Si j'en crois ma source Wikipédia, le cinéma chinois est né au début du 20ème siècle, en s'inspirant d'abord des thèmes de l'opéra. Aujourd'hui, ses artistes et techniciens font régulièrement parler d'eux lorsqu'ils s'associent avec d'autres, occidentaux. Le grand film né d'une telle collaboration reste à inventer, mais ça gigote pas mal...
Mon film du jour, Destination Pékin, s'inscrit dans cette mouvance. Sans doute soucieux de rassurer le public français, ses distributeurs rappellent - sur l'affiche ! - qu'il a les mêmes producteurs que Shrek et En route !, deux dessins animés supposés, donc, faire référence. Pourtant, l'opus du jour ne me semble pas pouvoir leur être comparé. Le marketing a ses raisons. Pour ma part, je préfère parler cinéma...
Premier constat d'ordre général: Destination Pékin m'a bien plu. Avant d'entrer dans la salle, je m'attendais à voir un dessin animé plutôt simple, c'est-à-dire sans grande ambition, mais sans esbroufe. Bingo ! L'idée de choisir comme personnage principal un jars frimeur n'est pas spécialement originale, d'autant qu'il s'agit de montrer comment, après avoir raté la migration des oies, il fait le voyage avec deux canetons incapables de voler, affronte mille prédateurs possibles, sympathise avec d'autres animaux et s'en sort finalement sans la moindre égratignure. Du déjà vu, oui, mais ça reste sympa ! Surtout quand, comme ici, tout est vraiment (très) beau à regarder...
Avez-vous comme moi l'impression que les sorties ciné de juillet-août sont de plus en plus réservées aux blockbusters et dessins animés ? Aux États-Unis, et malgré ses facettes chinoises, Destination Pékin est apparu comme un film si ordinaire qu'il n'a même pas été diffusé autrement que sur la plateforme VOD Netflix, si je ne me trompe pas. Oui et alors ? Rien. Je suis juste content de l'avoir vu sur grand écran.
Destination Pékin
Film américano-chinois de Christopher Jenkins (2018)
Pas grand chose à dire de plus sur le sujet. Même si ce dessin animé manque d'originalité, je pense que nous avons également un intérêt majeur à encourager les petits studios... et la diversité du cinéma. Bien sûr, quand Pixar nous offre un Coco ou un Vice-versa, à la fin d'une année ou au milieu d'un millésime, trouver mieux paraît ardu. Ce qui est tout sauf une raison de ne pas profiter des petits plaisirs...
Mon film du jour, Destination Pékin, s'inscrit dans cette mouvance. Sans doute soucieux de rassurer le public français, ses distributeurs rappellent - sur l'affiche ! - qu'il a les mêmes producteurs que Shrek et En route !, deux dessins animés supposés, donc, faire référence. Pourtant, l'opus du jour ne me semble pas pouvoir leur être comparé. Le marketing a ses raisons. Pour ma part, je préfère parler cinéma...
Premier constat d'ordre général: Destination Pékin m'a bien plu. Avant d'entrer dans la salle, je m'attendais à voir un dessin animé plutôt simple, c'est-à-dire sans grande ambition, mais sans esbroufe. Bingo ! L'idée de choisir comme personnage principal un jars frimeur n'est pas spécialement originale, d'autant qu'il s'agit de montrer comment, après avoir raté la migration des oies, il fait le voyage avec deux canetons incapables de voler, affronte mille prédateurs possibles, sympathise avec d'autres animaux et s'en sort finalement sans la moindre égratignure. Du déjà vu, oui, mais ça reste sympa ! Surtout quand, comme ici, tout est vraiment (très) beau à regarder...
Avez-vous comme moi l'impression que les sorties ciné de juillet-août sont de plus en plus réservées aux blockbusters et dessins animés ? Aux États-Unis, et malgré ses facettes chinoises, Destination Pékin est apparu comme un film si ordinaire qu'il n'a même pas été diffusé autrement que sur la plateforme VOD Netflix, si je ne me trompe pas. Oui et alors ? Rien. Je suis juste content de l'avoir vu sur grand écran.
Destination Pékin
Film américano-chinois de Christopher Jenkins (2018)
Pas grand chose à dire de plus sur le sujet. Même si ce dessin animé manque d'originalité, je pense que nous avons également un intérêt majeur à encourager les petits studios... et la diversité du cinéma. Bien sûr, quand Pixar nous offre un Coco ou un Vice-versa, à la fin d'une année ou au milieu d'un millésime, trouver mieux paraît ardu. Ce qui est tout sauf une raison de ne pas profiter des petits plaisirs...
2 commentaires:
Mon petit chou l'a vu. Il a beaucoup aimé.
Quel âge il a, ton petit chou ?
C'est vraiment un joli film pour les enfants, je trouve.
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