Vous me pardonnerez la facilité de mon titre, d'accord ? Je manque d'inspiration au moment de parler de Faut s'faire la malle, un film dont je n'attendais pas grand-chose, mais quand même un peu mieux. C'est Gene Wilder, l'acteur américain blanc ci-dessous, qui m'a donné envie de le regarder. J'étais aussi curieux d'apprécier le talent derrière la caméra de Sidney Poitier, que je connaissais uniquement comme acteur (noir). Au final, plouf plouf... une certaine déception.
Faut s'faire la malle - Ou Stir crazy en version originale - raconte l'histoire de deux potes en route vers une autre vie. Skip Donahue exerce comme vigile dans un magasin et se rêve auteur de théâtre. Harry Monroe aime surtout draguer les filles et vient juste de perdre son job de majordome après qu'un peu de sa marijuana a servi d'épice au plat qu'il était supposé confectionner. Les gugusses filent donc vers l'Ouest des États-Unis, où ils imaginent la vie plus facile. Gag ! Accusés à tort d'un braquage de banque, ils passent au tribunal et sont condamnés à... 150 ans de réclusion criminelle. Je dois dire que c'est après que ça se gâte, pour eux comme pour le spectateur. Assez enlevé jusque là, le scénario patine et se répète un peu trop...
Sans trop en dire, j'ajouterai simplement qu'il est ensuite question d'évasion et de rodéo pénitentiaire. Comprendra qui verra. Personnellement, j'ai vite trouvé "too much" le jeu de Gene Wilder. Contagieux, ce cabotinage intensif affecte également Richard Pryor ! Bilan: on s'amuse un moment et, très vite, trop vite, on s'ennuie quelque peu. J'avais espéré un peu plus d'action, par le biais notamment d'une course-poursuite XXL entre les clowns sanctionnés pour rien, les vrais coupables croisés en chemin et une police dépassée par les événements. Faut s'faire la malle porte assez mal son titre français. Je suis peut-être passé à côté, en fait. Il est permis de croire que chacun n'a fait ici que ce qu'on attendait de lui.
Faut s'faire la malle
Film américain de Sidney Poitier (1980)
Ma note reste décente et reflète cette simple impression personnelle d'être resté en marge d'une comédie pas déplaisante en soi. Il faut bien dire aussi que j'attendais une histoire à la The Blues brothers. Avant de me croire naïf, notez que les deux films sont sortis en salles la même année: je préfère largement celui de John Landis, donc. Gene Wilder garde, lui, toute mon estime pour Frankenstein Junior.
Faut s'faire la malle - Ou Stir crazy en version originale - raconte l'histoire de deux potes en route vers une autre vie. Skip Donahue exerce comme vigile dans un magasin et se rêve auteur de théâtre. Harry Monroe aime surtout draguer les filles et vient juste de perdre son job de majordome après qu'un peu de sa marijuana a servi d'épice au plat qu'il était supposé confectionner. Les gugusses filent donc vers l'Ouest des États-Unis, où ils imaginent la vie plus facile. Gag ! Accusés à tort d'un braquage de banque, ils passent au tribunal et sont condamnés à... 150 ans de réclusion criminelle. Je dois dire que c'est après que ça se gâte, pour eux comme pour le spectateur. Assez enlevé jusque là, le scénario patine et se répète un peu trop...
Sans trop en dire, j'ajouterai simplement qu'il est ensuite question d'évasion et de rodéo pénitentiaire. Comprendra qui verra. Personnellement, j'ai vite trouvé "too much" le jeu de Gene Wilder. Contagieux, ce cabotinage intensif affecte également Richard Pryor ! Bilan: on s'amuse un moment et, très vite, trop vite, on s'ennuie quelque peu. J'avais espéré un peu plus d'action, par le biais notamment d'une course-poursuite XXL entre les clowns sanctionnés pour rien, les vrais coupables croisés en chemin et une police dépassée par les événements. Faut s'faire la malle porte assez mal son titre français. Je suis peut-être passé à côté, en fait. Il est permis de croire que chacun n'a fait ici que ce qu'on attendait de lui.
Faut s'faire la malle
Film américain de Sidney Poitier (1980)
Ma note reste décente et reflète cette simple impression personnelle d'être resté en marge d'une comédie pas déplaisante en soi. Il faut bien dire aussi que j'attendais une histoire à la The Blues brothers. Avant de me croire naïf, notez que les deux films sont sortis en salles la même année: je préfère largement celui de John Landis, donc. Gene Wilder garde, lui, toute mon estime pour Frankenstein Junior.
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