J'ai vu bien assez de bons films japonais pour ne pas crier au scandale quand un long-métrage arrivé du Pays du soleil levant me déçoit. First love - Le dernier yakuza est sorti dans les salles françaises l'année dernière, le 1er janvier, et je pensais d'ailleurs aller le voir. Finalement, d'autres lui sont passés devant. Et je n'ai pas de regret...
C'est ma foi désolant, mais je n'ai pas tout compris. Juste qu'un gars doit s'arrêter de boxer après qu'on lui a diagnostiqué une tumeur cérébrale et qu'il va alors croiser une fille, toxicomane et prostituée. Lui a été abandonné quand il était petit, elle a servi de monnaie d'échange à un père endetté jusqu'au cou: on peut certes se réjouir d'avoir affaire à des personnages... disons pour le moins atypiques. Bientôt, les voilà embarqués dans une histoire de trafic de drogue ! Résultat: il leur faudra à la fois vaincre chacun leurs démons personnels, mais aussi échapper à tous les tarés qui se lancent aussitôt à leur poursuite - un mélange de mafieux japonais, gangsters chinois et policiers possiblement ripoux. C'est là que j'ai décroché. Qui est qui ? Et qui veut quoi ? Impossible de bien mesurer les enjeux.
Est-ce que c'est dommage ? Peut-être, oui, parce que, sur le plan esthétique, First love... a de la gueule. Pour plusieurs des critiques dont j'ai parcouru la prose après coup, il y a là un style visuel assumé et proche de celui d'un certain Quentin Tarantino. Assez peu amateur de ce type de représentations, je suis resté sans grand enthousiasme devant ces images. Oh ! Je ne doute pas que certain(e)s d'entre vous sauront les apprécier davantage, jusqu'à la scène du grand règlement de comptes final. Mais franchement, je me suis longtemps demandé ce que tout cela voulait livrer comme message ! Le premier degré purement geek n'a pas rassasié mon appétit cinéphile, pour une fois. Triste constat: je n'y ai vu qu'une série de clichés sans grand intérêt. NB: on trouve très facilement des interviews du réalisateur sur le Net.
First love - Le dernier yakuza
Film japonais de Takashi Miike (2019)
Voilà voilà voilà... une note sévère pour traduire mon peu d'intérêt. C'est avec ce film que je découvre le cinéaste, dont les admirateurs disent qu'il est très prolifique. Pas envie d'y replonger pour l'instant. En Corée, A bittersweet life est plus lisible. Idem pour Lucky Strike. Rien de fou. Autant revoir un Mi$e à prix et / ou encore un Kill Bill quelconque pour avoir son comptant d'hémoglobine. Si vous y tenez...
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Je n'ai pas l'impression que Pascale soit réellement plus enthousiaste.
C'est ma foi désolant, mais je n'ai pas tout compris. Juste qu'un gars doit s'arrêter de boxer après qu'on lui a diagnostiqué une tumeur cérébrale et qu'il va alors croiser une fille, toxicomane et prostituée. Lui a été abandonné quand il était petit, elle a servi de monnaie d'échange à un père endetté jusqu'au cou: on peut certes se réjouir d'avoir affaire à des personnages... disons pour le moins atypiques. Bientôt, les voilà embarqués dans une histoire de trafic de drogue ! Résultat: il leur faudra à la fois vaincre chacun leurs démons personnels, mais aussi échapper à tous les tarés qui se lancent aussitôt à leur poursuite - un mélange de mafieux japonais, gangsters chinois et policiers possiblement ripoux. C'est là que j'ai décroché. Qui est qui ? Et qui veut quoi ? Impossible de bien mesurer les enjeux.
Est-ce que c'est dommage ? Peut-être, oui, parce que, sur le plan esthétique, First love... a de la gueule. Pour plusieurs des critiques dont j'ai parcouru la prose après coup, il y a là un style visuel assumé et proche de celui d'un certain Quentin Tarantino. Assez peu amateur de ce type de représentations, je suis resté sans grand enthousiasme devant ces images. Oh ! Je ne doute pas que certain(e)s d'entre vous sauront les apprécier davantage, jusqu'à la scène du grand règlement de comptes final. Mais franchement, je me suis longtemps demandé ce que tout cela voulait livrer comme message ! Le premier degré purement geek n'a pas rassasié mon appétit cinéphile, pour une fois. Triste constat: je n'y ai vu qu'une série de clichés sans grand intérêt. NB: on trouve très facilement des interviews du réalisateur sur le Net.
First love - Le dernier yakuza
Film japonais de Takashi Miike (2019)
Voilà voilà voilà... une note sévère pour traduire mon peu d'intérêt. C'est avec ce film que je découvre le cinéaste, dont les admirateurs disent qu'il est très prolifique. Pas envie d'y replonger pour l'instant. En Corée, A bittersweet life est plus lisible. Idem pour Lucky Strike. Rien de fou. Autant revoir un Mi$e à prix et / ou encore un Kill Bill quelconque pour avoir son comptant d'hémoglobine. Si vous y tenez...
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Je n'ai pas l'impression que Pascale soit réellement plus enthousiaste.
2 commentaires:
Pas très enthousiaste non plus en effet même si ma note reste vague.
Je me souviens par contre que je n'y comprenais pas grand chose et me demandais si je n'avais pas somnolé pour à ce point ne rien comprendre.
Je me souviens que j'ai été assez ébranlée par le sort de Monica.
Non, non, même sans somnoler, le film est difficile à suivre. Et la p'tite Monica ne m'a guère ému...
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