La dernière évolution importante liée à ce blog ? C'était la création d'une page dédiée sur Facebook, il y a un an jour pour jour. Question pas-vraiment-subsidiaire: qu'est-ce qui a changé depuis ? Réponse sans réfléchir: pas grand-chose. Je veux tout de suite rassurer ceux d'entre vous qui suivent Mille et une bobines en surfant sur le réseau social: la page ne disparaîtra pas. Je sais très bien qu'elle m'apporte un peu de visibilité supplémentaire. Combien au juste ? Je l'ignore. J'avoue sans honte que je n'y prête au fond qu'une attention modérée.
Sur la quarantaine de membres enregistrés sur la page, j'avais pu constater qu'il y avait une demi-douzaine d'inconnus. Las ! La firme américaine a fait joujou avec les paramètres de confidentialité. Désormais, verrouillant son système, elle me bloque l'accès à ceux qui ne sont pas également mes amis facebookiens. C'en est terminé de l'espoir de pouvoir approcher ces lecteurs, redevenus anonymes. Après y avoir songé, j'ai réagi trop tard. Alors tant pis pour moi ! Chacun demeure libre de me contacter et/ou de me faire de la pub.
Facebook peut toujours servir d'alerte (ou de pense-bête) à tous ceux que je connais ou que j'ai identifiés. C'était d'ailleurs la fonction première que je lui avais assignée. Un an après, je constate également que mes messages sont - un peu - plus commentés là-bas qu'ici, directement sur Mille et une bobines. La fonction "J'aime" chère au réseau social me laisse parfois dans le doute: a-t-on voulu saluer ma chronique ou bien le film qu'elle évoque ? Ambiguïté typique des communications Internet. Twitter, je passe mon tour.
Sur la quarantaine de membres enregistrés sur la page, j'avais pu constater qu'il y avait une demi-douzaine d'inconnus. Las ! La firme américaine a fait joujou avec les paramètres de confidentialité. Désormais, verrouillant son système, elle me bloque l'accès à ceux qui ne sont pas également mes amis facebookiens. C'en est terminé de l'espoir de pouvoir approcher ces lecteurs, redevenus anonymes. Après y avoir songé, j'ai réagi trop tard. Alors tant pis pour moi ! Chacun demeure libre de me contacter et/ou de me faire de la pub.
Facebook peut toujours servir d'alerte (ou de pense-bête) à tous ceux que je connais ou que j'ai identifiés. C'était d'ailleurs la fonction première que je lui avais assignée. Un an après, je constate également que mes messages sont - un peu - plus commentés là-bas qu'ici, directement sur Mille et une bobines. La fonction "J'aime" chère au réseau social me laisse parfois dans le doute: a-t-on voulu saluer ma chronique ou bien le film qu'elle évoque ? Ambiguïté typique des communications Internet. Twitter, je passe mon tour.
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