Me revoilà ! Avant tout autre chose, je voulais vous souhaiter à toutes et tous, lectrices et lecteurs de ce blog quelque peu délaissé ces derniers temps, une excellente année cinématographique 2008. Je vous avoue que j'ai beaucoup de retard ici même: huit films vus depuis les mousquetaires et zéro chroniqué. J'ai pris quelques bonnes résolutions à l'aube de ce nouveau millésime, en particulier celle de ne plus vous laisser sans "bobines" à regarder. Et je commence donc avec un film français emprunté pour le journal: Michou d'Auber.
Michou, c'est le petit garçon que vous voyez sur la photo, aux côtés de Nathalie Baye, sa mère adoptive. Dans la France des années 60, Messaoud - de son vrai prénom - est un petit Français d'origine algérienne, que son père ne peut élever. Il est donc confié aux bons soins de l'Assistance publique et recueilli par une famille du Berry, fièrement campée par Nathalie Baye, donc, et Gérard Depardieu. Lequel, argument numéro du scénario, est un Français moyen, incapable de satisfaire son épouse et qui... comment dire ?... n'aime pas franchement les Arabes. Voilà pourquoi Messaoud devient Michel, alias Michou. Et que sa nouvelle maman, soucieuse de ne pas lui attirer d'ennui, dissimule ses cheveux noirs de jais sous un foulard, puis sous une teinture blond paille.
Il paraît que le film est tiré d'une histoire vraie. Admettons. Il n'est pas dépourvu de qualités et fait passer un joli message d'humanisme. On pourra toutefois lui reprocher d'être parfois un peu gnan-gnan, assez prévisible dans ses tenants et aboutissants. A voir quand même pour quelques jolis numéros d'acteurs - même si Depardieu fait du Depardieu ! - ou comme un conte de Noël. Les bons sentiments, ça s'oublie vite, mais ça ne fait pas de mal.
Il paraît que le film est tiré d'une histoire vraie. Admettons. Il n'est pas dépourvu de qualités et fait passer un joli message d'humanisme. On pourra toutefois lui reprocher d'être parfois un peu gnan-gnan, assez prévisible dans ses tenants et aboutissants. A voir quand même pour quelques jolis numéros d'acteurs - même si Depardieu fait du Depardieu ! - ou comme un conte de Noël. Les bons sentiments, ça s'oublie vite, mais ça ne fait pas de mal.
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