tout bien compris. Qu'à cela ne tienne: j'ai pris un grand plaisir devant ce spectacle XXL. Soyez prévenus: Decision to leave mélange allégrement les genres. J'ose dire que ce n'est pas un film très accessible. Certains critiques ont parlé d'un jeu de piste ou d'un polar machiavélique: c'est juste dans les deux cas, dirais-je, même si j'ai encore bien peu de recul. Pour l'anecdote et parce que cela n'arrive pas souvent, je vous avoue qu'avant même la fin de la projection, je me disais déjà qu'il faudrait que je revoie le film pour être sûr de l'évoquer de façon pertinente. Bref, si je convaincs au moins quelqu'un de s'y frotter, ce sera bien. Info: seuls six films sud-coréens ont pu dépasser les 200.000 entrées dans les salles françaises. Le chemin du vrai succès est encore long...

Decision to leave
Film sud-coréen de Park Chan-wook (2022)

Je me répète: une oeuvre difficile à appréhender, oui, mais qui vaut largement qu'on s'y intéresse pour valoriser un septième art exigeant. Dans mon index "Cinéma du monde", d'autres exemples de bons films coréens sont cités - dont un excellent thriller: Memories of murder. En Chine, j'ai aimé Black coal, Une pluie sans fin... et dans un tour d'Asie, Shokuzai, pour le Japon, est une autre étape que je conseille !

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Et ailleurs sur la grande toile...

Vous pouvez déjà noter que Pascale est encore plus emballée que moi. J'ajoute - en "léger" différé - l'analyse enthousiaste de Princécranoir.

lundi 11 juillet 2022

Innocent ?

1982: la justice américaine condamne un aristocrate d'origine danoise à 30 ans de prison pour avoir tenté d'assassiner sa femme deux fois. L'intéressé se rapproche d'un juriste expérimenté pour faire appel. L'affaire deviendra ensuite un livre, rapidement transformé en film. Je vous passe les détails de procédure pénale pour parler de cinéma...

Avec Jeremy Irons dans le rôle principal, Le mystère Von Bülow s'inscrit comme l'un des nombreux films de procès made in Hollywood. Très classiquement, la question de la culpabilité du protagoniste passe rapidement au second plan, ce qui ménage un suspense certain et place alors chaque spectateur face à sa propre intime conviction. Autant l'admettre: bien qu'éculé, le dispositif reste assez efficace. L'acteur, lui, est plutôt inspiré (ce qui lui valut de remporter l'Oscar). J'ai passé un bon moment avec ce long-métrage et vous conseille d'éviter de tout lire sur le dossier véritable avant de vous y plonger. C'est me semble-t-il préférable pour apprécier la mise en scène cinématographique, qui s'appuie sur une voix off et des flashbacks. Juste un bémol: le rythme, un peu mou parfois. Je préfère me taire sur le cadre de l'intrigue, en soulignant simplement qu'il influe parfois sur la perception que l'on peut avoir de cet étonnant dossier criminel. Je suppose que c'était déjà le cas lors du vrai procès d'appel - et c'est pourquoi, une fois de plus, je m'en remets à votre jugement. Facile...

Le mystère Von Bülow
Film américain de Barbet Schroeder (1990)

"Pour moi, tout film est un documentaire": cette citation récente attribuée au cinéaste suisse vient enrichir ma réflexion sur cet opus intéressant, mais que j'avais d'abord espéré un tantinet plus haletant. Il faudrait que je me penche sur ses propres documentaires, tiens ! Avant cela, un rappel: 12 hommes en colère fait toujours référence comme film de procès. Je suggère aussi The third murder, au Japon.

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Envie d'en savoir plus ?

"L'oeil sur l'écran" est un choix possible. Mais attention aux spoilers...

vendredi 8 juillet 2022

Fratelli

Elle était en sommeil: mon envie de mieux connaître le patrimoine cinématographique italien s'est réveillée soudain avec une occasion de découvrir Rocco et ses frères. Je n'en savais pas grand-chose d'autre que la présence d'Alain Delon (24-25 ans !) en tête d'affiche. J'avais toutefois confiance en Luchino Visconti, maestro réalisateur...

Rocco et ses frères
raconte l'histoire d'une famille du sud de l'Italie. Quand le récit commence, le père est mort et, poussés par la misère sociale, la mère et quatre des fils arrivent à Milan, cette ville où l'aîné de la fratrie - Vincenzo - vit déjà avec sa fiancée. Ce déracinement commence assez mal pour les "sudistes", la grande ville du Nord n'étant pas franchement accueillante et partageuse de ses emplois. L'ensemble du film va alors être découpé en cinq chapitres symboliques, orienté chacun sur un frère différent, dans l'ordre décroissant des âges. Une précision: deux de ces protagonistes masculins sont vraiment essentiels pour l'avancée du récit lui-même. Disons que leurs caractères les conduiront assez vite à s'opposer. Comme d'habitude, je vais laisser de nombreux éléments de scénario dans l'ombre: le film est riche, de fait, et dure presque trois heures. Plus qu'au sujet, d'aucuns s'intéressent d'abord au reflet qui est donné de la situation de nombreux Italiens, partis de leur campagne natale sans jamais trouver de quoi subsister dans le nouveau cadre urbain...

