Nous y voilà ! L'édition 2024 du Festival de Cannes s'ouvre demain. Jusqu'au samedi de la semaine prochaine, le "petit" monde du cinéma tournera autour de la Croisette... et je vais suivre tout cela d'un oeil. Objectif: repérer quelques prochaines sorties jugées prometteuses. J'ai toujours une vive curiosité pour les films un peu moins attendus !
L'idée de cette chronique m'est venue après avoir cité Julianne Moore vendredi. Le saviez-vous ? L'actrice américaine a été récompensée pour des longs-métrages lancés à Cannes (2014-Maps to the stars), Venise (2003-The hours) et Berlin (2002-Loin du paradis). Bingo ! Cela a réveillé mon intérêt pour les deux autres festivals européens...
Avant d'éventuellement y revenir, j'ai fait une petite liste exhaustive des films chroniqués sur le blog et ayant obtenu la récompense suprême à Venise ou Berlin. Oui, j'espère qu'elle vous inspirera aussi !
Voici donc "mes" Lions d'or de la Mostra de Venise :
- 2020 : Nomadland / Chloé Zhao,
- 2019 : Joker / Todd Phillips,
- 2017 : La forme de l'eau / Guillermo del Toro,
- 2010 : Somewhere / Sofia Coppola,
- 2008 : The wrestler / Darren Aronofsky,
- 2005 : Le secret de Brokeback Mountain / Ang Lee,
- 2003 : Le retour / Andreï Zviaguintsev,
- 1980 : Gloria / John Cassavetes,
- 1967 : Belle de jour / Luis Buñuel.
Avec une précision...
La première Mostra date de 1932 et, sous divers noms, le Lion d'or existe depuis 1949. Il n'a pas été décerné de 1969 à 1972, ni en 1979. De 1973 à 1978, il n'y a pas eu de Mostra. J'en reparlerai... peut-être.
Et voici "mes" Ours d'or de la Berlinale :
- 2014 : Black coal / Diao Yinan,
- 2011 : Une séparation / Asghar Farhadi,
- 2007 : Le mariage de Tuya / Wang Quan'an,
- 2002 : Le voyage de Chihiro / Hayao Miyazaki,
- 2000 : Magnolia / Paul Thomas Anderson,
- 1995 : L'appât / Bertrand Tavernier,
- 1973 : Tonnerres lointains / Satyajit Ray,
- 1971 : Le jardin des Finzi Contini / Vittorio de Sica,
- 1957 : 12 hommes en colère / Sidney Lumet,
- 1953 : Le salaire de la peur / Henri-Georges Clouzot,
- 1951 : Cendrillon / C. Geronimi, W. Jackson et H. Luske.
Avec une autre précision...
L'Ours d'or a toujours été décerné depuis 1951, année de la création du Festival international du film de Berlin. Au passage, un petit rappel historique: deux Allemagne ont coexisté entre 1949 et 1990, le Mur coupant l'actuelle capitale du pays réunifié dès 1961 et jusqu'en 1989. Des conséquences pour le cinéma ? J'en reparlerai aussi ! Peut-être...
----------
On en discute, alors ?
Ce serait (au moins) une occasion d'évoquer l'importance des prix festivaliers. Ou des festivals auxquels nous avons déjà pu participer !
L'idée de cette chronique m'est venue après avoir cité Julianne Moore vendredi. Le saviez-vous ? L'actrice américaine a été récompensée pour des longs-métrages lancés à Cannes (2014-Maps to the stars), Venise (2003-The hours) et Berlin (2002-Loin du paradis). Bingo ! Cela a réveillé mon intérêt pour les deux autres festivals européens...
Avant d'éventuellement y revenir, j'ai fait une petite liste exhaustive des films chroniqués sur le blog et ayant obtenu la récompense suprême à Venise ou Berlin. Oui, j'espère qu'elle vous inspirera aussi !
Voici donc "mes" Lions d'or de la Mostra de Venise :
- 2020 : Nomadland / Chloé Zhao,
- 2019 : Joker / Todd Phillips,
- 2017 : La forme de l'eau / Guillermo del Toro,
- 2010 : Somewhere / Sofia Coppola,
- 2008 : The wrestler / Darren Aronofsky,
- 2005 : Le secret de Brokeback Mountain / Ang Lee,
- 2003 : Le retour / Andreï Zviaguintsev,
- 1980 : Gloria / John Cassavetes,
- 1967 : Belle de jour / Luis Buñuel.
Avec une précision...
La première Mostra date de 1932 et, sous divers noms, le Lion d'or existe depuis 1949. Il n'a pas été décerné de 1969 à 1972, ni en 1979. De 1973 à 1978, il n'y a pas eu de Mostra. J'en reparlerai... peut-être.
Et voici "mes" Ours d'or de la Berlinale :
- 2014 : Black coal / Diao Yinan,
- 2011 : Une séparation / Asghar Farhadi,
- 2007 : Le mariage de Tuya / Wang Quan'an,
- 2002 : Le voyage de Chihiro / Hayao Miyazaki,
- 2000 : Magnolia / Paul Thomas Anderson,
- 1995 : L'appât / Bertrand Tavernier,
- 1973 : Tonnerres lointains / Satyajit Ray,
- 1971 : Le jardin des Finzi Contini / Vittorio de Sica,
- 1957 : 12 hommes en colère / Sidney Lumet,
- 1953 : Le salaire de la peur / Henri-Georges Clouzot,
- 1951 : Cendrillon / C. Geronimi, W. Jackson et H. Luske.
Avec une autre précision...
L'Ours d'or a toujours été décerné depuis 1951, année de la création du Festival international du film de Berlin. Au passage, un petit rappel historique: deux Allemagne ont coexisté entre 1949 et 1990, le Mur coupant l'actuelle capitale du pays réunifié dès 1961 et jusqu'en 1989. Des conséquences pour le cinéma ? J'en reparlerai aussi ! Peut-être...
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On en discute, alors ?
Ce serait (au moins) une occasion d'évoquer l'importance des prix festivaliers. Ou des festivals auxquels nous avons déjà pu participer !
2 commentaires:
Très bonne idée que ce retour arrière sur d'autres Festivals. On se retrouve sur certains titres :
Mon top ten des Lions d'or (je m'aperçois que j'en ai vus pas mal)
Rashomon (Kurosawa)
L'année dernière à Marienbad (Resnais)
Main basse sur la ville (Rosi)
Urga (Mikhalkov)
Short cuts (Altman)
Still life (Jia Zhang-ke)
Somewhere (Coppola)
Faust (Sokourov)
Roma (Cuaron)
Toute la beauté et le sang versé (Poitras)
Mon top Ten des Ours d'or (j'ai moins d'affinité avec leur palmarès)
Le salaire de la peur (Clouzot)
Douze hommes en colère (Lumet)
Rain man (Levinson)
Music box (Costa-Gavras)
Au nom du père (Sheridan)
Magnolia (PT Anderson)
Le Voyage de Chihiro (Miyazaki)
Bloody Sunday (Greengrass)
Troupe d'élite (Padilha)
Une séparation (Farhadi)
Merci pour ces deux listes, mon bon Prince !
Pour le coup, je n'ai pas (encore ?) fait de classement, mais ça ouvre des perspectives.
On s'en reparlera forcément tôt ou tard !
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