Elle est actrice, lui compositeur de musiques de films. Un projet commun permet à Françoise et Henri de se rencontrer à New York. Ensemble, ils oublient leur vie d'avant et entament alors un road trip vers Las Vegas. En gros, hein ? Je passe quelques étapes, sachez-le. Un homme qui me plaît, un p'tit air de Lelouch ? Normal: c'en est un !
Je n'ai jamais été dingue dudit Claude, mais cet opus millésimé 1969 sent bon la liberté et s'avère plutôt sympathique. Si j'ai eu envie d'adhérer à l'escapade des deux personnages, c'est bien grâce au duo qui les incarne: Annie Girardot et Jean-Paul Belmondo, un couple étonnant au cinéma, mais dont le potentiel glamour est intéressant. Mademoiselle apparaît un peu plus à son aise que Monsieur, en fait. Rien de scandaleux: on arrive à croire en la possibilité d'une idylle. Surprises: à de nombreuses reprises, le scénario s'écarte d'une route trop balisée et change même d'orientation en toute fin de parcours. Pourquoi ? Comment ? Je vous laisse le découvrir par vous-mêmes. Imparfait, le long-métrage a un certain charme - difficile à définir. Lelouch l'a dit: "Il nous emmène au cinéma et est rattrapé par la vie".
Un homme qui me plaît
Film français de Claude Lelouch (1969)
Je ne sais pas si c'est mon DVD, l'étalonnage sonore du film lui-même ou autre chose, mais j'ai parfois eu du mal à entendre les dialogues. Sans cela, il aurait peut-être obtenu une note légèrement supérieure. Bon... sans en tomber amoureux, j'ai plutôt bien aimé l'ensemble. Quelque part entre Pierrot le fou et... Thelma & Louise, cet opus trouve sa force dans quelques plans sublimes. Et sa fin, inattendue...
Je n'ai jamais été dingue dudit Claude, mais cet opus millésimé 1969 sent bon la liberté et s'avère plutôt sympathique. Si j'ai eu envie d'adhérer à l'escapade des deux personnages, c'est bien grâce au duo qui les incarne: Annie Girardot et Jean-Paul Belmondo, un couple étonnant au cinéma, mais dont le potentiel glamour est intéressant. Mademoiselle apparaît un peu plus à son aise que Monsieur, en fait. Rien de scandaleux: on arrive à croire en la possibilité d'une idylle. Surprises: à de nombreuses reprises, le scénario s'écarte d'une route trop balisée et change même d'orientation en toute fin de parcours. Pourquoi ? Comment ? Je vous laisse le découvrir par vous-mêmes. Imparfait, le long-métrage a un certain charme - difficile à définir. Lelouch l'a dit: "Il nous emmène au cinéma et est rattrapé par la vie".
Un homme qui me plaît
Film français de Claude Lelouch (1969)
Je ne sais pas si c'est mon DVD, l'étalonnage sonore du film lui-même ou autre chose, mais j'ai parfois eu du mal à entendre les dialogues. Sans cela, il aurait peut-être obtenu une note légèrement supérieure. Bon... sans en tomber amoureux, j'ai plutôt bien aimé l'ensemble. Quelque part entre Pierrot le fou et... Thelma & Louise, cet opus trouve sa force dans quelques plans sublimes. Et sa fin, inattendue...
2 commentaires:
Oh oui quel beau couple de cinéma.
J'aimerais bien le revoir même si c'est du Lelouch pur jus.
Franchement, il y a de belles choses. Et le duo est top, avec un léger avantage pour Annie.
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