Bon. J'ai revu Ne le dis à personne avec des amis. Le constat s'impose: comme beaucoup de polars, il passe difficilement le cap d'un deuxième visionnage. Aujourd'hui, je préfère donc vous dire deux mots de l'acteur principal que de revenir sur le film. J'ai réfléchi quand même à ce qui pourrait être intéressant: j'ai failli faire l'impasse, tout simplement, ou évoquer Guillaume Canet réalisateur.
J'ai donc fini par choisir d'évoquer François Cluzet. Je l'aime bien. Longtemps, je l'ai confondu avec Robin Renucci, qui n'est plus jeune que de quelques mois. Au moment d'écrire cette chronique, je vois encore que le tout petit rôle de médecin dans Le hussard sur le toit que j'attribuais à Romain avait été donné à François ! Je suppose donc que cela confirmera que j'ai vu plus de films avec le second qu'avec le premier, son pseudo-sosie. Leurs carrières d'acteur cinéma n'ont commencé qu'à deux ans d'intervalle, mais oublions Renucci ! Cluzet, sur les Bobines, c'est L'été meurtrier, Paris, À l'origine, Blanc comme neige, Les petits mouchoirs et enfin Intouchables. Sans oublier Ne le dis à personne, donc. Je vous laisse cliquer. Sincèrement, je crois bien qu'il y en a à peu près pour tous les goûts.
À ce jour, le dernier rôle dans lequel j'ai vu François Cluzet, c'est celui de président de l'Académie des Césars, cette année. Pour vous dire les choses comme elles sont, il m'a un peu déçu: je l'ai trouvé moyen. Déjà, sur le tapis rouge, son excitation évidente dissimulait bien mal un discours faussement modeste, le comédien annonçant d'avance qu'il aurait ensuite des difficultés à être à la fois drôle et intelligent. Qu'il salue d'emblée les intermittents, j'ai apprécié, même s'il l'a fait de manière un peu poussive à mon goût. En revanche, qu'il débine Alain Delon, en son absence et sans le nommer, j'ai trouvé ça "léger" et assez mesquin de sa part. Cela dit, je ne bouderai pas mon plaisir de le retrouver sur grand écran à l'occasion. Son prochain film l'associera à Sophie Marceau: Une rencontre sort en salles le 23 avril.
J'ai donc fini par choisir d'évoquer François Cluzet. Je l'aime bien. Longtemps, je l'ai confondu avec Robin Renucci, qui n'est plus jeune que de quelques mois. Au moment d'écrire cette chronique, je vois encore que le tout petit rôle de médecin dans Le hussard sur le toit que j'attribuais à Romain avait été donné à François ! Je suppose donc que cela confirmera que j'ai vu plus de films avec le second qu'avec le premier, son pseudo-sosie. Leurs carrières d'acteur cinéma n'ont commencé qu'à deux ans d'intervalle, mais oublions Renucci ! Cluzet, sur les Bobines, c'est L'été meurtrier, Paris, À l'origine, Blanc comme neige, Les petits mouchoirs et enfin Intouchables. Sans oublier Ne le dis à personne, donc. Je vous laisse cliquer. Sincèrement, je crois bien qu'il y en a à peu près pour tous les goûts.
À ce jour, le dernier rôle dans lequel j'ai vu François Cluzet, c'est celui de président de l'Académie des Césars, cette année. Pour vous dire les choses comme elles sont, il m'a un peu déçu: je l'ai trouvé moyen. Déjà, sur le tapis rouge, son excitation évidente dissimulait bien mal un discours faussement modeste, le comédien annonçant d'avance qu'il aurait ensuite des difficultés à être à la fois drôle et intelligent. Qu'il salue d'emblée les intermittents, j'ai apprécié, même s'il l'a fait de manière un peu poussive à mon goût. En revanche, qu'il débine Alain Delon, en son absence et sans le nommer, j'ai trouvé ça "léger" et assez mesquin de sa part. Cela dit, je ne bouderai pas mon plaisir de le retrouver sur grand écran à l'occasion. Son prochain film l'associera à Sophie Marceau: Une rencontre sort en salles le 23 avril.
1 commentaire:
J'aime bien aussi cet acteur, qui apporte toujours beaucoup de sensibilité et de fragilité à ses personnages. Au point que cela en devient d'ailleurs routinier, mais bon...
Pas vu ni entendu le discours qu'il a tenu à l'occasion de la dernière cérémonie des Césars, mais apparemment, c'était assez racoleur politiquement.
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