Je termine aujourd'hui mon intense mois de janvier "bloquesque" avec une suite: Aliens, le retour. Pour information, si j'ai un intérêt certain pour les quatre premiers épisodes de la saga, c'est notamment parce qu'ils ont chacun... un réalisateur différent ! Après le numéro 1 mis en scène par Ridley Scott, place donc à James Cameron, 32 ans...
Attention: si vous ignorez tout de cet univers et qu'il vous attire pourtant, le mieux est, je crois, de vous lancer avec le film de 1979 et/ou de lire ma chronique précédente. C'est bon ? Je résume vite fait en indiquant que, seule survivante de l'attaque d'un gros cargo spatial par un extraterrestre dégueulasse, Ellen Ripley (Sigourney Weaver) s'est plongée dans un sommeil profond pour ENFIN revenir sur Terre...
Aliens, le retour est la suite directe du premier volet, à l'image près. Quand l'héroïne se réveille de son coma volontaire, elle apprend vite qu'elle a dormi 57 ans. Le consortium qui l'employait jadis - en 2122 - existe toujours et a colonisé la planète hostile où elle avait débarqué. Mais il a perdu tout contact avec les familles installées par ses soins. Vous l'aurez deviné: Ellen Ripley est chargée de retourner sur place pour comprendre, accompagnée d'une escouade de marines bourrins et surarmés, prêts à éradiquer tout fléau qui viendrait à se présenter. Voilà donc toute la troupe partie pour un nouveau jeu de massacre. Pour ma part, j'ai vraiment aimé la suivre au fin fond de la galaxie. Tout ce qui va arriver est très prévisible, mais la virtuosité technique du film en fait encore une remarquable référence de science-fiction près de quarante ans après sa sortie. Très typés, ses personnages sont souvent charismatiques - Ellen Ripley en tête, bien entendu. Enrobé de la musique de James Horner, c'est un bien beau cadeau. Même certains effets un peu "old school" conservent un charme fou...
Aliens, le retour
Film américain de James Cameron (1986)
La Cinémathèque française a eu raison de consacrer une exposition au réalisateur canadien, qui signait là l'un de ses tous meilleurs opus. Une version longue livre quelques clés sur le thème de la maternité. Côté SF, Abyss et son voyage sous-marin gardent un peu d'avance dans mon Panthéon de cinéma, toujours dominé par l'inégalable E.T. ! Pour citer au moins un film plus récent, je dirais Blade runner 2049.
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Allez, une anecdote personnelle...
Il se trouve que j'ai eu un jour le privilège de suivre une conférence de Stan Winston, crédité ici comme réalisateur de la deuxième équipe et chargé des effets spéciaux. Je ne savais pas du tout qui il était ! Et, avec le recul du temps, je comprends mieux ceux qui l'admirent...
Et pour conclure, quelques liens utiles...
Ils vous renverront vers le blog d'Ideyvonne ou celui de Benjamin. Vincent, lui, était réservé sur Cameron. Il s'en est justifié posément.
Attention: si vous ignorez tout de cet univers et qu'il vous attire pourtant, le mieux est, je crois, de vous lancer avec le film de 1979 et/ou de lire ma chronique précédente. C'est bon ? Je résume vite fait en indiquant que, seule survivante de l'attaque d'un gros cargo spatial par un extraterrestre dégueulasse, Ellen Ripley (Sigourney Weaver) s'est plongée dans un sommeil profond pour ENFIN revenir sur Terre...
Aliens, le retour est la suite directe du premier volet, à l'image près. Quand l'héroïne se réveille de son coma volontaire, elle apprend vite qu'elle a dormi 57 ans. Le consortium qui l'employait jadis - en 2122 - existe toujours et a colonisé la planète hostile où elle avait débarqué. Mais il a perdu tout contact avec les familles installées par ses soins. Vous l'aurez deviné: Ellen Ripley est chargée de retourner sur place pour comprendre, accompagnée d'une escouade de marines bourrins et surarmés, prêts à éradiquer tout fléau qui viendrait à se présenter. Voilà donc toute la troupe partie pour un nouveau jeu de massacre. Pour ma part, j'ai vraiment aimé la suivre au fin fond de la galaxie. Tout ce qui va arriver est très prévisible, mais la virtuosité technique du film en fait encore une remarquable référence de science-fiction près de quarante ans après sa sortie. Très typés, ses personnages sont souvent charismatiques - Ellen Ripley en tête, bien entendu. Enrobé de la musique de James Horner, c'est un bien beau cadeau. Même certains effets un peu "old school" conservent un charme fou...
Aliens, le retour
Film américain de James Cameron (1986)
La Cinémathèque française a eu raison de consacrer une exposition au réalisateur canadien, qui signait là l'un de ses tous meilleurs opus. Une version longue livre quelques clés sur le thème de la maternité. Côté SF, Abyss et son voyage sous-marin gardent un peu d'avance dans mon Panthéon de cinéma, toujours dominé par l'inégalable E.T. ! Pour citer au moins un film plus récent, je dirais Blade runner 2049.
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Allez, une anecdote personnelle...
Il se trouve que j'ai eu un jour le privilège de suivre une conférence de Stan Winston, crédité ici comme réalisateur de la deuxième équipe et chargé des effets spéciaux. Je ne savais pas du tout qui il était ! Et, avec le recul du temps, je comprends mieux ceux qui l'admirent...
Et pour conclure, quelques liens utiles...
Ils vous renverront vers le blog d'Ideyvonne ou celui de Benjamin. Vincent, lui, était réservé sur Cameron. Il s'en est justifié posément.
2 commentaires:
Rebonsoir Martin, ce que j'ai aimé dans ce film, c'est la petite Newt, la débrouillarde qui est la seule survivante. Ce film est un bon cru. Bonne soirée.
Je n'ai pas parlé de Newt pour laisser une grosse surprise en suspens.
! ATTENTION, SPOILERS EN VUE !
Je comprends que tu apprécies ce personnage, que James Cameron traite de manière très convenable . Elle est plus qu'un faire-valoir ou un appeau pour le public sentimental.
Cependant, je dirais qu'elle amplifie aussi l'inattendue fibre maternelle de Ripley, ce qui est loin d'être anodin à mes yeux. Je regarderai sûrement les épisodes 3 et 4 d'ici quelque temps pour vérifier que ce que j'imagine (ou crois avoir lu) est juste. À suivre...
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