J'allais parler de notule, mais le Littré - volume 13 page 294 - m'apprend que ce mot n'est employé que pour qualifier (je cite) "de courtes annotations mises à un texte ancien". Dans ce qui sera donc finalement une petite note, je voulais vous parler d'une actualité... avant que l'info soit vraiment réchauffée. Isabelle Huppert vient d'être désignée pour être, du 13 au 24 mai prochains, la présidente du jury du 62ème Festival de Cannes. Elle succèdera ainsi à l'acteur et réalisateur américain Sean Penn. Née en 1953, la comédienne est déjà venue plus de 25 fois sur la Croisette, et s'y est vue remettre deux fois le Prix d'interprétation féminine, pour Violette Nozière d'abord, en 1978, puis pour La pianiste en 2001.
De fait, je n'ai pas grand-chose à ajouter à ces informations récupérées dans une dépêche Reuters. Il ne vous surprendra pas qu'Isabelle Huppert ait exprimé sa joie et sa fierté devant la tâche qui l'attend. Elle a même parlé d'amour pour le Festival et le cinéma mondial. Rien que de très convenu, somme toute. Espérons désormais un verdict un peu plus aventureux. Là où je reste bien ennuyé, c'est pour vous donner mon avis sur le personnage. Je n'ai vu que très peu de ses nombreux films - 87 rien qu'au cinéma, selon l'encyclopédie en ligne Wikipedia. Rien depuis une oeuvre signée Claude Chabrol, Merci pour le chocolat, en 2000. C'est un peu loin. Le prochain - Un barrage contre le Pacifique - sort ce mois-ci. Disons donc que ce sera (peut-être) une occasion de me rattraper. Dans l'attente de vos éventuelles suggestions...
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