Une chronique de Martin
Il est possible que je me sois inquiété pour rien. Il y a quelque temps déjà, j'avais lu un petit article cinéma évoquant la dissolution possible de Ghibli. L'idée évoquée était la transformation du studio japonais en un simple exploitant des oeuvres déjà produites, administré par une équipe réduite. Heureusement, les succès consécutifs, de Ponyo sur la falaise, puis d'Arrietty, le petit monde des chapardeurs, auraient changé la donne. Il ne semble plus être question de fermeture aujourd'hui. C'est plutôt rassurant. L'héritage pourra être préservé et la créativité se développer encore. Ouf !
Les admirateurs du senseï Hayao Miyazaki apprendront sûrement avec bonheur qu'à 70 ans, il plancherait sur l'un de ses vieux projets, une suite à donner à Porco Rosso. Je n'ai pas encore saisi l'occasion de voir le premier opus, sorti en... 1992 et récompensé au Festival du film d'animation d'Annecy l'année suivante. C'est peut-être partie remise. En attendant, une chose est sûre: même si je ne suis pas toujours fou des créations des Japonais de Ghibli, je suis heureux qu'ils puissent continuer à exercer. L'émerveillement reste possible. Comme une invitation qu'il est agréable de ne pas devoir décliner.
Les admirateurs du senseï Hayao Miyazaki apprendront sûrement avec bonheur qu'à 70 ans, il plancherait sur l'un de ses vieux projets, une suite à donner à Porco Rosso. Je n'ai pas encore saisi l'occasion de voir le premier opus, sorti en... 1992 et récompensé au Festival du film d'animation d'Annecy l'année suivante. C'est peut-être partie remise. En attendant, une chose est sûre: même si je ne suis pas toujours fou des créations des Japonais de Ghibli, je suis heureux qu'ils puissent continuer à exercer. L'émerveillement reste possible. Comme une invitation qu'il est agréable de ne pas devoir décliner.
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