Rien à voir, ni avec le film précédent, ni avec la chanson de Sabrina. Alors pourquoi ce titre ? Celui du film, c'est Les Boys. Et je répète parce que c'est une série. Quatre longs métrages. J'ai les trois premiers. J'ai revu dernièrement le 2, puis le 1, au cours d'une soirée chez l'ami qui m'avait prêté Docteur Folamour. Je crois que j'étais parti dans l'idée de lui montrer ce qui me fait rire, moi. Apparemment, il a bien apprécié.
Je ne sais plus qui m'a fait découvrir Les Boys. Ma meilleure amie Stéphanie, il me semble. Bref... comment présenter cette production 100% pur sirop d'érable ? Vous l'aurez compris: elle vient du Canada ou plus précisément du Québec. La première chose à signaler, c'est bien évidemment que ça... s'entend ! Les gens qui ne connaissent pas cette "quadrilogie" et la découvrent par hasard en DVD aiment autant parfois utiliser les sous-titres en anglais avant de se frotter à la parlure québécoise. Réflexe que je peux comprendre, d'ailleurs. Après une dizaine de visionnages de l'un ou l'autre des épisodes, il y a encore ici et là quelques choses nouvelles que je pogne... euh pardon... que je comprends ! C'est très sympa, je trouve !
La photo vous aura renseignés: Les Boys sont une équipe de hockey. Une équipe qui évolue dans ce qu'on appelle une ligue de garage, réservée aux joueurs vétérans, plutôt décidés à taquiner le palet pour le plaisir plus que pour la performance. Ma lointaine expérience d'un vestiaire de hockey me permet d'affirmer sans trop avoir peur de me tromper que le film retranscrit bien l'esprit général. Résumons: on rigole, on chambre, on se serre les coudes... etc etc... Promis, même pour les maudits Français que nous sommes, regarder ces films permet de passer un bon moment. Si l'occasion se présente et que vous hésitez encore, optez pour le numéro 2, qui se passe essentiellement en France. Le mélange des deux accents devrait quand même vous aider à ne pas être complètement largués !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire