mercredi 15 février 2023

En attendant Steven...

J'en connais qui l'ont vu en avant-première ! C'est dans une semaine que The Fabelmans, le nouveau film de Steven Spielberg, est attendu dans les salles françaises. Je suis impatient de le découvrir enfin ! D'après ce qu'on en dit, il est riche de références autobiographiques. Et les premiers échos venus jusqu'à moi sont extrêmement positifs...

Le box-office en demi-teinte aux États-Unis ne me découragera pas. Même si ce ne sera pas forcément mercredi prochain, je serai fidèle au rendez-vous lancé par celui qui reste l'un de mes cinéastes américains préférés. Les deux Golden Globes qu'il a reçus en janvier dernier - meilleur film dramatique et meilleur réalisateur - montrent que la presse le respecte toujours et me semblent de bon augure. Dans un peu moins d'un mois, The Fabelmans sera un concurrent solide aux Oscars, puisque le film est nommé dans sept catégories. Spielberg n'a aucune intention de prendre sa retraite, semble-t-il. Vous, je ne sais pas, mais quant à moi... je m'en réjouis pleinement !

8 commentaires:

ideyvonne a dit…

Je pense que ce sera un bon biopic. Ce qui est sûr, c'est qu'à la musique il y aura John Williams, donc des mélodies à retenir...

Martin a dit…

Et moi, je pense que ce sera un bon... film !
Je suis justement curieux de faire la part des choses entre l'aspect "biopic" et les éléments d'imaginaire.

Pascale a dit…

C'est un film merveilleux, extraordinaire. Sans nul doute j'irai le revoir.
Certains l'ont vu sans savoir que le personnage était Steven. C'est au-delà du biopic, un chant d'amour au cinéma.
Voir la construction de son 1er court, entre autre, c'est prodigieux.

Martin a dit…

Je l'attends vraiment comme ça, comme l'hommage d'un cinéphile à l'art qui a façonné une bonne partie de sa vie. Depuis que j'ai eu la chance de voir le docu HBO, j'en sais bien plus sur l'approche de Steven et je trouve intéressant qu'il n'est pas strictement appelé son film "Les Spielberg". Je suis sûr qu'il y aura plein de références à sa vraie vie, mais je serai aussi content, je pense, d'y découvrir une part inventée...

Et avec tout ça, je me demande ce qu'il fera après ! On aura l'occasion d'en rediscuter.

princecranoir a dit…

Vu enfin, et mon avis vient se ranger dans la cohorte des admirateurs de ce film absolument essentiel. C'est à la fois un regard retrospectif sur les blessures de sa jeunesse, mais aussi l'éveil artistique d'un génie de la caméra, conscient du pouvoir de l'image sur nos vies.
Un film indispensable, un hommage brillant et habile au septième art qui ajoute du plomb dans l'aile à la tentative balourde de Chazelle de faire de même.

Martin a dit…

Je viendrai te lire... après l'avoir vu moi-même, dimanche ou au plus tard dans le courant de la semaine prochaine, j'espère. Je ne doute pas qu'il va me régaler et vous êtes déjà quelques-uns à me conforter dans cette idée optimiste. Et, déjà, je me demande ce que Spielberg fera après. J'ai entendu parler d'une série sur Napoléon pour HBO. Une façon de reprendre un projet de Stanley Kubrick non réalisé, d'après ce que j'ai compris.

Ma chronique de "Babylon" arrive demain, ce qui ouvrira une autre porte au débat. Je ne suis pas sûr qu'il faille comparer les films, mais, de cela aussi, nous pourrons reparler. Il est clair en tout cas que Damien Chazelle n'évoque pas ses souvenirs personnels.

princecranoir a dit…

Spielberg préparait un remake de "Bullit" avec Bradley Cooper mais je crois que le projet n'est pas encore "greenlighté". Et après l'échec cuisant de "The Fabelmans" en salle (rapidement évacué vers la VOD durant la période des fêtes d'après ce que j'ai compris), je ne suis pas sûr que l'avenir soit si radieux pour Steven.
Je n'ai pas entendu parler de cette série napoléonienne. Décidément, l'empereur a la côté en ce moment si on ajoute le film réalisé par Ridley Scott avec Joaquin Phoenix.

Martin a dit…

Déjà en VOD, "The Fabelmans" ? Purée ! Le public américain est quand même incroyable...

Quant à un film sur Napoléon dirigé par Scott ? Mouais. Cela ne me fait pas frémir d'avance. Ce bon vieux Ridley est pourtant bien placé pour savoir que Joaquin Phoenix n'est pas commode, niveau empereur.