Arrêtez-moi si je me trompe: si ce n'est bien sûr leur nom de famille et leur statut d'icône du cinéma mondial, Katherine et Audrey Hepburn n'ont pas forcément grand-chose en commun. C'est même le hasard qui m'a conduit à voir un film de la seconde aussitôt après en avoir vu un autre de la première. Aujourd'hui, donc, place à Deux têtes folles !
Miss Audrey Hepburn y joue un énième rôle de jeune femme ingénue. Même si l'intrigue n'est donc pas très originale, j'apprécie toujours ces comédies romantiques "à l'ancienne". Cette fois, la demoiselle partage l'affiche avec William Holden, un homme qu'elle a aussi aimé à la ville. Leur complicité fait merveille et ajoute un peu de crédibilité aux péripéties visibles à l'écran: à Paris, une gentille dactylo tombe doucement sous le charme du scénariste franchement paresseux qu'elle était d'abord censée aider à terminer un travail urgentissime. Vous permettrez assurément que je vous passe les détails: c'est drôle et tendre à la fois, raccord avec ce que j'appelle le cinéma chamallow.
Une partie de l'efficacité de Deux têtes folles, très étonnant remake américain d'un film du Français Julien Duvivier, tient à une idée sympa: le réalisateur interprété par William Holden se donne une vie de rêve par l'intermédiaire de son personnage, laquelle vie de rêve étant bien sûr le premier sujet du film... et l'irrésistible piège d'amour tendu à la jolie Audrey Hepburn. Le fait que le tout se passe en France ajoute encore une cerise glamour à ce gâteau 100% sucre. Quelques esprits chagrins me diront peut-être que tout cela a vieilli. C'est vrai, mais ce n'est pas un problème pour moi. Je suis prêt à voir d'autres films de ce genre, sans ennui. Quand on aime, vous savez...
Deux têtes folles
Film américain de Richard Quine (1964)
La fête à Henriette... c'est le titre du film de Julien Duvivier, sorti douze ans plus tôt. Je ne l'ai pas vu, désolé ! Pour vous embarquer vers d'autres horizons familiers, je me contenterai de vous dire aussi que le long-métrage évoqué ce jour a pu me rappeler Le magnifique. C'est l'affaire de la mise en abyme, si vous voyez ce que je veux dire. Du coup, confirmation: j'aime quand le cinéma s'amuse... du cinéma !
Miss Audrey Hepburn y joue un énième rôle de jeune femme ingénue. Même si l'intrigue n'est donc pas très originale, j'apprécie toujours ces comédies romantiques "à l'ancienne". Cette fois, la demoiselle partage l'affiche avec William Holden, un homme qu'elle a aussi aimé à la ville. Leur complicité fait merveille et ajoute un peu de crédibilité aux péripéties visibles à l'écran: à Paris, une gentille dactylo tombe doucement sous le charme du scénariste franchement paresseux qu'elle était d'abord censée aider à terminer un travail urgentissime. Vous permettrez assurément que je vous passe les détails: c'est drôle et tendre à la fois, raccord avec ce que j'appelle le cinéma chamallow.
Une partie de l'efficacité de Deux têtes folles, très étonnant remake américain d'un film du Français Julien Duvivier, tient à une idée sympa: le réalisateur interprété par William Holden se donne une vie de rêve par l'intermédiaire de son personnage, laquelle vie de rêve étant bien sûr le premier sujet du film... et l'irrésistible piège d'amour tendu à la jolie Audrey Hepburn. Le fait que le tout se passe en France ajoute encore une cerise glamour à ce gâteau 100% sucre. Quelques esprits chagrins me diront peut-être que tout cela a vieilli. C'est vrai, mais ce n'est pas un problème pour moi. Je suis prêt à voir d'autres films de ce genre, sans ennui. Quand on aime, vous savez...
Deux têtes folles
Film américain de Richard Quine (1964)
La fête à Henriette... c'est le titre du film de Julien Duvivier, sorti douze ans plus tôt. Je ne l'ai pas vu, désolé ! Pour vous embarquer vers d'autres horizons familiers, je me contenterai de vous dire aussi que le long-métrage évoqué ce jour a pu me rappeler Le magnifique. C'est l'affaire de la mise en abyme, si vous voyez ce que je veux dire. Du coup, confirmation: j'aime quand le cinéma s'amuse... du cinéma !
4 commentaires:
Ils sont irrésistibles tous les deux effectivement.
N'est-ce pas ? De toute façon, avec Audrey Hepburn, c'est presque couru d'avance.
L'auto-dérision de William Holden fait merveille et assure une parfaite complémentarité.
Ce qu'ils ont en commun c'est une liaison (pendant le tournage de "Sabrina" mais qui s'est achevée car le Sieur Holden ne pouvait pas avoir d'enfants (et Audrey en voulait...)
Pour en revenir au film, c'est comme tu le dis : "du cinéma chamallow" et je lui trouve un côté burlesque années 20-30
C'est vrai que, pour le peu que je connaisse, le style des années 20-30 est comparable.
Quant à l'histoire entre les comédiens, elle leur appartient, mais c'est vrai aussi qu'on peut voir (ou revoir) le film un peu différemment en connaissance de cause.
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