Bon... changement de programme: ce n'est finalement que demain que je mettrai en ligne une nouvelle chronique consacrée à un film. Aujourd'hui, un mot rapide pour vous signaler une petite nouveauté dans l'une des rubriques du blog, "Les réalisateurs et réalisatrices". D'ailleurs, la voyez-vous toujours en page d'accueil, en haut, à droite ?
Si c'est le cas, je tiens donc à vous signaler que j'y ai ajouté une info supplémentaire sur les films référencés. Comme mon titre de ce jour le suggère, un (1) accompagne à présent les premiers longs-métrages de leur autrice ou auteur - s'il a déjà été chroniqué, bien entendu. J'espère que cela apportera un soupçon de visibilité supplémentaire aux artistes qui se lancent, auxquels certains festivals de cinéma s'intéressent spécifiquement (un autre sujet qu'il me faudra aborder). Je me dis par ailleurs que c'est intéressant de revenir aux sources d'une inspiration, quelle qu'elle soit, et vous invite dès lors à le faire avec moi. Ce ne sont assurément pas les occasions qui manqueront. Sur ce, je vous retrouve donc demain avec un autre film: le 2752ème sur Mille et une bobines ! Je ne changerai pas d'intitulé pour autant...
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Au fait, chères lectrices et chers lecteurs...
Et vous, alors ? Est-ce que ça vous arrive de prêter une attention rétroactive au tout premier film d'un(e) cinéaste que vous aimez ? Et/ou est-ce que vous êtes intéressés par les artistes qui se lancent dans la carrière ? Oui, je reste assez curieux et motivé pour le débat !
Si c'est le cas, je tiens donc à vous signaler que j'y ai ajouté une info supplémentaire sur les films référencés. Comme mon titre de ce jour le suggère, un (1) accompagne à présent les premiers longs-métrages de leur autrice ou auteur - s'il a déjà été chroniqué, bien entendu. J'espère que cela apportera un soupçon de visibilité supplémentaire aux artistes qui se lancent, auxquels certains festivals de cinéma s'intéressent spécifiquement (un autre sujet qu'il me faudra aborder). Je me dis par ailleurs que c'est intéressant de revenir aux sources d'une inspiration, quelle qu'elle soit, et vous invite dès lors à le faire avec moi. Ce ne sont assurément pas les occasions qui manqueront. Sur ce, je vous retrouve donc demain avec un autre film: le 2752ème sur Mille et une bobines ! Je ne changerai pas d'intitulé pour autant...
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Au fait, chères lectrices et chers lecteurs...
Et vous, alors ? Est-ce que ça vous arrive de prêter une attention rétroactive au tout premier film d'un(e) cinéaste que vous aimez ? Et/ou est-ce que vous êtes intéressés par les artistes qui se lancent dans la carrière ? Oui, je reste assez curieux et motivé pour le débat !
6 commentaires:
Je m’y rends souvent dans les archives du blog. C’est bien pratique.
Justement je n’ai jamais vu de films thaïlandais. Je suis allée voir ceux que vous avez chroniqués.
Je vois à l’affiche une sortie de film d’un metteur en scène thaïlandais, ”Comment devenir riche(grâce à sa grand-mère). Le titre m’aurait un peu rebutée mais ça semble au final être une belle histoire entre un petit-fils et sa grand-mère.
Oui je vois tes diverses listes à droite.
Je m'y rends parfois pour m'assurer que tu as vu tel film (et t'engueuler si tu ne l'as pas fait) et me désoler si tu l'as vu et pas moi.
Et oui il m'arrive de m'intéresser au 1er film de certains réalisateurs. Le dernier qui a fait l'objet de ma curiosité impatiente concerne Brady Corbet, responsable du 1er et pour l'instant seul chef d'œuvre de l'année...
Immense déception. Je n'ai même pas chroniqué Vox Lux.
Ravi que ma petite organisation "thématique" vous convienne, Jourdan !
C'est chouette de vous intéresser au cinéma thaïlandais. Il est sans doute bien plus varié que sur ce blog.
J'ai vu la BA de "Comment devenir riche...". Le film a l'air assez fédérateur, finalement. Irai-je le voir ? Pas sûr...
Bon, c'est cool si mes p'tites listes sont visibles chez toi aussi. C'est plus facile sur ordi, je pense.
C'est vrai que, parfois, on est déçu en "remontant le temps", mais ça fait partie du jeu. On tombe aussi sur des pépites.
Quand j'étais dans mon asso cinéma, la présidente disait souvent que les premiers films étaient "chargés".
Le réalisateur y mettait beaucoup de choses, car il ne savait pas s'il pourrait faire un deuxième film.
En démarrant Vox Lux, j'ai retrouvé l'esthétique et certains plans qui m'ont tant plu dans The brutalist. La suite et surtout la seconde partie est consternante. Et l'interprétation de Natalie Portman détestable.
La présidente a entièrement raison. C'est d'autant plus vrai dans les premiers films français souvent autobiographiques. L'auteur veut TOUT y mettre de peur effectivement de ne pouvoir réaliser d'autres films.
Pour le coup, "The brutalist" ne m'a pas donné envie de me ruer sur les autres films de Brady Corbet.
Et oui, il y a souvent beaucoup de choses dans les premiers films. Et parfois, ça donne un résultat superbe !
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