Pour ma part, et bien que très intéressé aussi par cet arrière-plan social, j'ai surtout été sensible à la dimension quasi-lyrique du film. Rocco et ses frères est très humain, mais c'est également un drame implacable avec la plupart de ses personnages. Si je ne veux pas dire pourquoi il est crucial, j'indique au moins que le plus beau d'entre eux est celui d'une femme, Nadia, qu'Annie Girardot incarne avec un brio incontestable. On profite d'une photo noir et blanc à la beauté incroyable, de superbes mouvements de caméra et d'une direction générale "aux petits oignons": il n'est pas indécent de parler de chef d'oeuvre. Avec aussi, en guise de cerise, la musique de Nino Rota. Tant d'éclat pourrait sans nul doute vous laisser avec une impression d'excès, mais, pour peu que vous accrochiez au départ, je suis certain que ce magistral opus saura vous tenir en haleine jusqu'à son terme. C'est d'autant plus remarquable qu'à l'époque, l'Italie n'était pas avare de (très) grands films - NB: celui-ci fut primé à la Mostra de Venise. Le type d'oeuvres que j'aimerais voir classées au patrimoine mondial !

Rocco et ses frères
Film italien de Luchino Visconti (1960)

Une oeuvre remarquable, qui me semble prolonger le style néoréaliste en le surpassant: la vie telle qu'elle est, avec une emphase artistique. Cela me pousse à vous recommander d'autres films antérieurs considérés comme fondateurs, Rome ville ouverte étant le plus cité. Sorti lui aussi en 1960, La dolce vita adopte un autre ton encore. Maintenant, si vous préférez rire, voyez Divorce à l'italienne (1961) !

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Et si vous voulez d'autres pistes...

Vous pourrez également retrouver les avis de Dasola, Strum et Lui. Autre beau texte: une chronique (rétrospective) de notre ami Eeguab.

mercredi 6 juillet 2022

Trop peu de mystère

Bon... Quentin Dupieux devrait peut-être faire un peu moins de films. Son dernier - Incroyable mais vrai - ne m'a qu'à moitié convaincu. L'humour absurde de celui qui s'est fait connaître comme Mr. Oizo continue de me plaire, mais il y a des limites au n'importe quoi filmé. Ici, même la distribution, excellente, n'a pas suffi à mon plaisir. Aïe !

Les images aperçues avant la sortie ciné m'avaient mis en confiance. Des personnages du film y promettaient la révélation d'informations importantes, susceptibles d'impressionner les autres protagonistes. Quelle utilité pour le conduit qui s'enfonce dans le sol de la maison qu'un couple vient d'acheter ? Et qu'arrive-t-il au patron du mari ? J'avais espéré que le scénario nous fasse tourner autour du pot jusqu'au bout et donc sans jamais nous dire le fin mot de l'histoire. Peine perdue: d'abord mystérieux, Incroyable mais vrai déballe tout et se fait explicite après seulement quelques minutes d'introduction. Dès lors, bien que farfelu, il n'invente plus grand-chose d'original. Autant dire que, même si je n'ai pas su deviner où toute l'affaire pouvait bien conduire, je ne me suis senti que timidement intéressé. Certes, je ne vois aucun autre cinéaste français capable d'autres opus du même genre, mais cet argument positif a fait long feu, je pense...

Reste le casting et là-dessus, d'accord: Quentin Dupieux fait mouche. Avec les "revenants" que sont Anaïs Demoustier et Alain Chabat évidemment, elle en blonde écervelée, lui en comptable raplapla. Impeccables aussi, les "nouveaux", Léa Drucker et Benoît Magimel. Apparemment, la cote du jeune réalisateur est désormais assez haut pour qu'il puisse collaborer non seulement avec des stars comiques reconnues, mais également avec des comédiens proches du cinéma d'auteur - ce qui, sans conteste, est pour moi une bonne nouvelle. Pourtant, Incroyable mais vrai m'a bel et bien laissé sur ma faim. Dans son dernier tiers, le film s'emballe, comme si l'équipe de prod' avait tout à coup constaté qu'il n'y avait plus grand-chose à ajouter. Dommage qu'elle n'ait pas davantage exploré l'aspect mélancolique apparu entre les lignes de cette comédie un rien lourdingue, parfois ! Je suis certain que les fans du cinéaste lui pardonneront. Moi aussi...

Incroyable mais vrai
Film français de Quentin Dupieux (2022)

Trois étoiles pour mieux souligner l'inventivité constante du cinéaste. Même si tous ces films ne m'enthousiasment pas, je suis bien sûr ravi que le cinéma français puisse se permettre de telles excentricités. L'humour absurde me plaît également chez d'autres grands noms internationaux - et j'ai une grosse envie de revoir les Monty Python ! Du réalisateur du jour, j'ai préféré Rubber, Le daim et Mandibules...

