Le chien du Tibet est un dessin animé asiatique que j'avais repéré depuis... longtemps dans l'offre de mon bouquet de chaînes Internet. La période des Fêtes de fin d'année m'a semblé une période propice pour le découvrir enfin. Je l'ai jugé satisfaisant. Un terme très moche pour dire que, sans m'enthousiasmer tout à fait, il ne m'a pas déplu...
Derrière mes euphémismes, le film vous propose de venir faire connaissance avec Tenzin, un petit citadin chinois qui vient de perdre sa maman. C'est alors qu'il s'installe dans les montagnes et devient donc un berger. Un beau jour, quand il lui faut ramener un mouton égaré vers le troupeau, le garçonnet tombe nez à nez avec une meute de loups. Terrifié, il ne doit sa survie qu'à l'intervention (divine ?) d'un gros chien au pelage doré. C'est la naissance d'une amitié inoxydable entre l'enfant et l'animal. Le chien du Tibet ne réinvente en rien les codes de la production animée dite classique, c'est un fait. Son scénario est convenu, d'accord, mais ni ridicule, ni inintéressant.
Peut-être qu'il aurait eu plus de force en se rapprochant un peu plus du documentaire sur les modes de vie dans cette région du monde. Dans son développement, il préfère aborder une sous-thématique "écologique" autour de la relation qui unit tout homme à la nature. Autre lecture: il s'attache aussi à dire quelque chose de la mythologie des peuples qu'il observe - avec un grand respect mêlé de pudeur. Afin d'en profiter au mieux, il faut juste prendre Le chien du Tibet pour ce qu'il est: une production plutôt modeste, qui ne cherche pas forcément à se hisser au niveau des meilleures références du genre. J'affirme qu'il y a aussi une vraie richesse dans ce cinéma de l'intime.
Le chien du Tibet
Film sino-japonais de Masayuki Kojima (2012)
Inutile, donc, de comparer cet opus avec les oeuvres et chefs d'oeuvre sortis du studio Ghibli, entre autres ! Je n'ai sûrement pas fini d'explorer l'incroyable richesse de l'animation venue d'Asie. À ceux d'entre vous qui voudraient sortir des sentiers battus, je conseille encore une fois de jeter un oeil à Miss Hokusai, au cinéma l'an passé. Autre "tuyau", dans un genre futuriste: Patéma et le monde inversé.
Derrière mes euphémismes, le film vous propose de venir faire connaissance avec Tenzin, un petit citadin chinois qui vient de perdre sa maman. C'est alors qu'il s'installe dans les montagnes et devient donc un berger. Un beau jour, quand il lui faut ramener un mouton égaré vers le troupeau, le garçonnet tombe nez à nez avec une meute de loups. Terrifié, il ne doit sa survie qu'à l'intervention (divine ?) d'un gros chien au pelage doré. C'est la naissance d'une amitié inoxydable entre l'enfant et l'animal. Le chien du Tibet ne réinvente en rien les codes de la production animée dite classique, c'est un fait. Son scénario est convenu, d'accord, mais ni ridicule, ni inintéressant.
Film sino-japonais de Masayuki Kojima (2012)
Inutile, donc, de comparer cet opus avec les oeuvres et chefs d'oeuvre sortis du studio Ghibli, entre autres ! Je n'ai sûrement pas fini d'explorer l'incroyable richesse de l'animation venue d'Asie. À ceux d'entre vous qui voudraient sortir des sentiers battus, je conseille encore une fois de jeter un oeil à Miss Hokusai, au cinéma l'an passé. Autre "tuyau", dans un genre futuriste: Patéma et le monde inversé.
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