Sur les Bobines, un film plutôt prévu pour les enfants peut en cacher un autre: sans état d'âme, j'ouvre donc septembre avec le remake d'un vieux film Disney, sorti en 1977 et revu selon les standards actuels: Peter et Elliott le dragon. Je dois souligner pour être franc que j'avais oublié que l'oeuvre d'origine n'était PAS un dessin animé...
Le long-métrage de 2016 a pour héros un petit garçon, qu'un accident de la route prive de ses parents. Perdu en forêt et du coup menacé par des loups, Peter est alors sauvé... par un dragon, oui ! Explicite au possible, le titre du film n'en dissimule pas plus que les images proposées au tout début de l'aventure: Peter et Elliott le dragon dévoile le visage de sa créature dès les tous premiers instants - ceux qui auront vu la bande-annonce savaient d'ailleurs à quoi s'attendre. Bref... une ellipse de six années plus loin, le garçonnet a bien grandi et vit toujours avec son vert compagnon au beau milieu de la nature. Les choses paraissent devoir se gâter après l'irruption de bûcherons...
Parce que son supposé monstre ressemble à un gigantesque toutou malicieux à poils verts, on comprend très vite que tout finira bien. L'allégorie écolo qu'offre le film n'est pas très subtile, mais devrait convenir au public-cible (les kids d'une dizaine d'années). Vous dire que je me suis passionné pour ce récit serait mentir, mais je tiens également à préciser que je ne me suis pas ennuyé. J'ai trouvé l'enfant qui joue Peter plutôt bon et le reste de la distribution conforme à ce que j'en attendais - avec Robert Redford en gentil papy et dragonophile convaincu. Peter et Elliott le dragon ne restera pas dans les annales du cinéma, mais je suppose qu'il reste sympa à voir en famille. Si vous avez des enfants, c'est une option acceptable. Pour ma part, je l'ai vu avec mes parents et ils l'ont plutôt bien aimé !
Peter et Elliott le dragon
Film américain de David Lowery (2016)
Après ce film, Cendrillon et Le livre de la jungle, il parait pertinent de s'interroger sur l'idée de Disney de continuer à offrir une version contemporaine à l'ensemble de ses vieux classiques. Je reste lucide sur l'aspect mercantile de la démarche, mais bon... ça peut marcher. Pour les temps à venir, on évoque La belle et la bête, Dumbo, Mulan et plusieurs autres encore. De quoi très largement occuper le terrain !
Le long-métrage de 2016 a pour héros un petit garçon, qu'un accident de la route prive de ses parents. Perdu en forêt et du coup menacé par des loups, Peter est alors sauvé... par un dragon, oui ! Explicite au possible, le titre du film n'en dissimule pas plus que les images proposées au tout début de l'aventure: Peter et Elliott le dragon dévoile le visage de sa créature dès les tous premiers instants - ceux qui auront vu la bande-annonce savaient d'ailleurs à quoi s'attendre. Bref... une ellipse de six années plus loin, le garçonnet a bien grandi et vit toujours avec son vert compagnon au beau milieu de la nature. Les choses paraissent devoir se gâter après l'irruption de bûcherons...
Parce que son supposé monstre ressemble à un gigantesque toutou malicieux à poils verts, on comprend très vite que tout finira bien. L'allégorie écolo qu'offre le film n'est pas très subtile, mais devrait convenir au public-cible (les kids d'une dizaine d'années). Vous dire que je me suis passionné pour ce récit serait mentir, mais je tiens également à préciser que je ne me suis pas ennuyé. J'ai trouvé l'enfant qui joue Peter plutôt bon et le reste de la distribution conforme à ce que j'en attendais - avec Robert Redford en gentil papy et dragonophile convaincu. Peter et Elliott le dragon ne restera pas dans les annales du cinéma, mais je suppose qu'il reste sympa à voir en famille. Si vous avez des enfants, c'est une option acceptable. Pour ma part, je l'ai vu avec mes parents et ils l'ont plutôt bien aimé !
Peter et Elliott le dragon
Film américain de David Lowery (2016)
Après ce film, Cendrillon et Le livre de la jungle, il parait pertinent de s'interroger sur l'idée de Disney de continuer à offrir une version contemporaine à l'ensemble de ses vieux classiques. Je reste lucide sur l'aspect mercantile de la démarche, mais bon... ça peut marcher. Pour les temps à venir, on évoque La belle et la bête, Dumbo, Mulan et plusieurs autres encore. De quoi très largement occuper le terrain !
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