Ce n'était pas prémédité, mais j'ai vu six films des années 80 au mois de mai dernier ! Le dernier s'appelle Wargames et je ne suis plus sûr de l'avoir découvert quand j'étais ado. Ce qui est clair, c'est qu'il est en phase avec son époque, marquée notamment par le lancement réussi des premiers micro-ordinateurs. Il y a juste quelques années...
Plutôt destiné au jeune public, Wargames a pour personnage principal un certain David Lightman, teenager américain féru d'informatique. Son réel talent pour la bidouille transforme cet élève moyen en pirate efficace et lui permet de faire grimper ses notes à l'insu de ses profs. Grisé par cette réussite, le jeune hacker s'attaque alors à un système mieux protégé, croyant pouvoir découvrir de nouveaux jeux vidéo sympa, avant leur commercialisation par leur éditeur. Grosse erreur ! Sans le savoir, il a en fait pris les commandes d'une technologie militaire susceptible de déclencher une guerre nucléaire mondiale. Bon... je vous épargnerai les détails: tout cela est in-vrai-sem-blable.
Et alors ? On s'en fiche ! Même si les relations américano-soviétiques étaient fraîches au moment de la diffusion en salles, je vous assure qu'il est préférable de prendre Wargames au tout premier degré plutôt que d'y chercher la moindre parcelle de réalisme. A priori conçu comme un divertissement sans grande conséquence, le long-métrage tient la route et pourrait vous plaire, si vous n'en attendez pas trop. Ce n'est que le deuxième rôle d'un Matthew Broderick assez populaire en son temps et, je le précise, toujours actif aujourd'hui, à 56 ans. On ne va pas se mentir: votre niveau de nostalgie pour les années 80 jouera un rôle dans votre appréciation du film. Ça, oui, c'est logique !
Wargames
Film américain de John Badham (1983)
Vous l'aurez compris: bien qu'un peu old school, ce long-métrage conserve un certain charme. Cela dit, si la perspective de l'apocalypse nucléaire ne vous effraie pas, je vous conseille plutôt un autre film sorti dix ans plus tard: le très amusant Panic sur Florida Beach. Pour revoir Matthew Broderick, La folle journée de Ferris Bueller reste à mes yeux un incontournable. Et il y a encore... un ordinateur !
Plutôt destiné au jeune public, Wargames a pour personnage principal un certain David Lightman, teenager américain féru d'informatique. Son réel talent pour la bidouille transforme cet élève moyen en pirate efficace et lui permet de faire grimper ses notes à l'insu de ses profs. Grisé par cette réussite, le jeune hacker s'attaque alors à un système mieux protégé, croyant pouvoir découvrir de nouveaux jeux vidéo sympa, avant leur commercialisation par leur éditeur. Grosse erreur ! Sans le savoir, il a en fait pris les commandes d'une technologie militaire susceptible de déclencher une guerre nucléaire mondiale. Bon... je vous épargnerai les détails: tout cela est in-vrai-sem-blable.
Et alors ? On s'en fiche ! Même si les relations américano-soviétiques étaient fraîches au moment de la diffusion en salles, je vous assure qu'il est préférable de prendre Wargames au tout premier degré plutôt que d'y chercher la moindre parcelle de réalisme. A priori conçu comme un divertissement sans grande conséquence, le long-métrage tient la route et pourrait vous plaire, si vous n'en attendez pas trop. Ce n'est que le deuxième rôle d'un Matthew Broderick assez populaire en son temps et, je le précise, toujours actif aujourd'hui, à 56 ans. On ne va pas se mentir: votre niveau de nostalgie pour les années 80 jouera un rôle dans votre appréciation du film. Ça, oui, c'est logique !
Wargames
Film américain de John Badham (1983)
Vous l'aurez compris: bien qu'un peu old school, ce long-métrage conserve un certain charme. Cela dit, si la perspective de l'apocalypse nucléaire ne vous effraie pas, je vous conseille plutôt un autre film sorti dix ans plus tard: le très amusant Panic sur Florida Beach. Pour revoir Matthew Broderick, La folle journée de Ferris Bueller reste à mes yeux un incontournable. Et il y a encore... un ordinateur !
4 commentaires:
Hello Martin. Vu à sa sortie, sympa. Plus léger que Ferris... et surtout Breakfast Club. On ne voit plus guère Matthew Broderick. Bon week-end (pour moi le film israélien Foxtrot).
Bon week-end à toi aussi, l'ami, et merci de t'être arrêté sur cette chronique.
Pour ma part, j'adore "La folle journée de Ferris Bueller" et son côté bigger than life.
"Breakfast club" ? Je l'ai enregistré récemment pour le découvrir enfin. J'en reparlerai… un jour.
C'est vrai que l'ami Matthew, bien que toujours actif, est assez discret désormais. Autre temps...
Sitôt vu sitot oublié mais c'était charmant et Matthew aussi.
Un popcorn movie, comme on dit de nos jours.
Franchement, en 1983, je suis sûr que plein d'ados ont aimé !
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