Une chronique de Martin
Vous ne savez pas quoi faire ces jours-ci ? Je vous propose donc d'aller au cinéma ! Pourquoi le dire aujourd'hui et pas un autre jour de l'année ? Parce qu'à partir d'aujourd'hui et jusqu'à mardi, les places de cinéma sont à 3,5 euros, alors qu'elles valent en temps ordinaire le double, voire le triple, dans mes salles habituelles. N'hésitez plus devant votre écran: trois jours durant, c'est le Printemps du Cinéma !
Je me suis dit qu'il serait bien que je marque le coup, cette année. J'admets que je participe à la fête de manière très aléatoire. Le jour où j'ai préparé cette chronique, deux petites semaines en avance, j'ignorais même si j'allais profiter de l'occasion pour découvrir quelques films de plus. C'est d'ailleurs pour ça que je me suis décidé à publier une chronique le jour même. Il n'est jamais évident de faire son choix dans la programmation du Printemps du Cinéma. J'ai pensé certaines fois que les vrais bons films étaient rares, à cette période. Je ne suis visiblement pas le seul: l'année passée, les trois jours s'étaient soldés sur le résultat moyen d'un peu plus de deux millions de spectateurs, soit une baisse de 30% par rapport à l'édition 2010.
Promotrice de la manifestation, la Fédération nationale des cinémas français a tempéré ce mauvais bilan par une actualité médiatique chargée et une météo défavorable. Admettons. Afin de vous éviter toute confusion, je précise que la formule du Printemps du Cinéma diffère assez de celle de la Fête du Cinéma. Ce second événement s'étend sur toute une semaine, avec le principe d'offrir des places réduites à 3 euros à tout acheteur d'un premier ticket tarif plein. J'imagine que, pour bénéficier de ces prix avantageux, il faudra, comme en 2011, attendre l'été. L'année passée, la Fête du Cinéma s'était déroulée du 25 juin au 1er juillet. Elle avait attiré 3,7 millions de spectateurs, soit 16% de plus qu'en 2010. J'en reparlerai peut-être.
Je me suis dit qu'il serait bien que je marque le coup, cette année. J'admets que je participe à la fête de manière très aléatoire. Le jour où j'ai préparé cette chronique, deux petites semaines en avance, j'ignorais même si j'allais profiter de l'occasion pour découvrir quelques films de plus. C'est d'ailleurs pour ça que je me suis décidé à publier une chronique le jour même. Il n'est jamais évident de faire son choix dans la programmation du Printemps du Cinéma. J'ai pensé certaines fois que les vrais bons films étaient rares, à cette période. Je ne suis visiblement pas le seul: l'année passée, les trois jours s'étaient soldés sur le résultat moyen d'un peu plus de deux millions de spectateurs, soit une baisse de 30% par rapport à l'édition 2010.
Promotrice de la manifestation, la Fédération nationale des cinémas français a tempéré ce mauvais bilan par une actualité médiatique chargée et une météo défavorable. Admettons. Afin de vous éviter toute confusion, je précise que la formule du Printemps du Cinéma diffère assez de celle de la Fête du Cinéma. Ce second événement s'étend sur toute une semaine, avec le principe d'offrir des places réduites à 3 euros à tout acheteur d'un premier ticket tarif plein. J'imagine que, pour bénéficier de ces prix avantageux, il faudra, comme en 2011, attendre l'été. L'année passée, la Fête du Cinéma s'était déroulée du 25 juin au 1er juillet. Elle avait attiré 3,7 millions de spectateurs, soit 16% de plus qu'en 2010. J'en reparlerai peut-être.
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