États-Unis, France et Japon: la grande majorité des films d'animation que je regarde vient de l'un de ces trois pays. J'aime là aussi sortir des sentiers battus pour m'aventurer vers des terres moins connues. C'est d'autant plus grisant que l'animation peut prendre des formes très diverses en fonction de l'inspiration des créateurs. Réel bonheur !
Ce n'est pas tous les jours que l'on tombe sur un film aussi étonnant que L'extraordinaire voyage de Marona. Même s'il y a des Français et des Belges au générique, je lui attribuerai volontiers la nationalité roumaine de sa conceptrice. Vu et récompensé dans divers festivals internationaux, ce long-métrage a pour "héroïne" une chienne victime d'un accident. Renversée par une voiture, elle pense mourir bientôt et, comme certains peuvent l'imaginer parfois, voit toute sa vie défiler une dernière fois. Est-ce joyeux ? Euh... non, pas vraiment. Pourtant, il y a une bonne dose de tendresse et beaucoup de poésie dans cette histoire triste. Et l'animation est vraiment é-pa-tante ! Difficile de la décrire avec des mots, pour être tout à fait honnête. "Elle m’a donné la liberté nécessaire pour bâtir un environnement visuel unique où l’imaginaire du spectateur puisse se déployer", a dit la réalisatrice. Un environnement très riche et plein de couleurs vives. Cela égaye le propos et, a priori, le rend accessible à tou(te)s. Cette belle (et surprenante) découverte vaut véritablement le détour !
L'extraordinaire voyage de Marona
Film franco-belgo-roumain d'Anca Damian (2019)
L'animation enthousiasme encore le grand enfant que je suis resté ! L'exemple du jour ne peut que m'inciter à repousser les frontières terrestres pour vérifier que l'herbe peut aussi être plus verte ailleurs. Si vous aimez les chiens et ne souhaitez pas aller aussi loin que moi en exploration, il reste La belle et le clochard ou Comme des bêtes. Plans B: rencontrer Le chien du Tibet... et arpenter L'île aux chiens.
L'extraordinaire voyage de Marona
Film franco-belgo-roumain d'Anca Damian (2019)
L'animation enthousiasme encore le grand enfant que je suis resté ! L'exemple du jour ne peut que m'inciter à repousser les frontières terrestres pour vérifier que l'herbe peut aussi être plus verte ailleurs. Si vous aimez les chiens et ne souhaitez pas aller aussi loin que moi en exploration, il reste La belle et le clochard ou Comme des bêtes. Plans B: rencontrer Le chien du Tibet... et arpenter L'île aux chiens.
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