"Une mémoire de poisson rouge": ainsi parle-t-on de ceux qui oublient tout en moins de temps qu'il n'en faut aux bêtes nageuses pour faire un tour de bocal. Surprise: du côté de chez Pixar, la bestiole étourdie est de couleur bleue. Son nom: Dory. Les vrais spécialistes du monde marin parlent, eux, de "poisson-chirurgien" (Paracanthurus Hepatus) !
Vous la (re)connaissez ? En fait, sa toute première apparition à l'écran remonte à 2003, dans un chouette dessin animé: Le monde de Nemo. Après bien des tergiversations, il fut donc décidé de donner une suite à ce premier épisode, avec pour titre Le monde de Dory ! J'ai profité de son passage à la télé en juillet pour rattraper ce second volet. Franchement, j'ai bien aimé: le savoir-faire de Pixar est incontestable en matière d'animation et se maintient de fait à un très haut niveau. Même si je préfère voir le studio plancher sur des scénarios originaux qu'à partir d'anciennes recettes, le plaisir l'emporte à chaque fois. Pourquoi donc y renoncer ? Je ne vois aucune raison, pour tout dire...
Accepter de plonger vers le fond des océans en si joyeuse compagnie garantit de passer un bon moment, d'autant plus que nos hôtes forment un bestiaire bigarré et rigolo. La cheffe de file déjà citée fraye en effet avec un poulpe-caméléon roi de l'évasion, une baleine perturbée par la myopie, un bélouga adepte du sonar ou des otaries paresseuses. Seul bémol à mon enthousiasme: Le monde de Dory raconte presque la même histoire que son prédécesseur, de manière encore plus folle, mais toujours en proposant une course-poursuite entre humains et animaux, soucieux en somme de garder la mainmise sur leur destin et leur milieu naturel. De là à y dénicher un sous-texte écolo, il y a un pas que je ne franchirai pas: on reste dans le domaine du divertissement. Et c'est bien ainsi: les kids devraient se ré-ga-ler !
Le monde de Dory
Film américain d'Andrew Stanton et Angus MacLane (2016)
D'après moi, avoir (re)vu Le monde de Nemo n'est pas indispensable pour appréhender cette suite, mais cela reste une bonne idée en soi. Et cette fois, c'est sûr: le Gang de requins de Dreamworks, le studio concurrent, est relégué... aux oubliettes ! Je n'irai pas jusqu'à dire que c'est le meilleur Pixar que je connaisse: je mets Monstres et Cie au-dessus, avec Wall-E, Là-haut et Coco. Une liste non exhaustive...
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Si vous voulez pousser plus loin votre exploration...
Ideyvonne pourrait répondre à votre soif d'images. Dasola et Pascale restent, elles aussi, à portée de clic pour donner leur avis sur le film !
Vous la (re)connaissez ? En fait, sa toute première apparition à l'écran remonte à 2003, dans un chouette dessin animé: Le monde de Nemo. Après bien des tergiversations, il fut donc décidé de donner une suite à ce premier épisode, avec pour titre Le monde de Dory ! J'ai profité de son passage à la télé en juillet pour rattraper ce second volet. Franchement, j'ai bien aimé: le savoir-faire de Pixar est incontestable en matière d'animation et se maintient de fait à un très haut niveau. Même si je préfère voir le studio plancher sur des scénarios originaux qu'à partir d'anciennes recettes, le plaisir l'emporte à chaque fois. Pourquoi donc y renoncer ? Je ne vois aucune raison, pour tout dire...
Accepter de plonger vers le fond des océans en si joyeuse compagnie garantit de passer un bon moment, d'autant plus que nos hôtes forment un bestiaire bigarré et rigolo. La cheffe de file déjà citée fraye en effet avec un poulpe-caméléon roi de l'évasion, une baleine perturbée par la myopie, un bélouga adepte du sonar ou des otaries paresseuses. Seul bémol à mon enthousiasme: Le monde de Dory raconte presque la même histoire que son prédécesseur, de manière encore plus folle, mais toujours en proposant une course-poursuite entre humains et animaux, soucieux en somme de garder la mainmise sur leur destin et leur milieu naturel. De là à y dénicher un sous-texte écolo, il y a un pas que je ne franchirai pas: on reste dans le domaine du divertissement. Et c'est bien ainsi: les kids devraient se ré-ga-ler !
Le monde de Dory
Film américain d'Andrew Stanton et Angus MacLane (2016)
D'après moi, avoir (re)vu Le monde de Nemo n'est pas indispensable pour appréhender cette suite, mais cela reste une bonne idée en soi. Et cette fois, c'est sûr: le Gang de requins de Dreamworks, le studio concurrent, est relégué... aux oubliettes ! Je n'irai pas jusqu'à dire que c'est le meilleur Pixar que je connaisse: je mets Monstres et Cie au-dessus, avec Wall-E, Là-haut et Coco. Une liste non exhaustive...
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Si vous voulez pousser plus loin votre exploration...
Ideyvonne pourrait répondre à votre soif d'images. Dasola et Pascale restent, elles aussi, à portée de clic pour donner leur avis sur le film !
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