J'ai une question pour vous, lecteurs fidèles ou de passage: un type de film particulier a-t-il votre préférence les soirs de grosse fatigue ? Personnellement, il arrive parfois que je me repose les neurones devant un "spectacle" plutôt médiocre, mais que je veux croire rigolo. C'est ainsi qu'au petit bonheur la chance, j'ai parié sur Cherry 2000 !
Autre question: si je vous parle de Melanie Griffith, vous connaissez ? Vu qu'elle tourne toujours, c'est assez injustement que je vois l'actrice comme une poupée blonde des années 80. J'ajoute que, dans le film qui nous occupe aujourd'hui, elle a bel et bien les cheveux rouges ! Précision: l'action de Cherry 2000 est censée se passer en 2017. Melanie y interprète Edith E. Johnson, une espèce de Mad Max féminin, à qui un dénommé Sam Treadwell, joué par David Andrews, demande de l'aide pour traverser une zone du territoire américain occupée par un gang de fous furieux, dominé par un chef sanguinaire. Objectif (tenez-vous bien !): dénicher et récupérer un robot-femme. À vrai dire, Sam en possédait déjà un, mais il est tombé en panne après ce que ce qu'on pourrait appeler une soirée un peu trop humide.
Vous l'aurez compris: il ne sera pas facile de remplacer une androïde par une autre, et ce même avec le soutien d'une femme bien réelle. Proche du nanar, mais pas prétentieux, le film nous offre un méchant incroyablement kitsch. Au final, je me suis vite laissé prendre au jeu. Le tout est, je crois, de ne pas prendre cette histoire au sérieux. Improbable rejeton du cinéma de genre, Cherry 2000 trace son sillon sans se poser de question existentielle: le fait est que son côté cheap me l'a rendu sympathique. Après, c'est vrai que l'image des femmes n'en sort pas grandie: hormis l'héroïne, toutes celles qui passent devant la caméra sont des machines, des idiotes ou des créatures prêtes à monnayer leurs charmes... après avoir signé un contrat ! Vous me direz: avec un taux de chômage à 40%, on peut comprendre. Non ? Pas vous ? D'accord. Je plaide coupable: j'ai eu un moment d'égarement. Mais il est fort probable que ce ne sera pas le dernier...
Cherry 2000
Film américain de Steve De Jarnatt (1988)
J'ai fait une allusion à Mad Max, mais soyons clairs: le film d'aujourd'hui se place un bon cran en-dessous d'un point de vue qualitatif. Reste qu'il m'a permis un vrai bon moment de détente. Comment l'expliquer ? Je confirme qu'au fond, entre deux oeuvres "exigeantes", j'aime faire une pause avec ce genre de programme. Déjà présentés, Action Jackson ou Jack Burton valent le coup d'oeil !
Autre question: si je vous parle de Melanie Griffith, vous connaissez ? Vu qu'elle tourne toujours, c'est assez injustement que je vois l'actrice comme une poupée blonde des années 80. J'ajoute que, dans le film qui nous occupe aujourd'hui, elle a bel et bien les cheveux rouges ! Précision: l'action de Cherry 2000 est censée se passer en 2017. Melanie y interprète Edith E. Johnson, une espèce de Mad Max féminin, à qui un dénommé Sam Treadwell, joué par David Andrews, demande de l'aide pour traverser une zone du territoire américain occupée par un gang de fous furieux, dominé par un chef sanguinaire. Objectif (tenez-vous bien !): dénicher et récupérer un robot-femme. À vrai dire, Sam en possédait déjà un, mais il est tombé en panne après ce que ce qu'on pourrait appeler une soirée un peu trop humide.
Vous l'aurez compris: il ne sera pas facile de remplacer une androïde par une autre, et ce même avec le soutien d'une femme bien réelle. Proche du nanar, mais pas prétentieux, le film nous offre un méchant incroyablement kitsch. Au final, je me suis vite laissé prendre au jeu. Le tout est, je crois, de ne pas prendre cette histoire au sérieux. Improbable rejeton du cinéma de genre, Cherry 2000 trace son sillon sans se poser de question existentielle: le fait est que son côté cheap me l'a rendu sympathique. Après, c'est vrai que l'image des femmes n'en sort pas grandie: hormis l'héroïne, toutes celles qui passent devant la caméra sont des machines, des idiotes ou des créatures prêtes à monnayer leurs charmes... après avoir signé un contrat ! Vous me direz: avec un taux de chômage à 40%, on peut comprendre. Non ? Pas vous ? D'accord. Je plaide coupable: j'ai eu un moment d'égarement. Mais il est fort probable que ce ne sera pas le dernier...
Cherry 2000
Film américain de Steve De Jarnatt (1988)
J'ai fait une allusion à Mad Max, mais soyons clairs: le film d'aujourd'hui se place un bon cran en-dessous d'un point de vue qualitatif. Reste qu'il m'a permis un vrai bon moment de détente. Comment l'expliquer ? Je confirme qu'au fond, entre deux oeuvres "exigeantes", j'aime faire une pause avec ce genre de programme. Déjà présentés, Action Jackson ou Jack Burton valent le coup d'oeil !
2 commentaires:
Les soirs de grosse fatigue, voire pire... Je mets Kaamelot. J'ai l'intégrale en DVD. Je vais mieux à chaque fois, c'est garanti.
Ton film là... non merci.
J'ai l'impression qu'il y a eu plein de petits films comme ça, dans les années 80.
Mais c'est pas faux: moi aussi, j'aime Kaamelott. Et Alexandre Astier dans ce qu'il fait d'autre.
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