Une fois n'est pas coutume: aujourd'hui, je vais présenter un remake. Les grands connaisseurs sauront qu'il s'agit également du dernier film de Christopher Reeve avant l'accident qui le laissa tétraplégique. L'acteur aurait 70 ans aujourd'hui: dans ce film plutôt mal accueilli lors de sa sortie, il succède à George Sanders dans un rôle-clé. Good !
À la vue de l'image ci-dessus, certain(e)s d'entre vous auront compris que c'est Le village des damnés - 1995 - que j'évoque aujourd'hui. Comme dans le premier, l'histoire tourne autour d'une communauté villageoise frappée soudain d'un mal étrange: un évanouissement simultané de l'ensemble de la population. On découvrira par la suite que toutes les femmes en âge d'avoir des enfants... sont enceintes. Et que les bébés, bien loin d'être d'adorables poupons, sont capables d'explorer les pensées des adultes, au point de leur devenir nuisibles. Ce que j'apprécie ici, c'est que l'angoissant scénario ne livre au fond qu'une partie des réponses aux questions qu'il pose au long du récit. Pour le reste, l'intrigue reste très proche de celle de l'opus de 1960. Quelques scènes spectaculaires viennent rappeler que le réalisateur n'est pas un manchot, même si je dirais qu'il a également fait mieux. Allez... je ne regrette pas mon choix de regarder ce film pour autant !
Le village des damnés
Film américain de John Carpenter (1995)
Le simple fait d'un peu mieux connaître ce ponte du cinéma de genre suffit à mon bonheur du jour - même si ce n'est pas une fin en soi. Évidemment, les esthètes pourront (ou devront ?) se rapporter au film originel: en noir et blanc, Le village des damnés 1960 est superbe. J'ai quelques autres longs-métrages effrayants en attente, aussi ! Vous pourrez patienter avec Massacre à la tronçonneuse et Suspiria.
À la vue de l'image ci-dessus, certain(e)s d'entre vous auront compris que c'est Le village des damnés - 1995 - que j'évoque aujourd'hui. Comme dans le premier, l'histoire tourne autour d'une communauté villageoise frappée soudain d'un mal étrange: un évanouissement simultané de l'ensemble de la population. On découvrira par la suite que toutes les femmes en âge d'avoir des enfants... sont enceintes. Et que les bébés, bien loin d'être d'adorables poupons, sont capables d'explorer les pensées des adultes, au point de leur devenir nuisibles. Ce que j'apprécie ici, c'est que l'angoissant scénario ne livre au fond qu'une partie des réponses aux questions qu'il pose au long du récit. Pour le reste, l'intrigue reste très proche de celle de l'opus de 1960. Quelques scènes spectaculaires viennent rappeler que le réalisateur n'est pas un manchot, même si je dirais qu'il a également fait mieux. Allez... je ne regrette pas mon choix de regarder ce film pour autant !
Le village des damnés
Film américain de John Carpenter (1995)
Le simple fait d'un peu mieux connaître ce ponte du cinéma de genre suffit à mon bonheur du jour - même si ce n'est pas une fin en soi. Évidemment, les esthètes pourront (ou devront ?) se rapporter au film originel: en noir et blanc, Le village des damnés 1960 est superbe. J'ai quelques autres longs-métrages effrayants en attente, aussi ! Vous pourrez patienter avec Massacre à la tronçonneuse et Suspiria.
2 commentaires:
Ah je l'ai vu parce que j'étais fan de Christopher... et n'en ai aucun souvenir.
Il y aussi Mark "Luke Skywalker" Hamill dans le rôle d'un révérend. Le film n'est pas si mémorable...
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