Je me trouve chanceux d'avoir pas mal voyagé ces dernières années. Cet été, par exemple, je suis allé à Édimbourg, à Madrid et Lisbonne en juin et août 2013, à Stockholm précédemment... j'aimerais passer quelques jours dans chacune des capitales européennes (au moins). J'essaye souvent de rentrer en France avec quelques films du pays découvert, surtout s'il est "exotique". Le cinéma est ma carte postale.
Vous l'avez remarqué: ces derniers jours, je vous ai emmené visiter quelques contrées lointaines de la planète cinéphile. Je suis heureux que, sur les Bobines, plus d'un film sur deux soit non-américain. Content également que le cinéma français occupe une place importante, soit un gros quart des films chroniqués, sans dominer pour autant. Je ferai sans doute un jour un bilan complet des origines des longs-métrages que je présente ici. Je peux déjà vous dire qu'actuellement, j'ai parlé de productions venues de 37 pays différents. Singapour, l'Afghanistan et la Hongrie sont les derniers arrivés. La Roumanie et les Pays-Bas, eux, frappent déjà à la porte.
Qu'est-ce que l'avenir nous réserve ? Je n'en sais fichtre rien. Notez toutefois que, sur les huit premiers mois de l'année, la fréquentation des salles françaises a plutôt souri au cinéma tricolore, avec 46,2% des parts de marché - contre 32,5% l'an passé. Notre septième art national marche, ô surprise ! (un peu) mieux que son homologue américain, qui ne récolte, lui, "que" 45,9% de ces mêmes parts. L'avez-vous calculé ? Cela ne laisse donc qu'un tout petit 7,9% au reste de la production cinématographique mondiale. Attention: le Centre national du cinéma et de l'image animée publie ces chiffres et juge bon de les prendre avec prudence - il s'agit d'estimations imprécises. Reste que je suis toujours avide de découvrir d'autres filmographies. Avec, entre autres, nos voisins d'Europe en guise de terrain de jeu.
Qu'est-ce que l'avenir nous réserve ? Je n'en sais fichtre rien. Notez toutefois que, sur les huit premiers mois de l'année, la fréquentation des salles françaises a plutôt souri au cinéma tricolore, avec 46,2% des parts de marché - contre 32,5% l'an passé. Notre septième art national marche, ô surprise ! (un peu) mieux que son homologue américain, qui ne récolte, lui, "que" 45,9% de ces mêmes parts. L'avez-vous calculé ? Cela ne laisse donc qu'un tout petit 7,9% au reste de la production cinématographique mondiale. Attention: le Centre national du cinéma et de l'image animée publie ces chiffres et juge bon de les prendre avec prudence - il s'agit d'estimations imprécises. Reste que je suis toujours avide de découvrir d'autres filmographies. Avec, entre autres, nos voisins d'Europe en guise de terrain de jeu.
1 commentaire:
Moi j'ai peur que la télé et Internet prennent le pas sur le cinéma. Déjà dans les mags ciné, t'as désormais plus de pages sur les séries que sur les films ! Le cinéma pâtit de la crise financière économique et technologie : les gens veulent du pas cher direct sur leur ordinateur. Franchement ça m'inquiète.
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