Du casting et de la valeur relative des films, épisode 3. C'est d'abord pour le trio Catherine Deneuve, Susan Sarandon et David Bowie (!) que j'ai voulu voir Les prédateurs. Du scénario, je ne savais en fait qu'assez peu de choses, si ce n'est qu'il tournait autour de vampires. Restait donc à voir comment il abordait ce genre plutôt... "classique".
Les prédateurs dont il est question occupent un grand appartement new-yorkais, visiblement éloignés de toute préoccupation matérielle. Madame Blaylock est très belle, mais Monsieur, lui, s'abime le moral avec diverses pensées macabres liées à son possible vieillissement accéléré. Ce qui le conduit un beau jour à consulter un chercheur spécialisé, le docteur Sarah Roberts, qui étudie justement le moyen de freiner - ou d'arrêter - l'inéluctable course de l'évolution biologique vers le déclin et la mort. Je vous passe les détails. Je crois en fait qu'il faut savoir entrer dans ce type de films pour les apprécier vraiment à leur juste valeur. Et de fait, tout cela est un peu kitsch...
Disons-le autrement: l'esthétique du long-métrage est assez chargée. Parfaitement raccord, je pense, avec l'époque de la sortie en salles. Voilà... pas question pour moi de dénigrer cet aspect des choses. D'ailleurs, je crois bien qu'en son temps, le film avait fait parler de lui positivement et avait été vu à Cannes - hors-compétition, toutefois. Aujourd'hui, il peut sûrement être rangé au rayon des oeuvres cultes pour les amateurs de ce type de productions. Je l'apprécie moi-même comme une pièce de musée, kitsch, donc, ou gentiment démodée. Chacun des trois protagonistes principaux a su faire mieux ailleurs. Ce n'est en aucun cas une raison pour bouder votre (éventuel) plaisir !
Les prédateurs
Film américano-britannique de Tony Scott (1983)
Avis aux curieux: tiré d'un roman, dont la VO reprend d'ailleurs le titre originel (The hunger), le long-métrage connut aussi une déclinaison télévisée sous la forme d'une série, entre juillet 1997 et mars 2000. Bon... j'étais à deux doigts de vous dire que les histoires de vampires ne m'intéressent que moyennement, mais je ne peux pas démentir mon intérêt affirmé pour Nosferatu, Morse et Only lovers left alive !
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Je n'ai pas trouvé d'autre avis sur le film...
Lot de consolation: une chronique d'Ideyvonne sur la chef costumière. Précision: ceux de Catherine Deneuve sont signés Yves Saint-Laurent.
Les prédateurs dont il est question occupent un grand appartement new-yorkais, visiblement éloignés de toute préoccupation matérielle. Madame Blaylock est très belle, mais Monsieur, lui, s'abime le moral avec diverses pensées macabres liées à son possible vieillissement accéléré. Ce qui le conduit un beau jour à consulter un chercheur spécialisé, le docteur Sarah Roberts, qui étudie justement le moyen de freiner - ou d'arrêter - l'inéluctable course de l'évolution biologique vers le déclin et la mort. Je vous passe les détails. Je crois en fait qu'il faut savoir entrer dans ce type de films pour les apprécier vraiment à leur juste valeur. Et de fait, tout cela est un peu kitsch...
Disons-le autrement: l'esthétique du long-métrage est assez chargée. Parfaitement raccord, je pense, avec l'époque de la sortie en salles. Voilà... pas question pour moi de dénigrer cet aspect des choses. D'ailleurs, je crois bien qu'en son temps, le film avait fait parler de lui positivement et avait été vu à Cannes - hors-compétition, toutefois. Aujourd'hui, il peut sûrement être rangé au rayon des oeuvres cultes pour les amateurs de ce type de productions. Je l'apprécie moi-même comme une pièce de musée, kitsch, donc, ou gentiment démodée. Chacun des trois protagonistes principaux a su faire mieux ailleurs. Ce n'est en aucun cas une raison pour bouder votre (éventuel) plaisir !
Les prédateurs
Film américano-britannique de Tony Scott (1983)
Avis aux curieux: tiré d'un roman, dont la VO reprend d'ailleurs le titre originel (The hunger), le long-métrage connut aussi une déclinaison télévisée sous la forme d'une série, entre juillet 1997 et mars 2000. Bon... j'étais à deux doigts de vous dire que les histoires de vampires ne m'intéressent que moyennement, mais je ne peux pas démentir mon intérêt affirmé pour Nosferatu, Morse et Only lovers left alive !
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Je n'ai pas trouvé d'autre avis sur le film...
Lot de consolation: une chronique d'Ideyvonne sur la chef costumière. Précision: ceux de Catherine Deneuve sont signés Yves Saint-Laurent.
2 commentaires:
Bonjour Martin, j'ai vu les Prédateurs quand il est sorti. Pas très bien accueilli par les critiques. Personnellement, j'avais aimé. La scène sapphique entre Deneuve et Sarandon avait beaucoup fait parler d'alle. La scène était plutôt osée à l'époque. Bonne journée.
Hello Dasola. Ah oui, cette fameuse scène a dû marquer les esprits, en son temps !
Moi, ce qui m'a le plus surpris, c'est qu'on ne voit finalement pas Bowie très longtemps…
Cela étant précisé, je ne vais pas en dévoiler davantage pour laisser la surprise aux non-initié(e)s.
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