Les calendriers de sortie des films sont sûrement bien trop étudiés pour que ce soit un pur hasard. Reste une coïncidence qui peut amuser: pour la seconde année consécutive, le tout premier des films que j'ai vus en salle met en vedette Jennifer Lawrence. Il faut dire que, parmi sa génération, elle est l'une des actrices les plus actives...
Pour être honnête, je dois le dire: j'avais envie de voir Passengers. Pas foncièrement originale, l'idée de base me laissait envisager d'entamer 2017 avec un divertissement simple, avant d'enchaîner éventuellement avec d'autres films plus "pointus". Le scénario repose sur un huis-clos à bord d'un vaisseau spatial, envoyé à destination d'une planète lointaine, Homestead II. Sur Terre, plusieurs centaines d'individus volontaires ont été endormis pour laisser filer les 120 ans du voyage et arriver à destination à l'âge qu'ils avaient au moment de partir. Évidemment, il y a un bug: l'un de ces passagers se réveille trop tôt. Il passe par plusieurs étapes: peur, exaltation, déprime, résignation... avant d'avoir soudain envie de réveiller une passagère. Je vous passe les détails: ils sont assez prévisibles, de toute façon. L'atout-charme Jennifer Lawrence est en fait doublé: je peux croire que certaines filles craqueront pour Chris Pratt. Ouais, admettons...
En matière de film vide-neurones hivernal, Passengers remplit correctement sa mission. Quelques-uns des sujets qu'il soulève pourraient servir de base à une réflexion existentielle, mais les idées développées ici n'ont visiblement pas cette ambition. En un mot comme en cent: nous voilà en face d'un énième pop corn movie ! Personnellement, j'ai fait l'impasse sur la 3D et j'ai vu du beau travail côté décors et costumes (les tenues de Jen, raaaaaaaaaaah lovely !). Je me suis également trouvé sensible à certains passages de la bande originale, ce qui aurait tendance à prouver que j'étais peu attentif aux dialogues ou situations, parfois. Il est certain que le tout carbure à l'ordinaire et que, même autour de la thématique spatiale, il y a mille films plus inventifs que celui-là. Qu'importe: passer un moment sympa avec un bon pote aura suffi à mon bonheur, pour cette fois. Même si tout ça ne risque guère de se retrouver dans mon top 2017...
Passengers
Film américain de Morten Tyldum (2016)
Vous connaissez la Black List ? C'est, du côté de Hollywood, le nom donné à une série de scénarios disponibles, en attente de production. Passengers y est presque resté dix ans ! On est donc loin du cinéma porté par un réalisateur-auteur, c'est entendu. La "science-fiction" demeure un genre compliqué, pour moi. Je reste preneur de conseils en la matière, toutefois, type 2001, Blade runner ou Seul sur Mars.
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Si, de votre côté, vous voulez un autre avis...
Je vous invite à lire celui de Pascale, un tantinet moins enthousiaste.
Pour être honnête, je dois le dire: j'avais envie de voir Passengers. Pas foncièrement originale, l'idée de base me laissait envisager d'entamer 2017 avec un divertissement simple, avant d'enchaîner éventuellement avec d'autres films plus "pointus". Le scénario repose sur un huis-clos à bord d'un vaisseau spatial, envoyé à destination d'une planète lointaine, Homestead II. Sur Terre, plusieurs centaines d'individus volontaires ont été endormis pour laisser filer les 120 ans du voyage et arriver à destination à l'âge qu'ils avaient au moment de partir. Évidemment, il y a un bug: l'un de ces passagers se réveille trop tôt. Il passe par plusieurs étapes: peur, exaltation, déprime, résignation... avant d'avoir soudain envie de réveiller une passagère. Je vous passe les détails: ils sont assez prévisibles, de toute façon. L'atout-charme Jennifer Lawrence est en fait doublé: je peux croire que certaines filles craqueront pour Chris Pratt. Ouais, admettons...
En matière de film vide-neurones hivernal, Passengers remplit correctement sa mission. Quelques-uns des sujets qu'il soulève pourraient servir de base à une réflexion existentielle, mais les idées développées ici n'ont visiblement pas cette ambition. En un mot comme en cent: nous voilà en face d'un énième pop corn movie ! Personnellement, j'ai fait l'impasse sur la 3D et j'ai vu du beau travail côté décors et costumes (les tenues de Jen, raaaaaaaaaaah lovely !). Je me suis également trouvé sensible à certains passages de la bande originale, ce qui aurait tendance à prouver que j'étais peu attentif aux dialogues ou situations, parfois. Il est certain que le tout carbure à l'ordinaire et que, même autour de la thématique spatiale, il y a mille films plus inventifs que celui-là. Qu'importe: passer un moment sympa avec un bon pote aura suffi à mon bonheur, pour cette fois. Même si tout ça ne risque guère de se retrouver dans mon top 2017...
Passengers
Film américain de Morten Tyldum (2016)
Vous connaissez la Black List ? C'est, du côté de Hollywood, le nom donné à une série de scénarios disponibles, en attente de production. Passengers y est presque resté dix ans ! On est donc loin du cinéma porté par un réalisateur-auteur, c'est entendu. La "science-fiction" demeure un genre compliqué, pour moi. Je reste preneur de conseils en la matière, toutefois, type 2001, Blade runner ou Seul sur Mars.
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Si, de votre côté, vous voulez un autre avis...
Je vous invite à lire celui de Pascale, un tantinet moins enthousiaste.
6 commentaires:
C'est une gentillette rom.com. son originalité ? Elle se passe dans l'espace.
Jenn' est de plus en plus sublime. Mais il faut qu'elle se ressaisisse et ne capitalise pas tout sur son physique de rêve et nous re surprenne comme pour son premier film...
Absolument, le côté spatial apporte au film un peu d'originalité.
Jennifer… ma que bella ragazza !
Côté rôles, elle peut mieux faire, c'est vrai, mais Miss Lawrence a le temps devant elle: elle n'a que 26 ans.
Je suppose que cela doit aussi être amusant (et franchement rémunérateur), de tourner dans ce genre de films.
Bonjour Martin, j'ai vu ce film avec mon ami et on l'a bien apprécié. C'est gentil. Les effets spéciaux sont réussis. J'ai des réserves sur Chris Pratt qui n'a pas beaucoup de charisme mais un divertissement plaisant. Bonne journée.
C'est gentil, voilà. Je crois que tu as trouvé l'expression parfaite.
Moi, cette aventure est parvenue à m'embarquer... ce n'était pas gagné d'avance.
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