Parce que le théâtre ne lui a jamais vraiment réussi, Franck décide d'en finir avec sa carrière de metteur en scène. Ses amours culturelles le poussent alors à devenir... gardien de musée ! Plutôt bien accueilli par ses collègues, il s'attire pourtant - et sans raison - les foudres d'une autre agente: Sibylle. Mais, au final, la belle va le surprendre...
Bon... je n'avais rien lu de très élogieux sur Je promets d'être sage. C'est en fait la perspective de retrouver le sympathique Pio Marmaï dans le rôle principal qui m'aura finalement poussé à franchir le pas pour une séance cinéma en compagnie de mes parents. Et ? Le bilan n'est pas très bon: le film s'avère assez dispensable, même si le fait qu'il s'agisse d'un premier long-métrage m'incite à la mansuétude. D'une manière générale, j'ai trouvé que tout cela était bien trop long à se mettre en place avant une conclusion précipitée (sinon bâclée). Autre bémol: les personnages secondaires sont quasi-fantomatiques. Vous l'aurez compris: la déception pointe du coup le bout de son nez...
La folie douce du personnage de Léa Drucker aurait mérité mieux. Plusieurs critiques que j'ai pu lire analysent le film comme le récit d'une rencontre - fort improbable - entre deux inadaptés sociaux. Admettons: il y a effectivement une part de vérité. Il est regrettable que le scénario n'aille pas plus loin et... reste sage, effectivement. Après, je n'ai rien vu de honteux là-dedans, hein ? Je veux dire aussi que j'ai apprécié la toute fin, avec quelques belles images tournées quelque part sous le soleil du Portugal (chuuuuut, pas de spoilers !). Dans l'ensemble, l'accueil réservé à ce modeste projet franco-français n'est pas mauvais. Et, l'ai-je déjà dit ? Le duo vedette tient la route. L'alchimie n'était pas gagnée d'avance, mais oui, cela fonctionne. Parfois, il faut, je crois, savoir ne pas trop en demander au cinéma...
Je promets d'être sage
Film français de Ronan Le Page (2019)
Ma note est un peu sévère, mais je crois qu'elle est également juste. Encore une fois, tout cela manque de rythme (et de consistance). D'aucuns ont cru pertinent de tracer un parallèle entre les personnages ici présents et ceux des films de Pierre Salvadori. Cela se tient ! J'aimerais revoir Les apprentis pour mieux en juger. Je vous renvoie pour l'instant à d'autres opus: Cible émouvante, Dans la cour, etc...
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Si ma chronique ne vous a pas convaincus...
Je vous rappelle que vous n'êtes plus qu'à un clic de celle de Pascale.
Bon... je n'avais rien lu de très élogieux sur Je promets d'être sage. C'est en fait la perspective de retrouver le sympathique Pio Marmaï dans le rôle principal qui m'aura finalement poussé à franchir le pas pour une séance cinéma en compagnie de mes parents. Et ? Le bilan n'est pas très bon: le film s'avère assez dispensable, même si le fait qu'il s'agisse d'un premier long-métrage m'incite à la mansuétude. D'une manière générale, j'ai trouvé que tout cela était bien trop long à se mettre en place avant une conclusion précipitée (sinon bâclée). Autre bémol: les personnages secondaires sont quasi-fantomatiques. Vous l'aurez compris: la déception pointe du coup le bout de son nez...
La folie douce du personnage de Léa Drucker aurait mérité mieux. Plusieurs critiques que j'ai pu lire analysent le film comme le récit d'une rencontre - fort improbable - entre deux inadaptés sociaux. Admettons: il y a effectivement une part de vérité. Il est regrettable que le scénario n'aille pas plus loin et... reste sage, effectivement. Après, je n'ai rien vu de honteux là-dedans, hein ? Je veux dire aussi que j'ai apprécié la toute fin, avec quelques belles images tournées quelque part sous le soleil du Portugal (chuuuuut, pas de spoilers !). Dans l'ensemble, l'accueil réservé à ce modeste projet franco-français n'est pas mauvais. Et, l'ai-je déjà dit ? Le duo vedette tient la route. L'alchimie n'était pas gagnée d'avance, mais oui, cela fonctionne. Parfois, il faut, je crois, savoir ne pas trop en demander au cinéma...
Je promets d'être sage
Film français de Ronan Le Page (2019)
Ma note est un peu sévère, mais je crois qu'elle est également juste. Encore une fois, tout cela manque de rythme (et de consistance). D'aucuns ont cru pertinent de tracer un parallèle entre les personnages ici présents et ceux des films de Pierre Salvadori. Cela se tient ! J'aimerais revoir Les apprentis pour mieux en juger. Je vous renvoie pour l'instant à d'autres opus: Cible émouvante, Dans la cour, etc...
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Si ma chronique ne vous a pas convaincus...
Je vous rappelle que vous n'êtes plus qu'à un clic de celle de Pascale.
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