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Vous vous attendiez à davantage d'enthousiasme ?

Je vous laisse découvrir ce que Pascale et Princécranoir en ont pensé. Nota bene: Benjamin, lui aussi, a parlé du film avant moi. Bien joué !

lundi 4 juillet 2022

Une famille recomposée

Salut ! Je reviens à mon horaire habituel pour vous parler d'un film que je suis allé voir en fin d'exploitation: Les passagers de la nuit. Rien à voir avec celui de 1947 porté par le tandem Bacall / Bogart. Celui dont je parle est français et signé Mikhaël Hers. Son scénario nous ramène au premier mandat de François Mitterrand (1981-1988) !

Abandonnée par son mari, Élisabeth se trouve donc seule à s'occuper de ses enfants adolescents, Judith et Matthias. Elle déniche un job comme standardiste de nuit dans une radio à l'antenne ouverte. D'emblée, on la prévient: le travail est ingrat, difficile et mal payé. Un beau soir, Élisabeth se laisse attendrir par une gamine SDF, venue au micro pour parler de sa vie. Talulah, à 18 ans, est toxicomane. C'est vite une évidence: Les passagers de la nuit nous parle de vies cabossées que les protagonistes tentent plus ou moins de redresser. Parfois, ce n'est en fait qu'une question de reconquête de soi-même. Dans d'autres occasions, c'est plus compliqué. Je vous laisse le voir...

Avec Charlotte Gainsbourg en tête d'affiche, Les passagers de la nuit tient une comédienne qui paraît taillée sur-mesure pour ce (beau) rôle de femme effacée et qui se bat dans le but de remonter à la surface. Sa voix extrêmement faible lui donne aussitôt l'allure d'une personne des plus vulnérables, au risque que cela semble exagéré, à la longue. S'attacher au trio de jeunes peut alors être une solution très décente pour s'intéresser à cet opus. Megan Northam et Quito Rayon Richter m'étaient encore inconnus, mais s'en sortent ici avec les honneurs. Avec eux, j'ai été enchanté de revoir Noée Abita, dont le visage juvénile cadre bien avec l'idée que je me suis fait de son personnage d'oiseau blessé. Le seul vrai souci, c'est que les morphologies des uns et des autres n'évoluent pas, tandis que le récit est censé se dérouler pendant sept années (entrecoupées d'ellipses). Rien de fondamental n'est dit si ce n'est que la solidarité survit aux heures les plus noires. Vous me direz que c'est déjà beaucoup et, ma foi, vous aurez raison. Les cyniques peuvent bien "zapper" ce film: il ne leur est pas destiné !

Les passagers de la nuit
Film français de Mikhaël Hers (2022)

Les bons sentiments du récit finissent par déborder un peu: ma note sera donc un peu plus faible que ce qu'elle aurait pu être dans le cas contraire. Si l'univers de la radio et la décennie 80 vous intéressent particulièrement, il vaut mieux vous recommander Les magnétiques. Dans un tout autre genre, Marche à l'ombre avait lui aussi témoigné des années Mitterrand, en temps quasi-réel. Nostalgie non garantie...

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Oh ! J'oubliais...
Emmanuelle Béart a un petit rôle. Et franchement, elle est très bien ! J'en profite pour dire la même chose de Didier Sandre, acteur discret.

Je pensais que le film aurait davantage de succès...
Il faudra vous contenter de la chronique de Pascale, qui s'est ennuyée.

samedi 2 juillet 2022

Tout compte fait...

J'aurais pu publier cette chronique à midi pile - comme d'habitude. Honnêtement, j'ai failli la décaler à dimanche matin: j'ai pu penser qu'elle aurait alors davantage de pertinence et/ou de visibilité. Finalement, tout bien considéré, ce premier billet du second semestre arrive donc aujourd'hui, en fin d'après-midi. Et je n'y reviendrai pas...

Peut-être n'avez-vous pas attendu pour le savoir: la Fête du cinéma démarre demain et, jusqu'à mercredi inclus, permettra de bénéficier de places de cinéma à quatre euros (hors suppléments 3D et autres) dans les salles participantes. C'est une bonne raison supplémentaire pour vous ruer vers le film que vous vouliez absolument voir sur écran géant... ou pour vous décider à donner sa chance à ce long-métrage moins évident a priori, mais qui titille toutefois votre curiosité. Soyez-en assurés: il n'y a pas de mauvaise raison d'aller au cinéma. Aucun opus ne vous attire à ce jour ? De nouveaux sortent mercredi. D'ici la fin de cette année, j'aimerais en voir une quarantaine environ.

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Et mes propositions, dans tout ça ?

Je n'en formulerai pas aujourd'hui, incertitude sur les programmes oblige. Cela noté, si vous en aviez à me / nous faire... n'hésitez pas !