Certains de mes amis restent bouche bée devant Scarlett Johansson. Jamais à mes yeux elle n'a pourtant encore pu prétendre se mesurer aux plus grandes stars hollywoodiennes. Je relativise ce propos sévère en soulignant que la belle n'a jamais que 29 ans. Si sa carrière continue de suivre son cours, elle pourrait sans nul doute être demain l'une des plus grandes stars de sa génération. C'est bien parti, en fait.
Son personnage virtuel dans Her m'a séduit, je dois dire. Je respecte particulièrement les artistes qui osent parfois prendre des risques avec leur image. Comment alors ne pas être admiratif d'une femme considérée par beaucoup comme un sex symbol et qui accepte un rôle totalement invisible, réduit à sa seule performance verbale ? J'y vois un culot que beaucoup d'autres comédiens et comédiennes n'ont pas. C'est aussi la 35ème participation de la demoiselle à un long-métrage. Peut-être bien la plus intrigante également. J'attends donc la suite...
Même si rien ne permet d'affirmer qu'il y aura d'autres occasions d'apprécier la complémentarité de leur talent, Scarlett Johansson demeure pour moi indissociable de Woody Allen. J'ai choisi d'illustrer mon propos avec une image de Scoop, le deuxième des trois films qu'ils ont tournés ensemble et le seul qui les réunit à l'écran. J'aime les deux autres, Match point et Vicky Cristina Barcelona. Scarlett joue les femmes fatales dans le premier, les coquines dans le second. J'ignore si un autre réalisateur que Woody a su aussi bien la filmer.
Les gazettes people ne parlent plus guère que de sa future maternité. Sur grand écran, il est prévu qu'elle rendosse (deux fois !) la tenue moulante de la Veuve Noire, le personnage de la franchise Avengers. N'étant pas spécialement amateur de films de super-héros, je risque encore une fois de passer à côté ou au moins d'attendre la diffusion télé. Scarlett me paraît tellement mieux dans Lost in translation ! Curieusement, son parcours au cinéma est une suite de blockbusters et de films d'auteur, sans cohérence apparente. Cela peut dérouter.
Un jour populaire, le lendemain malaimée, Scarlett sait faire parler d'elle de différentes façons - c'est sans doute une partie de son talent. Dernièrement, avant de recevoir un César d'honneur, elle aurait déçu une partie de ses fans en renonçant à un engagement humanitaire pour faire la pub d'une société israélienne implantée sur le sol palestinien. Je n'ai pas vraiment d'avis définitif sur cette polémique. J'aime autant ne m'intéresser qu'au cinéma et attendre patiemment Under the skin, un film où Scarlett sera brune et... extra-terrestre !
Son personnage virtuel dans Her m'a séduit, je dois dire. Je respecte particulièrement les artistes qui osent parfois prendre des risques avec leur image. Comment alors ne pas être admiratif d'une femme considérée par beaucoup comme un sex symbol et qui accepte un rôle totalement invisible, réduit à sa seule performance verbale ? J'y vois un culot que beaucoup d'autres comédiens et comédiennes n'ont pas. C'est aussi la 35ème participation de la demoiselle à un long-métrage. Peut-être bien la plus intrigante également. J'attends donc la suite...
Même si rien ne permet d'affirmer qu'il y aura d'autres occasions d'apprécier la complémentarité de leur talent, Scarlett Johansson demeure pour moi indissociable de Woody Allen. J'ai choisi d'illustrer mon propos avec une image de Scoop, le deuxième des trois films qu'ils ont tournés ensemble et le seul qui les réunit à l'écran. J'aime les deux autres, Match point et Vicky Cristina Barcelona. Scarlett joue les femmes fatales dans le premier, les coquines dans le second. J'ignore si un autre réalisateur que Woody a su aussi bien la filmer.
Les gazettes people ne parlent plus guère que de sa future maternité. Sur grand écran, il est prévu qu'elle rendosse (deux fois !) la tenue moulante de la Veuve Noire, le personnage de la franchise Avengers. N'étant pas spécialement amateur de films de super-héros, je risque encore une fois de passer à côté ou au moins d'attendre la diffusion télé. Scarlett me paraît tellement mieux dans Lost in translation ! Curieusement, son parcours au cinéma est une suite de blockbusters et de films d'auteur, sans cohérence apparente. Cela peut dérouter.
Un jour populaire, le lendemain malaimée, Scarlett sait faire parler d'elle de différentes façons - c'est sans doute une partie de son talent. Dernièrement, avant de recevoir un César d'honneur, elle aurait déçu une partie de ses fans en renonçant à un engagement humanitaire pour faire la pub d'une société israélienne implantée sur le sol palestinien. Je n'ai pas vraiment d'avis définitif sur cette polémique. J'aime autant ne m'intéresser qu'au cinéma et attendre patiemment Under the skin, un film où Scarlett sera brune et... extra-terrestre !
2 commentaires:
Pas fan du tout de la blondinette pour ma part.
Bonne journée.
++
Je l'adore ! C'est une merveilleuse actrice, mais je la préfère nettement chez Woody Allen ou dans des rôles "normaux" que dans les franchises super héros qui commencent à m'escagasser. Je voudrais la voir chez Scorsese ou James Gray ou Michael Mann...
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