Les Anglo-saxons appellent cela un spin-off. On prend un héros secondaire apparu dans tel ou tel film... et on en fait le héros principal d'un tout nouvel opus. Et 27 ans après avoir été le comparse du cowboy Woody dans Toy story, Buzz l'Éclair a eu droit à "son" film !
On peut aussi parler d'une origin story, dans la mesure où un carton nous informe d'emblée que tout ce qui va nous être raconté se passe avant ce que l'on connaît déjà (ou ce que l'on est supposé connaître). Rassurez-vous: si vous êtes passé à côté, Buzz l'Éclair - le film - demeure vraiment une oeuvre indépendante. Elle raconte l'histoire d'un groupe d'hommes et de femmes qui se sont posés sur une planète lointaine pour découvrir 1) qu'elle était hostile et 2) que le seul moyen de retourner sur Terre leur était désormais totalement inaccessible. Enfin... jusqu'à ce que l'un d'eux se lève pour changer cela, bien sûr ! Sur une trame assez classique, ce film d'animation est très efficace pour nous emmener dans les étoiles. C'est une comédie intelligente. On y dit deux mots de l'adaptation de l'humain à son environnement...
C'est prévisible: le film invente aussi une galaxie de protagonistes autour du premier d'entre eux. Dans l'ensemble, ils sont tous rigolo ! Chat-robot, spationaute franchement maladroit ou grand-mère rebelle inquiète à chaque apparition de la police, le casting est attachant. J'ajoute qu'il n'est pas que blanc et qu'il comporte deux personnages de femmes homosexuelles - ce qui me semble inédit chez Disney. Attention: je ne veux pas vous gâcher le bonheur de la découverte. Formellement parlant, Buzz l'Éclair est une merveille, évidemment. Dans mon entourage, une petite fille de 8 ans et demi l'a apprécié sans réserve. Même constat pour... ma mère, qui l'a vu avec moi. Pourquoi bouder son plaisir ? Après plusieurs films du studio Pixar réservés aux plateformes et supports numériques, c'est chouette d'enfin renouer avec l'écran géant et l'émotion collective du cinéma. Vers l'infini et au-delà ? Peut-être. Soyez-en assurés: je suis partant !
Buzz l'Éclair
Film américain d'Angus MacLane (2022)
Une réussite. Et ensuite, des suites ? Ce n'est évidemment pas exclu. Mais j'insiste: cet opus peut se suffire à lui-même et faire la joie d'enfants de tous âges - jusqu'à la majorité et bien au-delààààààààà. Après l'avoir vu, vous aurez peut-être envie de revenir aux sources avec Toy story (et ses trois prolongations). Pour rester dans l'espace encore, je vous re-recommande le 100% made in France Terra Willy !
On peut aussi parler d'une origin story, dans la mesure où un carton nous informe d'emblée que tout ce qui va nous être raconté se passe avant ce que l'on connaît déjà (ou ce que l'on est supposé connaître). Rassurez-vous: si vous êtes passé à côté, Buzz l'Éclair - le film - demeure vraiment une oeuvre indépendante. Elle raconte l'histoire d'un groupe d'hommes et de femmes qui se sont posés sur une planète lointaine pour découvrir 1) qu'elle était hostile et 2) que le seul moyen de retourner sur Terre leur était désormais totalement inaccessible. Enfin... jusqu'à ce que l'un d'eux se lève pour changer cela, bien sûr ! Sur une trame assez classique, ce film d'animation est très efficace pour nous emmener dans les étoiles. C'est une comédie intelligente. On y dit deux mots de l'adaptation de l'humain à son environnement...
C'est prévisible: le film invente aussi une galaxie de protagonistes autour du premier d'entre eux. Dans l'ensemble, ils sont tous rigolo ! Chat-robot, spationaute franchement maladroit ou grand-mère rebelle inquiète à chaque apparition de la police, le casting est attachant. J'ajoute qu'il n'est pas que blanc et qu'il comporte deux personnages de femmes homosexuelles - ce qui me semble inédit chez Disney. Attention: je ne veux pas vous gâcher le bonheur de la découverte. Formellement parlant, Buzz l'Éclair est une merveille, évidemment. Dans mon entourage, une petite fille de 8 ans et demi l'a apprécié sans réserve. Même constat pour... ma mère, qui l'a vu avec moi. Pourquoi bouder son plaisir ? Après plusieurs films du studio Pixar réservés aux plateformes et supports numériques, c'est chouette d'enfin renouer avec l'écran géant et l'émotion collective du cinéma. Vers l'infini et au-delà ? Peut-être. Soyez-en assurés: je suis partant !
Buzz l'Éclair
Film américain d'Angus MacLane (2022)
Une réussite. Et ensuite, des suites ? Ce n'est évidemment pas exclu. Mais j'insiste: cet opus peut se suffire à lui-même et faire la joie d'enfants de tous âges - jusqu'à la majorité et bien au-delààààààààà. Après l'avoir vu, vous aurez peut-être envie de revenir aux sources avec Toy story (et ses trois prolongations). Pour rester dans l'espace encore, je vous re-recommande le 100% made in France Terra Willy !
4 commentaires:
Pas vu.
Mon Doudou de 8 ans a adoré.
Ma Poupée de 13 ans s'est ennuyée.
Mon avis, tu le connais.
Mon cousin de 46 ans a bien aimé. Pareil pour sa fille de 8 ans et demi.
Ma mère (non, je ne donnerai pas son âge) s'est, de son propre aveu, "régalée".
Après, j'ai lu que c'était le Pixar qui avait le moins bien marché à ce jour.
Il suit trois autres films (originaux) diffusés uniquement sur la plateforme Disney +.
J'étais tentée mais Poupée m'a refroidie.
Soit. Je peux comprendre. Mais Doudou...
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