Un, deux, trois, quatre, cinq... je me suis rapidement pris au jeu. Vous avez compté aussi ? J'ai vu successivement CINQ films réalisés par des femmes. J'ai pensé que cela pourrait être une bonne idée d'établir un bilan personnel sur la manière dont la condition féminine progresse - ou non - au cinéma. Et je la retiens... pour un autre jour !
Aujourd'hui, nous célébrons la Fête nationale et je préfère donc parler du septième art en France, afin de rapidement solliciter votre avis. J'aimerais en fait que vous me disiez ce que serait, pour vous, le film français par excellence, avant qu'éventuellement, nous en débattions. De mon côté, je pourrais par exemple choisir Cyrano de Bergerac. J'ai également un gros faible pour certains grands films du patrimoine tels que Marius, Le jour se lève ou bien encore Madame de... ! Évidemment, tout n'est pas forcément mesurable et ainsi comparable. Si j'ose écrire, c'est aussi (et avant tout) une question de feeling. Demain, c'est promis, je vais revenir avec un nouveau film français...
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Je vous dois tout de même une explication...
La photo qui accompagne ce texte date du dimanche 4 janvier 1948. Ce jour-là, plus de dix mille personnes ont défilé sur les boulevards parisiens, avec, en tête de cortège, les cinéastes Jacques Becker, Jean Grémillon, Louis Daquin, Yves Allégret, et aussi les comédiennes et comédiens Jean Marais, Simone Signoret, Madeleine Sologne, Raymond Bussières, pour défendre le cinéma français face à son rival américain. Les choses ont-elles changé en mieux depuis ? Pas certain. Et même si, sur Mille et une bobines, Hollywood est moins écrasant...
Aujourd'hui, nous célébrons la Fête nationale et je préfère donc parler du septième art en France, afin de rapidement solliciter votre avis. J'aimerais en fait que vous me disiez ce que serait, pour vous, le film français par excellence, avant qu'éventuellement, nous en débattions. De mon côté, je pourrais par exemple choisir Cyrano de Bergerac. J'ai également un gros faible pour certains grands films du patrimoine tels que Marius, Le jour se lève ou bien encore Madame de... ! Évidemment, tout n'est pas forcément mesurable et ainsi comparable. Si j'ose écrire, c'est aussi (et avant tout) une question de feeling. Demain, c'est promis, je vais revenir avec un nouveau film français...
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Je vous dois tout de même une explication...
La photo qui accompagne ce texte date du dimanche 4 janvier 1948. Ce jour-là, plus de dix mille personnes ont défilé sur les boulevards parisiens, avec, en tête de cortège, les cinéastes Jacques Becker, Jean Grémillon, Louis Daquin, Yves Allégret, et aussi les comédiennes et comédiens Jean Marais, Simone Signoret, Madeleine Sologne, Raymond Bussières, pour défendre le cinéma français face à son rival américain. Les choses ont-elles changé en mieux depuis ? Pas certain. Et même si, sur Mille et une bobines, Hollywood est moins écrasant...
2 commentaires:
A croire que l'édition 2021 du festival de Cannes partage vos préoccupations puisque si d'ordinaire les films français en compétition ne dépasse guère les quatre titres, cette année leur nombre a quasi doublé. La presse anglo- saxonne me manquera pas d'ailleurs de nous le reprocher , croisons les doigts pour que le palmarès soit aussi « hexagonal« que possible....
Pour moi, l'intérêt de Cannes est justement qu'il s'agit d'un festival international. Content que le cinéma français y soit bien représenté, mais ce n'est pas forcément ce que j'attends.
Bon, cela dit, n'étant pas à un paradoxe près, je viens d'aller voir "Annette". J'en reparle... prochainement.
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