Sur une guenon, ça marche. Sebastian Cane ne voit donc vraiment pas pourquoi ça ne fonctionnerait pas sur un être humain. Le fait même de rencontrer des réticences, voire une relative hostilité, chez ses collègues ne l'inquiète pas plus que ça: tant pis s'il n'y a aucun volontaire particulier, il fera donc le test lui-même, et exigera simplement un "complice" pour lui administrer sa potion d'invisibilité. Tel est pour résumer le point de départ du dernier film que j'ai regardé sur ma platine DVD, Hollow man - L'homme sans ombre.
Bon. Ce n'est franchement pas un chef d'oeuvre. Je l'ai sélectionné et visionné dans l'idée que ça me viderait la tête d'avoir tout de même quelques pop corn movies dans ma collection, des oeuvres du genre facile à comprendre, vite oubliées, mais qui peuvent permettre de penser à autre chose après une journée agitée ou une semaine mouvementée. Sur ce seul critère, Hollow man remplit son office. J'irai même jusqu'à dire qu'il le fait de manière plutôt inattendue, car je dois reconnaître que je n'imaginais pas que l'intrigue initiale puisse évoluer de cette façon. En résumé encore, le savant devient un peu dingue, grisé par les pouvoirs que lui donne l'invisibilité.
Tout ça s'étale sur un peu moins de deux heures. C'est bien suffisant. Les personnages manquent un peu trop d'épaisseur pour qu'on soit vraiment scotché à son fauteuil, suffisamment attaché à eux pour être franchement inquiet pour leur sort. Le scénario, lui aussi, révèle vite sa relative indigence au cours de scènes quelque peu répétitives. Une fois la problématique de base dévoilée, on voit venir les choses. Cela dit, je suis aussi public de ce genre de productions médiocres à l'américaine. La preuve. J'admets aussi que je suis resté bouche bée devant quelques effets spéciaux. Hollow man ne restera probablement pas dans l'histoire du cinéma, c'est entendu. Maintenant, ce n'est pas une catastrophe: franchement, je doute fort que le producteur ait jamais eu cette ambition.
Bon. Ce n'est franchement pas un chef d'oeuvre. Je l'ai sélectionné et visionné dans l'idée que ça me viderait la tête d'avoir tout de même quelques pop corn movies dans ma collection, des oeuvres du genre facile à comprendre, vite oubliées, mais qui peuvent permettre de penser à autre chose après une journée agitée ou une semaine mouvementée. Sur ce seul critère, Hollow man remplit son office. J'irai même jusqu'à dire qu'il le fait de manière plutôt inattendue, car je dois reconnaître que je n'imaginais pas que l'intrigue initiale puisse évoluer de cette façon. En résumé encore, le savant devient un peu dingue, grisé par les pouvoirs que lui donne l'invisibilité.
Tout ça s'étale sur un peu moins de deux heures. C'est bien suffisant. Les personnages manquent un peu trop d'épaisseur pour qu'on soit vraiment scotché à son fauteuil, suffisamment attaché à eux pour être franchement inquiet pour leur sort. Le scénario, lui aussi, révèle vite sa relative indigence au cours de scènes quelque peu répétitives. Une fois la problématique de base dévoilée, on voit venir les choses. Cela dit, je suis aussi public de ce genre de productions médiocres à l'américaine. La preuve. J'admets aussi que je suis resté bouche bée devant quelques effets spéciaux. Hollow man ne restera probablement pas dans l'histoire du cinéma, c'est entendu. Maintenant, ce n'est pas une catastrophe: franchement, je doute fort que le producteur ait jamais eu cette ambition.
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