Une chronique de Martin
Aujourd'hui, quelques mots sur un projet cinéma que j'ai déjà évoqué dans une chronique précédente: le tournage prochain d'un film consacré à Queen et la décision prise par la production d'enrôler Sacha Baron Cohen pour interpréter Freddie Mercury. Un sondage rapide et pas du tout représentatif accompli parmi mes amis montre que le concept ne fait pas l'unanimité, mais que d'aucuns jugent également que ce choix audacieux pourrait être le bon. L'argument mis en avant tient parfois à une certaine ressemblance physique. Mouais. Pas convaincu. J'essaye juste de faire confiance à l'acteur.
L'une des questions qui se pose et à laquelle je n'ai pas de réponse précise pour l'instant est: qu'est-ce que le film va raconter exactement ? Je connais un peu le scénariste, Peter Morgan: j'ai pu apprécier son travail dans The Queen ou Au-delà, et il a paraît-il signé d'autres oeuvres sympa comme Frost/Nixon l'heure de vérité et Le dernier roi d'Écosse. Il semble que le Britannique veuille concentrer son approche du groupe mythique sur la période du milieu des années 80, quand apparaissent quelques dissensions en son sein. Pas question pour lui de parler de la fin du leader et donc du Sida. Évidemment, on peut le regretter mais moi, à ce stade, je demande simplement à voir. Avec un certain scepticisme, il est vrai.
Pour revenir à Sacha Baron Cohen, il me paraît évident qu'il n'a pas partie gagnée et n'aura pas davantage le droit à l'erreur. Les fans l'attendent au tournant. J'ai tout de même noté que, s'il s'est fait connaître pour des films portés sur la gaudriole, l'acteur a aussi obtenu quelque reconnaissance et un Golden Globe pour son rôle farfelu de journaliste venu du Kazakhstan dans Borat. Comparaison n'est pas raison, mais je constate ici qu'il est l'héritier de comédiens que j'aime beaucoup, de Jack Lemmon à Bill Murray, en passant encore par Marcello Mastroianni, George Clooney ou Jim Carrey. Reste à attendre patiemment jusqu'en 2012 pour juger sur pièce. D'ici là, Sacha Baron Cohen devrait interpréter... Saddam Hussein !
L'une des questions qui se pose et à laquelle je n'ai pas de réponse précise pour l'instant est: qu'est-ce que le film va raconter exactement ? Je connais un peu le scénariste, Peter Morgan: j'ai pu apprécier son travail dans The Queen ou Au-delà, et il a paraît-il signé d'autres oeuvres sympa comme Frost/Nixon l'heure de vérité et Le dernier roi d'Écosse. Il semble que le Britannique veuille concentrer son approche du groupe mythique sur la période du milieu des années 80, quand apparaissent quelques dissensions en son sein. Pas question pour lui de parler de la fin du leader et donc du Sida. Évidemment, on peut le regretter mais moi, à ce stade, je demande simplement à voir. Avec un certain scepticisme, il est vrai.
Pour revenir à Sacha Baron Cohen, il me paraît évident qu'il n'a pas partie gagnée et n'aura pas davantage le droit à l'erreur. Les fans l'attendent au tournant. J'ai tout de même noté que, s'il s'est fait connaître pour des films portés sur la gaudriole, l'acteur a aussi obtenu quelque reconnaissance et un Golden Globe pour son rôle farfelu de journaliste venu du Kazakhstan dans Borat. Comparaison n'est pas raison, mais je constate ici qu'il est l'héritier de comédiens que j'aime beaucoup, de Jack Lemmon à Bill Murray, en passant encore par Marcello Mastroianni, George Clooney ou Jim Carrey. Reste à attendre patiemment jusqu'en 2012 pour juger sur pièce. D'ici là, Sacha Baron Cohen devrait interpréter... Saddam Hussein !
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