Je suis encore loin d'avoir vu tous ses films, mais je crois devoir dire que j'apprécie de plus en plus Jim Carrey. L'occasion m'étant donnée de découvrir l'un de ses best sellers (merci Cédric !), j'ai une fois encore apprécié son jeu dans The Truman show. Celui qui s'est fait connaître par l'élasticité de son visage dans un projet "cartoonesque" livre ici une très belle prestation. Pour ceux qui n'en sauraient rien treize ans plus tard, j'annonce que cette production hollywoodienne d'inspiration australienne raconte la vie d'un homme qui ignore complètement qu'il est aussi... la grande vedette d'un soap opera. Depuis sa naissance et avec la complicité de prétendus amis, Truman vit constamment sous l'oeil des caméras. Et son destin d'homme ordinaire scotche littéralement toute la planète devant le petit écran. Toute ressemblance avec des personnes ou situations... bla bla bla...


Jim Carrey dans un film sur le pouvoir de la télé: dans un genre similaire, mais malgré tout basé sur une toute autre histoire (vraie), je ne saurais trop vous conseiller de voir ou revoir l'impeccable Man on the moon de Milos Forman. Mais si j'ai particulièrement apprécié le long-métrage présenté aujourd'hui, c'est également pour lui-même et comme extrait de la filmographie de son réalisateur. Je commence également à m'intéresser de près à Peter Weir, que je trouve déjà d'un éclectisme (trop) rare et très souvent d'une grande pertinence. En attendant de vous parler peut-être de sa prochaine sortie en salles et/ou de quelques-uns de ses films les plus connus, je vous invite cordialement à relire ici la chronique d'une oeuvre qu'il a tournée dans les 70s, un film comme lui australien: La dernière vague.
1 commentaire:
J'ai beaucoup aimé Truman Show, il faudrait que je le revoie. De Peter Weir, essayez de voir en priorité Witness, si vous ne l'avez déjà vu. Très très beau film. J'ai découvert Peter Weir avec ce film et depuis nous n'en avons raté aucun... Le cercle des poètes disparus est très beau aussi.
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