Ça alors ! Les passions bizarres se suivent sur Mille et une bobines ! Aujourd'hui, j'évoque celle qui enflamme Gloria et Paul, deux jeunes d'une quinzaine d'années s'étant rencontrés... à proximité de l'hôpital psychiatrique où la demoiselle est internée ! Ado livré à lui-même après la fuite de son père, le garçon, de nuit, libère son amoureuse...
Pour mieux cerner cette histoire, à défaut de la comprendre, je crois utile de citer la citation de Boileau-Narcejac qui l'introduit: "Il suffit d'un peu d'imagination pour que nos gestes ordinaires se chargent soudain d'une signification inquiétante, pour que le décor de notre vie quotidienne engendre un monde fantastique". Le tandem d'auteurs prévient aussi: "Il dépend de chacun de nous de réveiller les monstres et les fées". Il y a les deux dans Adoration, ce très étrange film belge que j'avais loupé au cinéma et que j'ai rattrapé sur le portail cinéma de mon fournisseur d'accès Internet. Cette cavale éperdue d'âmes fragiles est aussi étrangement réaliste que d'apparence fantastique. Si vous vous laissez prendre au jeu, vous pourriez être émus, pleurer, rire, avoir peur, être étonnés, voire passer par plusieurs sentiments au cours d'une même scène, ici et là. Vous verrez que le petit couple évoluant à l'écran traverse plusieurs tunnels. Je vous laisse découvrir si, à l'autre bout, ils trouvent de la lumière ou encore de l'obscurité. Voilà un film peu banal ! Attention, OK ? Il peut s'avérer... éprouvant !
Adoration
Film belge de Fabrice du Welz (2020)
Je pourrais admettre que mon titre est énigmatique, mais cet opus l'est aussi - dans une certaine mesure. C'est un conte (plutôt) cruel ! Thomas Gioria, le jeune comédien, est très bon, et sa partenaire, Fantine Harduin, impressionnante, mais parfois un peu "too much". Benoît Poelvoorde est là aussi, dans un rôle décisif bien qu'assez bref. Dans un style proche, je recommande un autre film belge: Les géants.
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Vous voulez un dernier tuyau ?
Je crois que Pascale est en adoration devant le film. Non, j'exagère...
Pour mieux cerner cette histoire, à défaut de la comprendre, je crois utile de citer la citation de Boileau-Narcejac qui l'introduit: "Il suffit d'un peu d'imagination pour que nos gestes ordinaires se chargent soudain d'une signification inquiétante, pour que le décor de notre vie quotidienne engendre un monde fantastique". Le tandem d'auteurs prévient aussi: "Il dépend de chacun de nous de réveiller les monstres et les fées". Il y a les deux dans Adoration, ce très étrange film belge que j'avais loupé au cinéma et que j'ai rattrapé sur le portail cinéma de mon fournisseur d'accès Internet. Cette cavale éperdue d'âmes fragiles est aussi étrangement réaliste que d'apparence fantastique. Si vous vous laissez prendre au jeu, vous pourriez être émus, pleurer, rire, avoir peur, être étonnés, voire passer par plusieurs sentiments au cours d'une même scène, ici et là. Vous verrez que le petit couple évoluant à l'écran traverse plusieurs tunnels. Je vous laisse découvrir si, à l'autre bout, ils trouvent de la lumière ou encore de l'obscurité. Voilà un film peu banal ! Attention, OK ? Il peut s'avérer... éprouvant !
Adoration
Film belge de Fabrice du Welz (2020)
Je pourrais admettre que mon titre est énigmatique, mais cet opus l'est aussi - dans une certaine mesure. C'est un conte (plutôt) cruel ! Thomas Gioria, le jeune comédien, est très bon, et sa partenaire, Fantine Harduin, impressionnante, mais parfois un peu "too much". Benoît Poelvoorde est là aussi, dans un rôle décisif bien qu'assez bref. Dans un style proche, je recommande un autre film belge: Les géants.
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Vous voulez un dernier tuyau ?
Je crois que Pascale est en adoration devant le film. Non, j'exagère...
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