Eh oui ! Il existait déjà des films de pirates au temps du cinéma muet. Faut-il les classer dans un genre à part entière ? Ou les juger comme un ersatz des films d'aventure ? Je me pose ces questions après avoir vu - à l'invitation de notre ami Vincent - Le corsaire noir. Arte nous a offert ce "bonbon" au cours des dernières fêtes de Noël...
Nous embarquons au 17ème siècle. Un flibustier issu de la noblesse espagnole bataille contre un Néerlandais: il veut ainsi venger la mort de ses frères, assassinés par ce vil malandrin que le roi d'Espagne vient de recruter pour remplacer le gouverneur de Maracaibo, une île d'Amérique latine. Or, au cours d'un abordage, la fille de son ennemi est capturée par ses hommes: il tombe aussitôt sous son charme. L'amour en mer, c'est juste une question de tempo ? À vous de voir. Le corsaire noir offrant son lot de péripéties, il respecte son contrat de divertissement, un peu vintage, à terre et sur les flots, oh, oh ! Parmi les curiosités de cet opus, je retiendrai la présence en tête d'affiche d'un dénommé Kabir Bedi, acteur né en 1946, de nationalité indienne, aux côtés de Mel Ferrer dans le rôle du grand méchant. Notons aussi que l'héroïne est française: la jolie Carole André, 23 ans. En pareille compagnie et deux heures de film, zéro ennui à l'horizon...
Le corsaire noir
Film italien de Sergio Sollima (1976)
Le premier film que j'ai regardé pendant ma récente pause hivernale mérite votre attention si vous aimez ce type d'histoires fantaisistes. Mais attention, toutefois: un autre long-métrage (hispano-)italien était sorti cinq ans plus tôt sous le même titre, parfois accompagné d'un étonnant Deux loustics en bordée - Terrence Hill et Bud Spencer ! Vous pourriez préférer revoir Capitaine Blood et Le corsaire rouge...
Nous embarquons au 17ème siècle. Un flibustier issu de la noblesse espagnole bataille contre un Néerlandais: il veut ainsi venger la mort de ses frères, assassinés par ce vil malandrin que le roi d'Espagne vient de recruter pour remplacer le gouverneur de Maracaibo, une île d'Amérique latine. Or, au cours d'un abordage, la fille de son ennemi est capturée par ses hommes: il tombe aussitôt sous son charme. L'amour en mer, c'est juste une question de tempo ? À vous de voir. Le corsaire noir offrant son lot de péripéties, il respecte son contrat de divertissement, un peu vintage, à terre et sur les flots, oh, oh ! Parmi les curiosités de cet opus, je retiendrai la présence en tête d'affiche d'un dénommé Kabir Bedi, acteur né en 1946, de nationalité indienne, aux côtés de Mel Ferrer dans le rôle du grand méchant. Notons aussi que l'héroïne est française: la jolie Carole André, 23 ans. En pareille compagnie et deux heures de film, zéro ennui à l'horizon...
Le corsaire noir
Film italien de Sergio Sollima (1976)
Le premier film que j'ai regardé pendant ma récente pause hivernale mérite votre attention si vous aimez ce type d'histoires fantaisistes. Mais attention, toutefois: un autre long-métrage (hispano-)italien était sorti cinq ans plus tôt sous le même titre, parfois accompagné d'un étonnant Deux loustics en bordée - Terrence Hill et Bud Spencer ! Vous pourriez préférer revoir Capitaine Blood et Le corsaire rouge...
2 commentaires:
Jamais entendu parler mais c'est intrigant.
Je vois que tu connais ton Philipe Lavil par coeur. Fais gaffe qu'il ne te réclame pas de droits d'auteur (quoique ce sont des paroles de l'inénarrable Barbelivien).
Je te croyais assidue sur le blog de notre ami Vincent...
Pour me tirer d'affaire avec Philippe Lavil, je lui présenterai ma citation comme un hommage.
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