Zut ! J'ai vite oublié les détails de L'affaire Chelsea Deardon. Ce film se déroule dans l'univers des galeries artistiques (et les années 80). La jeune héritière d'un peintre décédé dans un incendie redécouvre dans une galerie un tableau qui lui avait été offert. Son avocate convainc le procureur de collaborer pour que puisse surgir la vérité...
Bon... la vérité, c'est que j'ai regardé le film pour Robert Redford. Heureusement que ce n'était pas dans l'espoir de voir une chronique judiciaire réaliste ! L'affaire Chelsea Deardon m'est en fait apparu comme un divertissement honnête, sans éclat, mais sans prétention. Avec amusement, je me suis dit qu'il avait été imaginé pour la gloire de sa vedette masculine: sur l'affiche française, ce très cher Bob affiche un sourire bien plus resplendissant que celui des comédiennes installées avec lui, la brune Debra Winger et la blonde Daryl Hannah...
La nostalgie des eighties n'est plus (toujours) ce qu'elle était. Sorti temporairement de l'oubli, ce long-métrage pourrait y retourner illico sans que ce soit un scandale. Pourtant, je ne veux pas être méchant avec lui: ma passion pour le cinéma s'accommode très bien, de temps à autre, de ce genre de "petits" films. L'affaire Chelsea Deardon conserve tout de même quelques qualités pour une soirée relax. Wikipédia le classe parmi les "comédies policières". Je précise juste qu'il n'est pas utile de connaître le droit américain pour comprendre...
L'affaire Chelsea Deardon
Film américain d'Ivan Reitman (1986)
C'est une évidence: arrivé après Out of Africa dans la longue carrière de Robert Redford, ce modeste long-métrage n'a pas le même impact. C'est vrai que j'espérais mieux, mais je ne suis pas VRAIMENT déçu. Vous cherchez un meilleur plan pour infiltrer les prétoires américains ? Je conseille plutôt L'idéaliste ou le classique 12 hommes en colère. Avec le respect que je dois à Ivan Reitman, depuis S.O.S. fantômes !
Bon... la vérité, c'est que j'ai regardé le film pour Robert Redford. Heureusement que ce n'était pas dans l'espoir de voir une chronique judiciaire réaliste ! L'affaire Chelsea Deardon m'est en fait apparu comme un divertissement honnête, sans éclat, mais sans prétention. Avec amusement, je me suis dit qu'il avait été imaginé pour la gloire de sa vedette masculine: sur l'affiche française, ce très cher Bob affiche un sourire bien plus resplendissant que celui des comédiennes installées avec lui, la brune Debra Winger et la blonde Daryl Hannah...
La nostalgie des eighties n'est plus (toujours) ce qu'elle était. Sorti temporairement de l'oubli, ce long-métrage pourrait y retourner illico sans que ce soit un scandale. Pourtant, je ne veux pas être méchant avec lui: ma passion pour le cinéma s'accommode très bien, de temps à autre, de ce genre de "petits" films. L'affaire Chelsea Deardon conserve tout de même quelques qualités pour une soirée relax. Wikipédia le classe parmi les "comédies policières". Je précise juste qu'il n'est pas utile de connaître le droit américain pour comprendre...
L'affaire Chelsea Deardon
Film américain d'Ivan Reitman (1986)
C'est une évidence: arrivé après Out of Africa dans la longue carrière de Robert Redford, ce modeste long-métrage n'a pas le même impact. C'est vrai que j'espérais mieux, mais je ne suis pas VRAIMENT déçu. Vous cherchez un meilleur plan pour infiltrer les prétoires américains ? Je conseille plutôt L'idéaliste ou le classique 12 hommes en colère. Avec le respect que je dois à Ivan Reitman, depuis S.O.S. fantômes !
2 commentaires:
Bonjour Martin, c'est bien de chroniquer des films invisibles depuis leur sortie. Je l'ai vu à l'époque. Cela me fait penser que Debra Winger a complétement disparu des écrans (comme Darryl Hannah). Dommage. Merci pour ce billet. Bonne journée.
Bonjour Dasola et merci de ton intérêt pour cette chronique. J'ai peu de commentaires actuellement: ça me fait donc particulièrement plaisir de te lire.
J'ai attrapé ce petit film un peu par hasard: il était programmé sur une de mes chaînes cinéma. C'est vrai qu'on ne voit plus guère Darrl Hannah, qui eut une seconde vie chez Tarantino et dont j'aimerais revoir le "Splash" des débuts. Pour ce qui est de Debra Winger, même constat: je lui trouve un petit air de Marina Foïs dans le regard, mais elle est désormais très discrète sur les écrans de cinéma.
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