Anecdote: initialement, à l'occasion de ce dernier jour de novembre et en vue de décembre, j'avais pensé vous reparler du reconfinement et de ses conséquences sur le cinéma. J'ai renoncé: l'heure des bilans n'a pas encore sonné - et je trouvais le sujet un peu trop plombant. Cette chronique ne vous parlera donc que... des chats sur les écrans !
Il me semble que l'on peut dire qu'à l'image de celui d'Audrey Hepburn dans Diamants sur canapé (cf. ci-dessus), les félins de tous poils tiennent un rôle décisif dans bon nombre de films. J'ai la flemme aujourd'hui: je n'ai pas prévu de rétrospective un tantinet exhaustive liée à cette question importante. Comme un gros matou paresseux avachi sur votre fauteuil préféré, je m'en remets donc à vos lumières pour éclairer ma lanterne. La section des commentaires est ouverte afin que nous parlions des greffiers de VOTRE choix. Après ramassage des copies, je reviendrai, tôt ou tard, détailler ma liste personnelle. Ce sera, évidemment, en fonction des chats que je croiserai d'ici là...
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Et décembre, donc ?
Il sera relativement chargé sur le blog, puisque j'ai l'intention d'écrire une chronique (de film) par jour jusqu'à ma pause de fin d'année. Celle de demain est déjà dans les tuyaux, au sujet d'un long-métrage français sorti en 1955. Choix de ma mère pour la Toussaint confinée !
Il me semble que l'on peut dire qu'à l'image de celui d'Audrey Hepburn dans Diamants sur canapé (cf. ci-dessus), les félins de tous poils tiennent un rôle décisif dans bon nombre de films. J'ai la flemme aujourd'hui: je n'ai pas prévu de rétrospective un tantinet exhaustive liée à cette question importante. Comme un gros matou paresseux avachi sur votre fauteuil préféré, je m'en remets donc à vos lumières pour éclairer ma lanterne. La section des commentaires est ouverte afin que nous parlions des greffiers de VOTRE choix. Après ramassage des copies, je reviendrai, tôt ou tard, détailler ma liste personnelle. Ce sera, évidemment, en fonction des chats que je croiserai d'ici là...
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Et décembre, donc ?
Il sera relativement chargé sur le blog, puisque j'ai l'intention d'écrire une chronique (de film) par jour jusqu'à ma pause de fin d'année. Celle de demain est déjà dans les tuyaux, au sujet d'un long-métrage français sorti en 1955. Choix de ma mère pour la Toussaint confinée !
10 commentaires:
Mon félin préféré à l'écran, Pyewacket le chat de Kim Novack , adorable sorcière et « Adorable voisine » du film de Richard Quine, qui ensorcelle James Stewart , et dont le regard ressemble étrangement à celui de son animal de compagnie..
Les chats m'indifférent absolument.
MAIS je trouve Thomas O'Maley (j'espère qu'il ne sennuie pas trop avec sa bourgeoise) et toute la bande des matous voyous de Scat Cat réjouissants.
@CC Rider:
Un chat que je ne connais pas et qui ensorcelle James Stewart ? Intéressant.
Si, en plus, ce brave Jimmy y trouve un sorte de vertige, ça fait vraiment envie !
@Pascale:
Indifférente aux chats ? Roooooh !
Bon, si tu aimes les Scat Cat, je te pardonne. C'est bien parce que c'est toi.
Être pardonnée de ne pas aimer les chats, je retrouve bien là le discours intolérant des possesseurs de chats.
Je n'ai pas de chat.
Alors tu es un garçon très fréquentable.
Il paraît.
J'ai un poisson rouge.
Mieux vaut dès lors ne pas avoir de chat.
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