Nous sommes vers la fin des années 60. Un jeune type a pris la route d'un village de la côte atlantique pour devenir le coach de l'équipe d'athlétisme de l'université locale. Sa mission: transformer un groupe de losers en machine à vaincre les formations des autres références de l'enseignement supérieur ! Ce qui ne sera pas une mince affaire...
Présenté ainsi, le film que je défends aujourd'hui peut sembler banal. C'est que je ne vous ai pas tout dit ! Avant d'entrer dans la partie concrète de son travail, Steve Walker s'installe dans une auberge environnante, dont les propriétaires sont... descendantes de pirates. Menacées d'expulsion, ces dames ont besoin d'une grosse somme d'argent pour conjurer leur triste sort et écarter les viles prétentions immobilières d'un malfrat. Un autre sortilège pourrait les y aider. C'est-à-dire ? À vous de l'apprendre avec Le fantôme de Barbe Noire. Sorti des studios Disney, ce long-métrage familial repose sur un pitch des plus insolites. Il n'en a pas moins été - très - largement distribué lors de sa sortie en salles, ralliant les salles de cinéma japonaises, uruguayennes et islandaises (entre autres). Son score au box-office français ferait bien des envieux aujourd'hui: oui, 2.264.700 entrées ! L'incroyable cabotinage d'un Peter Ustinov en roue libre dans le rôle principal laisse peu de place au duo Dean Jones / Suzanne Pleshette. Si l'aspect vintage de la chose ne vous rebute pas, ça passe encore...
Le fantôme de Barbe Noire
Film américain de Robert Stevenson (1968)
Disons-le: d'allure un peu fatiguée, cette production de chez Mickey porte le poids des ans. Elle pourrait toutefois convenir à un public nostalgique et/ou qui ne tiendrait pas du tout compte du temps passé depuis sa création. Il est vrai aussi que les histoires de boucaniers sont légion et que la saga Pirates des Caraïbes écrase un peu tout. On a bien le droit de préférer Capitaine Blood ou Le corsaire rouge !
Présenté ainsi, le film que je défends aujourd'hui peut sembler banal. C'est que je ne vous ai pas tout dit ! Avant d'entrer dans la partie concrète de son travail, Steve Walker s'installe dans une auberge environnante, dont les propriétaires sont... descendantes de pirates. Menacées d'expulsion, ces dames ont besoin d'une grosse somme d'argent pour conjurer leur triste sort et écarter les viles prétentions immobilières d'un malfrat. Un autre sortilège pourrait les y aider. C'est-à-dire ? À vous de l'apprendre avec Le fantôme de Barbe Noire. Sorti des studios Disney, ce long-métrage familial repose sur un pitch des plus insolites. Il n'en a pas moins été - très - largement distribué lors de sa sortie en salles, ralliant les salles de cinéma japonaises, uruguayennes et islandaises (entre autres). Son score au box-office français ferait bien des envieux aujourd'hui: oui, 2.264.700 entrées ! L'incroyable cabotinage d'un Peter Ustinov en roue libre dans le rôle principal laisse peu de place au duo Dean Jones / Suzanne Pleshette. Si l'aspect vintage de la chose ne vous rebute pas, ça passe encore...
Le fantôme de Barbe Noire
Film américain de Robert Stevenson (1968)
Disons-le: d'allure un peu fatiguée, cette production de chez Mickey porte le poids des ans. Elle pourrait toutefois convenir à un public nostalgique et/ou qui ne tiendrait pas du tout compte du temps passé depuis sa création. Il est vrai aussi que les histoires de boucaniers sont légion et que la saga Pirates des Caraïbes écrase un peu tout. On a bien le droit de préférer Capitaine Blood ou Le corsaire rouge !
2 commentaires:
Même l'histoire a l'air fatiguée :-)
Alors non merci, il y a tant d'autres merveilles à voir.
Et cette semaine je te recommande ++++ L'Astronaute.
J'ai du mal à redescendre...
Je n'étais pas seul, le jour où j'ai regardé le film. Et, cette fois, j'ai laissé aux autres le soin de choisir le film. Je ne le regrette pas. C'est loin d'être une "merveille", j'en conviens, mais ce moment partagé était bien agréable.
"L'astronaute" ? C'est l'un des tous prochains films que je vais aller voir. Si ce n'est pas demain, ce sera sans doute dans le courant de la semaine à venir. On en reparlera, donc.
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