Oh... mon... Dieu ! Allez savoir pourquoi, je me suis dit l'autre matin qu'il pourrait être sympa de réhabiliter ce bon vieux Nicolas Cage ! Dans mes souvenirs les plus lointains, l'acteur américain était moqué par son oncle - Francis Ford Coppola himself - pour son jeu exécrable. Cette fois, j'aurais mieux fait d'écouter le tonton. I'm so sorry, Nick...
ATTENTION SPOILER: dans Willy's Wonderland, Cage ne parle pas. J'insiste: aucune ligne de dialogue ne lui a été attribuée. Pas un mot. Jamais. Tout au plus quelques borborygmes à chaque canette de soda terminée... et c'est marre ! Le scénario ? La promesse d'un plaisir assumé pour les amoureux du cinéma de genre (dont je fais partie). Sur une route des État-Unis, Nick crève. Le dépanneur lui explique que les jeunes du coin en sont responsables: ils ont utilisé une rangée de clous dont le shérif se sert quand il doit faire ralentir un chauffard. Mais il y a une solution à ce problème: s'il veut qu'on répare sa voiture gratuitement, Cage peut faire le ménage dans un parc d'attractions désaffecté. Et devinez quoi ? Les automates du lieu prennent vie. Supposés divertir les visiteurs, ils préfèrent les tuer et les manger. C'est n'importe quoi ? Je confirme. Même pas geek: ridicule et piteux. Parfois, quand sa montre fait bip-bip, le héros s'arrête de bastonner avec les monstres, se ressert à boire et s'offre une partie de flipper. Franchement, la forme est correcte, mais tout le reste... aïe aïe aïe !
Willy's Wonderland
Film américain de Kevin Lewis (2021)
Je ne sais pas si c'est parce que la crise sanitaire est passée par là que ce machin n'est jamais sorti dans nos salles, mais je crois bien que, pour une fois, je ne vais pas râler contre le direct to video. Terminator ou Runaway ont de meilleures mécaniques déviantes. Maintenant, si vous tenez à voir une machine vivante dans un cadre de fête foraine, le mieux est de choisir Jumbo, tant que vous y êtes !
ATTENTION SPOILER: dans Willy's Wonderland, Cage ne parle pas. J'insiste: aucune ligne de dialogue ne lui a été attribuée. Pas un mot. Jamais. Tout au plus quelques borborygmes à chaque canette de soda terminée... et c'est marre ! Le scénario ? La promesse d'un plaisir assumé pour les amoureux du cinéma de genre (dont je fais partie). Sur une route des État-Unis, Nick crève. Le dépanneur lui explique que les jeunes du coin en sont responsables: ils ont utilisé une rangée de clous dont le shérif se sert quand il doit faire ralentir un chauffard. Mais il y a une solution à ce problème: s'il veut qu'on répare sa voiture gratuitement, Cage peut faire le ménage dans un parc d'attractions désaffecté. Et devinez quoi ? Les automates du lieu prennent vie. Supposés divertir les visiteurs, ils préfèrent les tuer et les manger. C'est n'importe quoi ? Je confirme. Même pas geek: ridicule et piteux. Parfois, quand sa montre fait bip-bip, le héros s'arrête de bastonner avec les monstres, se ressert à boire et s'offre une partie de flipper. Franchement, la forme est correcte, mais tout le reste... aïe aïe aïe !
Willy's Wonderland
Film américain de Kevin Lewis (2021)
Je ne sais pas si c'est parce que la crise sanitaire est passée par là que ce machin n'est jamais sorti dans nos salles, mais je crois bien que, pour une fois, je ne vais pas râler contre le direct to video. Terminator ou Runaway ont de meilleures mécaniques déviantes. Maintenant, si vous tenez à voir une machine vivante dans un cadre de fête foraine, le mieux est de choisir Jumbo, tant que vous y êtes !
2 commentaires:
Le direct to video est rarement bon signe.
Nick est un bon acteur qui en fait souvent trop mail il a beaucoup de navets dans son CV. Pour moi il est Sailor forever.
Tu as raison au sujet du "direct to video". Cela dit, avec le Covid, je me suis dit que pas mal de films avaient dû louper la case cinéma et méritaient une séance de rattrapage. Là, je me suis planté...
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