Ceux parmi vous qui fréquentent peu ou prou l'univers des jeux vidéo savent qu'il existe des personnages "figurants". Ils sont certes utiles au développement du scénario, mais ne peuvent pas être incarnés. Non sans autodérision, Ryan Reynolds a endossé un rôle de ce type dans Free Guy, un blockbuster récent, très coloré et (plutôt) original.
Guy se réveille tous les matins pour faire la même chose que la veille. Il revêt une chemisette bleue, souhaite le bonjour à son poisson rouge, attrape un café au bar du coin et file rejoindre son guichet d'employé de banque. Il n'a qu'un ami: Bud, le vigile qui, comme lui, reste bien sage quand un malfrat déboule pour emporter la caisse. Chose qui arrive chaque jour, jusqu'à ce que Guy tombe amoureux d'une fille de son quartier et découvre... qu'il peut devenir un héros. J'en ai assez dit, je crois, et quelques connaissances des mondes vidéoludiques seront sûrement bienvenues pour savourer ce Free Guy à sa juste valeur. Un bon point: l'intrigue est de fait plus complexe que je n'avais pu le supposer de prime abord, sur fond de plagiat industriel. Ensuite, c'est à vous de savoir si vous digérez le popcorn. Je veux insister: je vous parle bel et bien d'une grosse machinerie américaine, avant tout taillée pour plaire aux geeks en tous genres. Tout cela est à prendre au premier degré, sans trop en demander. Lors d'une soirée de grosse fatigue, ce "truc" a bien su me di-ver-tir !
Free Guy
Film américain de Shawn Levy (2021)
Quatre étoiles: j'ai décidé d'être généreux et je vais donc l'assumer. D'après ce que j'ai lu, le jeu vidéo a désormais dépassé le cinéma quant à l'argent qu'il permet de générer. Voir des personnages virtuels débouler sur les écrans s'inscrit dès lors comme une suite logique. Amateurs du genre, vous avez forcément vu Ready player one, non ? Parfait: essayez donc Pixels, Scott Pilgrim ou Les mondes de Ralph !
Guy se réveille tous les matins pour faire la même chose que la veille. Il revêt une chemisette bleue, souhaite le bonjour à son poisson rouge, attrape un café au bar du coin et file rejoindre son guichet d'employé de banque. Il n'a qu'un ami: Bud, le vigile qui, comme lui, reste bien sage quand un malfrat déboule pour emporter la caisse. Chose qui arrive chaque jour, jusqu'à ce que Guy tombe amoureux d'une fille de son quartier et découvre... qu'il peut devenir un héros. J'en ai assez dit, je crois, et quelques connaissances des mondes vidéoludiques seront sûrement bienvenues pour savourer ce Free Guy à sa juste valeur. Un bon point: l'intrigue est de fait plus complexe que je n'avais pu le supposer de prime abord, sur fond de plagiat industriel. Ensuite, c'est à vous de savoir si vous digérez le popcorn. Je veux insister: je vous parle bel et bien d'une grosse machinerie américaine, avant tout taillée pour plaire aux geeks en tous genres. Tout cela est à prendre au premier degré, sans trop en demander. Lors d'une soirée de grosse fatigue, ce "truc" a bien su me di-ver-tir !
Free Guy
Film américain de Shawn Levy (2021)
Quatre étoiles: j'ai décidé d'être généreux et je vais donc l'assumer. D'après ce que j'ai lu, le jeu vidéo a désormais dépassé le cinéma quant à l'argent qu'il permet de générer. Voir des personnages virtuels débouler sur les écrans s'inscrit dès lors comme une suite logique. Amateurs du genre, vous avez forcément vu Ready player one, non ? Parfait: essayez donc Pixels, Scott Pilgrim ou Les mondes de Ralph !
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