Allez, une autre virée au French Riviera Motorcycle Film Festival ! Toujours au rayon documentaire, Morbidelli s'adresse aux passionnés de sports mécaniques. Diffusé avec le sous-titre Histoires d'hommes et de motos rapides, ce documentaire d'environ une heure trente retrace le parcours d'une écurie moto de compétition, de 1969 à 1982.
La motivation du créateur (italien) de la marque est encore palpable. Giancarlo Morbidelli, qui avait fait fortune dans l'industrie, témoigne avec passion de ces années passées sur les circuits. Une large place est également laissée aux anciens mécaniciens et pilotes, le souvenir de chacun restant particulièrement vivace. Les plus grands succès sportifs y côtoient de terribles tragédies, les meilleurs champions ayant parfois laissé leur peau sur la piste de leurs performances. Heureusement, le ton du film n'est ni mélancolique, ni plombant. Même si la moto reste loin de mes centres d'intérêt, l'enthousiasme des protagonistes du film a fini par susciter mon adhésion. Chapeau !
Formellement, je n'ai rien de très infamant à dire contre le film. Simplement, j'ai regretté que les très nombreuses images d'archive présentées par les auteurs soient souvent de bien piètre qualité. J'admets toutefois qu'ils n'y sont probablement pour rien. "Reproche" davantage ciblé sur eux: j'ai eu l'impression parfois qu'ils voulaient véritablement tout raconter, en détails. En résulte un léger sentiment d'excès et, par conséquent, de saturation, encore renforcé d'ailleurs par la VO italienne sous-titrée - certes, je ne parle pas la langue. Respect absolu, cela dit, pour l'ensemble des recherches effectuées. Morbidelli remet l'histoire en images. Les connaisseurs apprécieront.
Morbidelli - Storie di uomini e di moto veloci
Documentaire italien de Jeffrey Zani et Matthew Gonzales (2014)
Vous pourrez résumer mon impression en un simple intérêt poli. Sincèrement, je connaissais le nom Morbidelli, mais du côté cette fois de la Formule 1 - le fils du patriarche, Gianni, ayant été pilote auto dans cette discipline entre 1990 et 1997 (sans vrai résultat notable). Bref... je n'ai pas d'autre film à vous proposer sur le même sujet. N'hésitez pas à vous signaler en commentaires si vous en avez, vous !
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Le sujet vous plaît ? Vous en voulez encore ?
Je vous rappelle donc qu'après sa présentation de l'édition de l'année dernière, Joss avait aussi présenté ses coups de coeur, à savoir...
- Continental Circus (Jérôme Laperrousaz / 1972),
- Il était une fois le Continental Circus (Bernard Fau / 2014),
- Les fiancés de la mort (Romelo Marcellini / 1957),
- Italian race (Matteo Rovere / 2016),
La motivation du créateur (italien) de la marque est encore palpable. Giancarlo Morbidelli, qui avait fait fortune dans l'industrie, témoigne avec passion de ces années passées sur les circuits. Une large place est également laissée aux anciens mécaniciens et pilotes, le souvenir de chacun restant particulièrement vivace. Les plus grands succès sportifs y côtoient de terribles tragédies, les meilleurs champions ayant parfois laissé leur peau sur la piste de leurs performances. Heureusement, le ton du film n'est ni mélancolique, ni plombant. Même si la moto reste loin de mes centres d'intérêt, l'enthousiasme des protagonistes du film a fini par susciter mon adhésion. Chapeau !
Formellement, je n'ai rien de très infamant à dire contre le film. Simplement, j'ai regretté que les très nombreuses images d'archive présentées par les auteurs soient souvent de bien piètre qualité. J'admets toutefois qu'ils n'y sont probablement pour rien. "Reproche" davantage ciblé sur eux: j'ai eu l'impression parfois qu'ils voulaient véritablement tout raconter, en détails. En résulte un léger sentiment d'excès et, par conséquent, de saturation, encore renforcé d'ailleurs par la VO italienne sous-titrée - certes, je ne parle pas la langue. Respect absolu, cela dit, pour l'ensemble des recherches effectuées. Morbidelli remet l'histoire en images. Les connaisseurs apprécieront.
Morbidelli - Storie di uomini e di moto veloci
Documentaire italien de Jeffrey Zani et Matthew Gonzales (2014)
Vous pourrez résumer mon impression en un simple intérêt poli. Sincèrement, je connaissais le nom Morbidelli, mais du côté cette fois de la Formule 1 - le fils du patriarche, Gianni, ayant été pilote auto dans cette discipline entre 1990 et 1997 (sans vrai résultat notable). Bref... je n'ai pas d'autre film à vous proposer sur le même sujet. N'hésitez pas à vous signaler en commentaires si vous en avez, vous !
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Le sujet vous plaît ? Vous en voulez encore ?
Je vous rappelle donc qu'après sa présentation de l'édition de l'année dernière, Joss avait aussi présenté ses coups de coeur, à savoir...
- Continental Circus (Jérôme Laperrousaz / 1972),
- Il était une fois le Continental Circus (Bernard Fau / 2014),
- Les fiancés de la mort (Romelo Marcellini / 1957),
- Italian race (Matteo Rovere / 2016),
- le court 1971, Motorcycle Heart (Stéphanie Varela / 2017),
- le court Trois pêcheurs (Axel Du Bus / 2012).
Une édition 2020 du Festival est d'ores et déjà envisagée. À suivre...
- le court Trois pêcheurs (Axel Du Bus / 2012).
Une édition 2020 du Festival est d'ores et déjà envisagée. À suivre...
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